La mémoire permet de ne pas oublier et l’avenir incertain sera celui des pays qui conservent traditions, chants et histoire. Là nous avons, sommes et seront présent lorsqu’il faudra reconstruire ce qui doit durer dans le temps pour une nouvelle aventure générant le bonheur des peuples… Nous sommes enfants de La Grèce antique, comme de Rome et du monde Celtique. Nous sommes fils de Baudouin IV, le roi lépreux, de Saint Louis et de Du Guesclin…Jehanne dans nos âmes, guide nos bannières vers la victoire. L’adversaire est plus dangereux que jamais, il est fourbe et s’installe en nous. Il se nomme individualisme et matérialisme. Le champ du nouvel ordre mondial est planétaire, afin de détruire toute identité humaine… Son programme est celui de l’esclavage des hommes, de la numérotation de la vie et l’anéantissement de la nature pour plus de profit… Il nous faudra vaincre d’abord en nous la dépendance au monde marchand. Il nous faudra retrouver la liberté et la vie communautaire avant d’entrer en résistance contre cette armée antisociale. Et puis nous libérerons les peuples en leur ouvrant les yeux, en leur offrant cette citoyenneté que les Etats-ripoux ont confisqués…
L’homme occidental retrouvera ses valeurs lorsque nous aurons débarrassé la terre de France d’une ripoux-blique, qui comme une maladie aspire la sève humaine de toute identité naturelle. C’est un combat hautement écologique qui remet le fil conducteur de la vie naturelle en harmonie avec la nature, comme le fit les siècles de Monarchie. Aucun combat qu’il soit social, économique, familial, religieux, écologique ne peut aboutir si nous oublions d’aller à l’essentiel, bref de désigner la maladie : la république antisociale. Au delà de toute dépendance et soumission aux médias inutiles, retrouver le sens de toute vie et élevation, courtoisie et service. Ce qu’il faut comprendre c’est que lorsque chacun, dans sa vie de tous les jours, par son comportement, son porte-monnaie dans ses achats (plutôt un paysan du coin que le supermarché), la recherche et l’analyse des idées et des informations, bref une forme de résistance amenant vers un esprit rebelle, une continuité chevaleresque vers l’esprit Camelot, nous aurons alors une petite chance de réussir…
Une fois de plus, je suis contrainte de faire une mise au point, même si je m’étais promis de ne plus m’excuser de rien.
Mais quand l’image même de l’association pour laquelle je consacre l’essentiel de ma vie depuis trois ans est mise en danger, je n’ai pas d’autre choix.
Effectivement, je me suis exprimée dans deux médias dits « d’ extrême droite » cette semaine, mais en précisant à chaque fois qu’Urgences Patrimoine était apolitique. Les deux interviews ont été claires et objectives et en aucune façon « orientées ».
Or, l’organisateur du rassemblement de demain, qui pourtant est venu me chercher pour défendre le château de Lagny-Le-Sec, fait désormais tout pour me décrédibiliser.
Vous avez pu au jour le jour suivre mon travail et mon implication dans cette affaire. Vous savez tous que je ne compte pas mon temps ni mon argent, puisque je paye tout à titre personnel puisque personne ou presque ne fait de dons à l’association et que donc, les caisses sont vides ( ça c’est un rappel pour ceux qui croient que je vis largement grâce à UP) mais je ne peux pas tolérer qu’on mette en doute ma neutralité politique.
Notre association est « populaire » et pour moi, « le peuple » est l’ensemble des citoyens, de droite comme de gauche, jeunes ou moins jeunes, riches ou pauvres, homos ou hétéros, catholiques, athées, juifs, musulmans….. bref, tous ceux qui s’intéressent à notre cause.
Je ne peux tolérer les attaques sans fondement pour deux malheureux articles de presses ( les autres, sont de la récupération réseaux, nullement de mon fait), c’est la raison pour laquelle demain, je ne me rendrai pas au rassemblement en hommage au château.
D’ailleurs, l’organisateur parle sans cesse de manifestation, alors qu’il s’agissait vraiment d’un rassemblement pacifique, donc ce sera sans moi !
Je laisse le libre choix à mes amis et délégués de s’y rendre, mais refuse que notre image soit associée à une démarche politique et contestataire, qui a l’air d’être l’idée véhiculée par l’organisateur à travers son média « Picardie Populaire » .
Dès demain je m’en vais donc m’occuper de sauver de la démolition l’église de la Nièvre que j’ai négligé depuis trois semaines et préparer le dossier pour les partenariats si nous voulons nous rendre au Salon international du Patrimoine au Carrousel du Louvre une troisième fois. Concernant Lagny-le-Sec, nous continuons à nous intéresser de près à tous les vices de procédures pour que ce « crime » ne soit pas impuni, grâce à certains de nos brillants membres, professionnels du Patrimoine ou juristes. Mais cela se fera en interne, puisque nous sommes visiblement bons à « jeter aux chiens » pour certains.
Dans la grande tradition royaliste des Camelots du Roi et
dans une ambiance festive et de chants… Vous êtes tous conviés, ainsi que vos familles et amis, à un Banquet des Camelots et Volontaires du Roi du Groupe d’Action Royaliste
le Dimanche 2 avril 2017
Retenez la date et confirmez votre présence à contact@actionroyaliste.com pour l’organisation.
Le lieu sera précisé ultérieurement…
« SIT TIBI COPIA SIT SAPIENTIA FORMAQUE DETUR INQUINAT OMNIA
SOLA SUPERBIA SI COMITETUR »
Mardi 6 juin, dans le cadre de l’émission « Le libre journal du droit et des libertés », Jean-Philippe Chauvin, professeur d’histoire-géographie ; Frédéric Winkler, président du Groupe d’Action Royaliste et directeur des Camelots du Roi ; Daniel Heck, notaire ainsi que SAR Charles-Emmanuel de Bourbon-Parme, étaient les invités d’Olivier Tournafond pour une émission intitulée « La monarchie est-elle une solution ? » et diffusée en direct sur Radio Courtoisie.
« Loi du nombre, suffrage universel. – Etre « élu aux voix »… Mais parmi ces voix, combien ne sont que des échos ? »
Gustave Thibon,
in « Parodie et mirages ou la décadence d’un monde chrétien »
Ed. du Rocher – 2011, p. 126
Elections = aliénation.
Je trouve absolument incroyable qu’il y ait encore tant de gens qui s’imaginent que c’est en votant qu’ils exercent leur liberté. C’est justement tout le contraire ! En allant urner, ils aliènent totalement leur liberté.
En « donnant leur voix » – peu importe à qui, en l’occurrence – ils se plient à la règle du « jeu démocratique » (sic), c’est-à-dire qu’ils acceptent à l’avance le « verdict des urnes », et qu’en conséquence ils remettent de fait leur liberté entre les mains de celui qui sortira vainqueur du suffrage, qu’il ait été leur « candidat » ou pas.
Quel que soit le candidat d’ailleurs, on se rend compte que – sauf pour une toute petite minorité de « militants » dont le dévouement inconditionnel confine à l’hystérie – les électeurs qui votent pour lui ne lui accordent jamais une pleine confiance. Si vous n’en êtes pas convaincus, allez écouter les conversations du tout-venant : vous verrez bien qu’à l’évidence les électeurs sont généralement assez désabusés et votent rarement parce qu’ils sont convaincus qu’un candidat est le « meilleur », mais seulement parce qu’ils pensent qu’il est le « moins mauvais ». La nuance est d’importance.
Le « moins mauvais » : c’est celui dont ils s’imaginent, ou dont ils font semblant de croire, ou encore dont ils espèrent (sans trop d’illusions souvent), qu’il les trompera un peu moins que les autres, qu’il abusera un peu moins que les autres du crédit qu’ils lui accordent au travers de leur suffrage, qu’il lèsera leurs intérêts un peu moins que les autres… peut-être (car on n’en est jamais complètement sûr).
C’est dire que par ce système électoral tel qu’il est aujourd’hui pratiqué, l’immense majorité des citoyens a conscience de se remettre pieds et poings liés aux décisions d’élus sur lesquels ils ne pourront plus exercer aucun contrôle, qui ne leur rendront aucun compte, et contre lesquels le seul et unique recours sera de ne plus voter pour eux à l’élection suivante, après les avoir subis pendant un certain nombre d’années (ce qui leur permet de jouir jusqu’à leur mort de retraites et de prébendes en comparaison desquelles les privilèges de l’Ancien Régime sont peu de choses)… Et avec en arrière-plan la quasi certitude que celui pour lequel ils voteront alors ne vaudra sans doute pas mieux !
Néanmoins ils continuent de prétendre que voter leur permet d’exercer leur liberté ! Ils continuent de donner à cela le nom quasi magique de démocratie !
Je me demande s’il s’agit d’un aveuglement volontaire ou bien d’un manque de réflexion qui, à un tel niveau, doit être appelé ilotisme absolu, aliénation mentale, esclavage consenti, bêtise, stupidité, crétinerie et abrutissement.
Une réalité derrière la légende du Roi Arthur ?
Le film de Guy Ritchie se voit couronné en première tête du box-office de cette fin du mois de mai. Ne faisons pas de conclusion hâtive, mais rassurons-nous de l’intérêt porté par les français à nos traditions légendaires. Le film n’en demeure pas moins un merveilleux voyage en terres celtiques, il retrace le parcours mythologique nécessaire à la mise en relief des personnages et à l’immersion totale du spectateur.
Mais au-delà du spectacle que reste-t-il ? Quel message porte cette légende ?
Ne sommes-nous pas aussi en des temps troublés et n’assistons-nous pas aussi aux convoitises pathétiques du pouvoir ?
Ces rentiers de la politique asservis au grand patronat, à la finance et aux lobbies habiles amènent les français de tous bords désormais au désespoir de voir renaitre un jour une incarnation du pouvoir qui soit sincère, responsable, indépendante et juste. La république en serait-elle capable ? Gageons que c’est la dernière chance que les Français ont accordé à cette dernière en soutenant un candidat « sans » casseroles politiciennes et « sans » attaches aux partis politiques. Ne soyons tout de même pas dupe que la république a fabriqué de toutes pièces M. Macron comme un phœnix séduisant pour renaitre des cendres de l’UMPS… Et dans cinq ans, nul doute que le système sera à nouveau à bout de souffle, et nous saurons rappeler aux oreilles attentives notre intransigeance avec cette république.
Mais cette incarnation que les français attendent, n’est pas le mirage macron, car la France a connu Henry IV, François Ier, Louis XIV, et d’autres grands Rois qui ont fait notre nation, quand leurs avatars républicains, bien moins vertueux, la défont chaque jour un peu plus…
Alors il faut savoir s’animer de mythologie et de foi comme d’un soutien sur le chemin difficile de la vérité pour enfin rendre justice à notre histoire. Nos ancêtres n’ont-ils pas bâtit des cathédrales pour s’élever vers le ciel même en sachant que jamais ils n’en verraient l’achèvement ? Nous pouvons nous interroger sur ce qu’il nous resterait à contempler aujourd’hui si nos ancêtres s’étaient crû si intelligent que nous-même à refuser la part d’irréel et d’invisible qui nous entoure… Le mystique et la croyance sont des conditions indispensables au dépassement de l’homme, et à sa capacité à ne pas s’arrêter à une réalité souvent trop contraignante, pour envisager et se projeter sur des projets qui le dépassent.
Le film illustre très bien le destin du Roi qui, seul légitime à gouverner doit assumer le pouvoir comme un fardeau, comme un quête à accomplir, une mission divine, plutôt qu’une expérience éphémère et intéressée de la politique. Diriger un pays ne peut-être qu’une vocation, et une vocation est un appel à réaliser une mission, donc cela ne peut être un choix délibéré, c’est le cas de l’héritier qui est appelé à exercer une fonction du mieux qu’il le pourra et le plus humblement possible avant d’appeler à son tour son fils à honorer l’héritage laissé. On dit souvent que les meilleurs chefs sont ceux qui n’ont pas voulu du pouvoir, et cela est probablement vrai dans la mesure où la quête du pouvoir à travers les campagnes présidentielles évoquent chez les meilleurs candidats les pires réflexes et bassesses. Au-delà d’un spectacle pathétique, les qualités nécessaires à la course au pouvoir (ambition, alliances courtisanes, financements occultes, etc.) ne sont pas celles requises par un véritable chef d’Etat. Alors le système du suffrage universel est tronqué dans son fondement, et l’on voit bien que malgré la volonté du général De Gaulle d’épargner la cinquième république du joug des partis, ces derniers n’ont jamais été aussi nuisibles et corrompus. Ce n’est donc pas une nième république qui changera la donne.
Il faudra enfin que nous nous réconcilions avec l’idée monarchique, car elle semble bien être la seule chance qu’il restera à la France, une fois que l’oligarchie au pouvoir sera à bout de souffle et commencera à manquer de ressources pour maintenir l’illusion de la démocratie.
Il faudra enfin accepter qu’un pays comme la France ne se gère pas sur cinq ans, que les poulains des partis politiques manquent terriblement d’engagement et de conviction.
Et que notre pays se gouverne sur un temps long, que la gestion économique, sociale, l’éducation, la santé, doivent se rapprocher du peuple par une décentralisation véritable des institutions. Le Roi est le garant des institutions, le peuple en est l’acteur ; il faut enfin une véritable démocratie locale et participative au niveau communale et régionale.
Il faut pour finir un Roi pour son peuple et un peuple pour son Roi.
A ce jour, la république est en France le système de gouvernement incarnant la conséquence de la rupture avec Dieu depuis la désastreuse révolution de 1789. Cette révolution ne fut que la phase terminale de la trinité infernale de notre déclin, à savoir les 3 R : la Renaissance, la Réforme et la Révolution.
« Ces fameux « 3 R » sont la marque de la Révolte, du Refus, du Rejet, du Ressentiment, … de l’Homme face à Dieu, de la créature face à son Créateur. Ces trois évènements théologico-politico-historiques forment comme des repères, et sont autant de ruptures, de cassures, et de fractures dans la longue durée de l’Histoire humaine. » écrivait Christophe Lacroix dans « Ripostes au politiquement correct » Tome 3 – p36
Ces fameux « 3 R » ont au final donné naissance à une autre société n’ayant plus rien à voir avec celle qui émergea du Sacre de Clovis. Car ce qu’il faut bien comprendre, c’est que s’il est totalement faux de dire que la France est née en 1789, comme aime à le rappeler certains révolutionnaires, il n’en demeure pas moins qu’UNE certaine France est bel est bien née cette année-là ! Le remplacement de la vie communautaire dans toute l’acceptation du terme avec la société matérialiste et superficielle, ce que nous résumerons dans l’abandon de l’invisible au profit du visible ! Voir pour cela les travaux de Marie Madeleine Martin et Régine Pernoud…
Mais l’erreur des révolutionnaires a été justement de garder le nom de France comme représentatif de leur idéologie, alors que la France n’a pas attendu 1789 pour exister, bien loin de là ! Les révolutionnaires de 1789 ont voulu faire table rase du passé, et dans cette logique, il fallait tout changer. C’est ce qu’ils firent mais pas pleinement. Ils avaient changé les noms des Provinces d’Ancien Régime tout en redécoupant ces dernières en départements. Les noms de ces départements n’avaient plus une connotation historique, mais étaient et sont toujours, ceux de rivières, de fleuves, de reliefs géologiques etc. Pour la première fois également, ces départements étaient, et sont toujours, numérotés. Les premières formes de déshumanisations administratives apparaissaient, avant que ce ne soit les habitants de ces départements qui soient également numérotés administrativement… Ce que Proudhon bien plus tard dénoncera dans sa révolte : « … endoctriné, contrôlé, censuré, exploité, pressuré, volé ; puis, à la moindre résistance, au premier mot de plainte, réprimé, amendé, vilipendé, vexé, traqué, emprisonné, fusillé, jugé, condamné, trahi… Voilà le gouvernement, voilà sa justice, voilà sa morale ! »
Cette année de nouveau nous sommes allés au rassemblement historique de Sully sur Loire. Il faut dire que le temps cette année fut au rendez-vous à contrario des deux années précédentes.
Les différents plateaux retraçant notre histoire et celle du monde étaient composés de nombreux fidèles de la reconstitution historique dont les âges variaient en montrant que tous peuvent y participer d’une égale passion.
Les quelques photos qui suivent égrènent les moments de victoire comme les périodes sombres qui endeuillèrent les générations constituant le terreau de notre peuple…
Bernard de Clairvaux disait : « Je n’ai d’autres maîtres que les hêtres et les chênes. Les arbres et les pierres vous apprendront ce que les maîtres ne sauraient enseigner. »
A ce jour malheureusement, c’est l’homme qui impose à la nature sa logique liée pour sa part à celle de l’argent-roi ! L’homme imprégné d’anthropocentrisme depuis la chute du christianisme, s’est cru obligé de mettre en esclavage la nature elle-même. Mais à trop vouloir jouer les apprentis sorciers, tôt ou tard cela se retournera contre nous. Car comment lutter face à plusieurs millions d’années d’instinct de survie et d’adaptation ?
Notre combat à tous doit se faire dans la mise en œuvre de la future révolution énergétique de notre France de demain, celle du lys écologique. Et au-delà même de notre pays, au service de notre mère la Terre !
Dans la grande tradition royaliste des Camelots du Roi et
dans une ambiance festive et de chants… Vous êtes tous conviés, ainsi que vos familles et amis, à un Banquet des Camelots et Volontaires du Roi du Groupe d’Action Royaliste
le Dimanche 2 avril 2017
Retenez la date et confirmez votre présence à contact@actionroyaliste.com pour l’organisation.
Le lieu sera précisé ultérieurement…
« SIT TIBI COPIA SIT SAPIENTIA FORMAQUE DETUR INQUINAT OMNIA
SOLA SUPERBIA SI COMITETUR »