Kadou
L’ignoble profanation républicaine !!
Qu’attendre de plus d’une république antifrançaise par son esprit et anticatholique par habitude, qui profite du spectacle de l’inauguration des JO 2024 pour exprimer ouvertement sa haine de la France éternelle et de son histoire, voire de son patrimoine ? Grotesque et honteuse mise en scène de la mort de la reine Marie-Antoinette pour amuser un public mondialisé qui n’y connaît plus rien et qui s’extasie devant ce spectacle lamentable qui, pour le coup, n’a absolument rien à voir avec les JO, dont l’esprit se veut, dit-on, « de paix et d’amitié entre les peuples ». Il s’agit bel et bien ici, à travers ce tableau digne d’une des sinistres vidéos de Daech, d’une démonstration de la haine de la France de la part de la république qui s’excite à la vue du « sang impur » qu’elle a su faire couler pour sa gloire, et ce, au détriment de la France elle-même !
Gloire à la reine Marie-Antoinette et à toutes les victimes de la révolution ! Honte à macron et à cette république finissante qui se complaît dans la bêtise et la cruauté facile… Qu’elle ne s’étonne pas de notre souhait de la voir, au plus vite, remplacée par un État royal soucieux de toutes les pages de notre histoire, non pour les salir ou, à l’inverse, les glorifier toutes, mais pour les assumer dans un esprit de « tradition critique »…
La guerre secrète contre les peuples :
Livre « La guerre secrète contre les peuples » disponible ici : https://kontrekulture.com/produit/la-…
Discours de Claire Séverac prononc lors du banquet Camelot du 31 janvier 2016, au sujet de son livre : « La guerre secrète contre les peuples »
Cette vidéo fut supprimée par youtube suite aux propos tenus par Claire Séverac au sujet des vaccins. (Alors qu’elle n’a pas connu le Covid !! ) Nous repostons la vidéo après avoir bipé chaque fois qu’elle prononce le mot vaccin !
80 ans de domination américaine…
En cette année 2024, l’oligarchie républicaine s’apprête à célébrer les 80 ans du débarquement allié en Normandie. Célébration qui est avant tout celle de la défaite de la France en 1940, mais également celle de la domination américaine dans les affaires de l’Europe ! Rien de tel pour affermir sa soumission devant le maître américain, qui aime à rappeler à quel point nous avons été médiocre lors de la bataille de France.
Ainsi, voici un petit rappel du vrai visage de notre cher « allié » américain pour ce qui est de ses relations avec la France ! :
- France/États-Unis l’alliance impossible : Extrait du livre « LE LIVRE NOIR DES REPUBLIQUES EN FRANCE » disponible ICI :
« Les États-Unis d’Amérique forment un pays qui est passé directement de la barbarie à la décadence sans jamais avoir connu la civilisation. »
(suite…)Le machinisme ou le règne de l’inhumanité ! :
Nous avons souvent cité l’écrivain Georges Bernanos au sujet de son essai « La France contre les Robots », dans lequel il critiquait la société industrielle et matérialiste dénonçant un progrès technique n’incluant pas nécessairement le progrès humain, où l’un aura même tendance à détruire l’autre. Il écrivait entre autres : « Un monde gagné pour la technique est perdu pour la Liberté. »(Georges Bernanos – La France contre les robots (1946))
Au-delà de l’analyse très juste de Bernanos, dont nous vous invitons à lire l’essai, observons ce qu’il en est en ce début du XXIè siècle pour ce qui est du règne du machinisme…
En 1984, année très Orwellienne, sortit un film hollywoodien qui deviendra culte par la suite : Terminator. Réalisé par James Cameron, avec comme acteur principal, Arnold Schwarzenegger. Ce film raconte l’histoire d’un futur qui opposera l’homme à des machines mues par une intelligence artificielle nommée Skynet. Même si l’histoire se déroule majoritairement en 1984, il n’en demeure pas moins que ce qui s’avérait n’être encore qu’une fiction à cette époque, commence à prendre forme à ce jour…
(suite…)Quelle « Europe » souhaitable ?
Dans quelques jours auront lieu les élections européennes, et il semble bien qu’elles ne motivent guère nos compatriotes, ce qu’il faut sans doute regretter : non que les circonvolutions de la Construction européenne soient particulièrement passionnantes, mais les enjeux de ce processus sont absolument majeurs, et il importe de ne pas se retirer dans un Aventin qui ne serait rien d’autre qu’une démission de l’histoire à laquelle nous appartenons et qu’il nous appartient, dans le même temps, de faire pour éviter qu’elle nous défasse.
Cet intérêt pour la question européenne ne signifie pas que cette Construction nous satisfasse, loin de là : imparfaite, elle est surtout viciée dès ses origines, celles des projets de Monnet et de Schuman, éminemment atlantistes et confusionnistes. L’argument des « pères fondateurs » (emprunt au vocabulaire de l’histoire des Etats-Unis) se voulait imparable : il fallait sortir du cycle infernal des guerres que le siècle des nationalités (issu de la Révolution française mais aussi des Lumières) avait enclenché, sans doute dès 1792, et la Construction européenne se voulait, ou se proclamait pacifiste, répétant à l’envi « l’Europe c’est la paix ! », alors que, en vérité, c’est plutôt la paix armée issue de 1945 qui a fait cette Europe-là. Il s’agissait de faire front à Staline et à ses successeurs qui, disait-on (avec quelques bonnes raisons, d’ailleurs), envisageaient d’asservir toute l’Eurasie aux principes de la dictature du prolétariat souhaitée par Marx et pratiquée, rudement, par Lénine et ses compagnons bolcheviques dès 1917 : la Chine, immense Etat voisin de la Russie, était devenue elle-même communiste sous la férule de Mao quand toute (ou presque) l’Europe centrale et orientale vivait à l’heure de Moscou.
(suite…)Sans repentance : L’origine des Croisades :
Alors que la tentative d’invasion de l’Europe de la part des arabo-musulmans, au VIIIè siècle, ne suscite aucun émoi de la part de la « bien-pensance », l’épisode des Croisades, qui n’a, comme nous allons le voir, rien à voir avec une volonté d’invasion, devient étrangement un acte de barbarie inacceptable.
Pour mieux comprendre le phénomène des Croisades, il faut d’abord se plonger dans l’histoire du peuple arabe, et plus précisément, sur ce qui s’est passé en Arabie au VIIè siècle de notre ère. Au tout début de ce siècle, un prédicateur mecquois du nom de Muḥammad (Mahomet en Occident) s’était donné pour mission d’imposer aux divers peuples d’Arabie, une nouvelle religion : l’Islam. Se présentant comme le messager d’un Dieu unique, Allah, Mahomet réussit tant bien que mal, et parfois même au fil de l’épée, à imposer sa religion, mettant ainsi fin au polythéisme alors en vigueur à cette époque sur les terres d’Arabie. Son œuvre achevée, le prophète Mahomet fit de l’Islam la troisième grande religion monothéiste, après le Judaïsme et le Christianisme, dans la tradition abrahamique. Tous les enseignements de cette religion furent inscrits dans un livre sacré, le Coran.
(suite…)Deux siècles d’histoire sociale à la lumière des monarchistes :
Deux siècles d’histoire sociale à la lumière des monarchistes.Olivier Pichon reçoit le professeur d’Histoire Jean-Philippe Chauvin (membre du Groupe d’Action Royaliste) afin d’étudier la dimension sociale de la monarchie française, antithèse de la République libérale d’aujourd’hui.Entretien à retrouver sur TVL
La république Constitutionnalise la mort !
Quelle gloire pour la république maçonnique d’inscrire dans sa constitution le droit pour toutes les femmes de pouvoir tuer leurs enfants à naître en leur sein. Et gare à celui qui s’y oppose ! Celui-là n’est que l’incarnation d’un obscurantisme Moyen Âgeux, un retour en arrière honteux, un arriéré qui n’a rien compris à la femme et à son rôle dans la société moderne.
Les républicains nous présentent l’avortement comme un progrès pour la femme. Mais en quoi le fait de pouvoir tuer son fils ou sa fille impunément, sur le simple motif qu’elle n’en a pas envie, est-il un progrès ? Ces avorteuses ne voient dans le futur bébé à naître qu’un simple fardeau à porter. Un peu à la façon d’un parasite qui a pris possession de son corps, et dont il est préférable de s’en débarrasser. Sauf que ce « parasite » en question n’est pas un être étranger au corps de la femme, étant donné qu’il est fait avec la moitié du sang de sa génitrice. L’autre moitié étant le père. Mais peu importe ! Une décision émanant d’un simple caprice est désormais suffisant pour que les femmes décident de tuer leur enfant en plein développement dans leur ventre. Un peu à l’instar de la Sparte païenne qui faisait tuer par des oracles, les enfants nés avec une apparence trop chétive ou malformé.
Et pour être sûr que cet acquis du « progrès » de la femme ne soit surtout pas remis en cause, les républicains l’inscrivent dans leur constitution à la gloire de leur chère Simone Veil, qui doit voir défiler de là-Haut les 230 000 âmes des bébés qui sont tués chaque année, sur l’autel du féminisme et de la déesse Marianne.
Bref ! La mort est une valeur consubstantielle à la république. Que ce soit l’avortement, l’euthanasie ou les suicides qu’elle déclenche chez beaucoup de personnes, il n’y a rien à attendre de la république et de ses pseudos valeur ! L’histoire et l’avenir nous imposent une seule chose : abolir la république en France et instituer un régime qui porte la vie comme valeur haute de la société, incarnée dans l’épanouissement d’une fleur de lys au soleil ! Criez « Victoire » chers républicains, avec la mort comme socle de vos idéaux. Si vous n’êtes pas faits pour la vie, alors vous n’êtes pas faits pour l’avenir ! Le futur nous appartient, parce que la vie est le moteur de nos idéaux !
Notre jour viendra !
P-P Blancher