A l’époque ou l’enregistrement fut effectué, Marion Sigaut se revendiquait encore de la république, mais son étude de l’histoire lui fera ouvrir les yeux…
Kadou
Les retraites : Point sur notre France et sa survie II

LES RETRAITES :
Le sujet de la retraite déchire les partis désirant le pouvoir ou s’y maintenir. La Macronie a imposé le recul à 64 ans au lieu de 62 précédemment, contre l’opinion de la majorité des Français (la réforme de 2010 avait relevé l’âge d’ouverture des droits de 60 à 62 ans). Avant de parler des retraites et afin d’être cohérent, il faut prioritairement aborder en amont le sujet de la natalité où Hollande et Macron ont supprimé les aides. La démographie est le sujet primordial concernant ce sujet. Une saine politique (voir l’ouvrage : Projet de société)…
De nombreuses solutions sont envisagées, allant des retraites à points ou par répartition jusqu’à des solutions plus profondes, telles que les solutions corporatives. Cette fameuse troisième voie n’est jamais envisagée par un système qui ne voit de réponse qu’entre le socialisme et le libéralisme, qui partagent les mêmes ancêtres idéologiques. Il est d’ailleurs étonnant d’entendre sur les écrans des prétendus chrétiens défendre les thèses libérales en ayant jeté dans les poubelles de l’histoire la doctrine sociale de l’Église que l’école des catholiques sociaux mit en évidence depuis la Révolution et durant tout le XIXᵉ siècle jusqu’à nos jours. Il suffit de relire « Justice sociale, à travers l’histoire » pour en avoir un aperçu.
Le problème des retraites doit d’abord être résolu, comme précisé, par une politique nataliste qui nécessite, en amont, la fermeture de nos frontières ainsi que l’arrêt de toute subvention et des avantages sociaux distribués de manière excessive à l’échelle mondiale. Ce n’est pas l’argent des Français qui doit entretenir la misère du monde.
Il faut relocaliser le travail en France et favoriser les créateurs de richesse entraînant le développement d’entreprises et par conséquent des emplois. Il faut :
- réformer la fiscalité,
- baisser les charges des investisseurs,
- supprimer les normes abusives autant dans les constructions industrielles que dans l’agriculture,
- arrêter l’hémorragie des faillites comme la spoliation, la délocalisation des fleurons de nos entreprises vers l’étranger (Roumanie, Pologne…), que nous finançons en plus dans l’Europe !
- la concurrence déloyale de l’étranger est sponsorisée par l’Europe de Bruxelles dont il faut se libérer.
- Établir une solide barrière douanière pour protéger notre économie (industrielle et agricole).
- Aider les PME (petites et moyennes entreprises),
- supprimer le vol fiscal sur les héritages,
- augmenter les salaires.
Petit rappel historique :
Ce que les libéraux et la gauche cachent, c’est la réalité historique des avancées sociales (Justice sociale à travers l’histoire). Le docteur et sociologue monarchiste Louis René Villermé (1782-1863) proposait déjà, dans un discours retentissant, après la Révolution, des caisses de maladie et de retraite comme des réductions horaires et une attention sur la condition des femmes et des enfants, à l’Académie des sciences morales et politiques en 1837. Armand de Melun avec Benoist d’Azy reprendront ses idées (18 juin 1850) et en mars 1883 Monseigneur Freppel accompagné des députés royalistes déposent la proposition de loi pour les retraites ouvrières. Inutile de préciser que la loi est refusée par la droite libérale et la gauche ! Avec Armand de Melun le 29 mars 1886, nouvelle proposition de loi sur les retraites ouvrières et toujours refusée par l’opposition unie de la droite libérale et de la gauche socialiste. En décembre 1891, proposition de loi sur les retraites ouvrières, maladie et vieillesse par Albert de Mun, Fernand de Ramel et Charles Lecour Grandmaison, toujours refusée. Les propositions de loi continuent avec la ténacité des catholiques sociaux royalistes : 1900 « Retraite des ouvriers mineurs » (F. de Ramel) et « Assurance vieillesse », 1902 « Retraite ouvrières » (Dansette), 1905 « Assurances vieillesse par des caisses professionnelles et régionales » (de Gailhard-Bancel), 1910 « Retraites ouvrières » (A. de Mun). Voilà quelques exemples sur ce seul sujet et ce ne sont pas les preuves qui manquent sur les autres lois réclamées. Cachant l’histoire, les « guignols » de plateaux médiatiques continuent de revendiquer la pérennité des acquis sociaux !
Le débat se situe dans la création des richesses et l’on s’aperçoit très vite que le coût des retraites devient alors dérisoire. Il faut soutenir et développer le travail en France, rehausser les salaires (exemple : réduire la différence entre le brut et le net), rendre attractifs les métiers difficiles, leur redonner une sorte de noblesse comme au temps des corporations. En relisant les textes anciens (Justice sociale à travers l’histoire), on s’aperçoit que le passé peut apporter les solutions pour demain, c’est cela l’empirisme.
Il faut arrêter de pointer du doigt la retraite et les retraités, alors que ceux-ci ont droit au respect et c’est un devoir moral. Ils ont travaillé et cotisé durant toute leur vie, on travaillait plus de 45 heures en 1966 avant de passer aux 39 heures en 1980…
Les retraités font aussi marcher l’économie, ne l’oublions pas. Même si l’âge du départ peut être à 62 ans, le taux plein est à 67 ans et pour un travailleur au smic (salaire minimum) c’est extrêmement difficile, mais les privilégiés de la ripouxblique s’en moquent !
Entendre les libéraux antisociaux traiter les retraités de nantis, cela demeure insupportable et indécent. Qui ne voit dans nos rues des personnes âgées faire les poubelles, ramasser quelques légumes au départ des marchés tandis que certains dorment dans leur voiture. Ils sont abandonnés, tant par le simple regard que par la compassion d’une collectivité en perte de repères, qui semble mûre pour l’esclavage d’un laboratoire national multiculturel annonçant le monde des robots décrit par Bernanos…
Comment ose-t-on parler du coût des retraites, dont la suspension est évaluée à 400 millions pour 2026 et 1,8 milliard pour 2027 :
- lorsque sans consultation du peuple, on distribue honteusement 40 milliards à l’Ukraine !
- lorsque l’on accepte de donner 5,5 milliards de plus à Bruxelles pour 2026 (contribution nette, différence entre ce que l’on donne et reçoit)…
Comme nous l’avons écrit précédemment dans l’article « Point sur notre France et sa survie » : « Il faut revenir à 62 ans maximum, comme c’était précédemment, n’en déplaise aux libéraux (l’argent se trouve largement, ne serait-ce que sur le coût de l’immigration !). Il est inadmissible de ne pas donner à ceux qui ont travaillé toute leur vie la juste compensation d’un repos bien mérité. L’argent doit être pris là où il se trouve : dans les dépenses inacceptables d’un État devenu lui-même la première cause de la faillite du pays. »
Mais, rien n’est fait et nous sommes et resterons ceux qui luttent et proposent. Il faut considérer les travaux pénibles comme les mères qui ont eu des enfants et montrer que les solutions existent. Dans une société naturelle corporative où les groupements de métiers se font par profession, ce sont ceux-ci qui s’organisent et décident des droits et devoirs comme ils gèrent tout le domaine social qui est lié. Ces négociations se font en interne dans un conseil économique et ainsi tout est décidé en harmonie : apprentissage, sécurité sociale, aides, pénibilité et retraites…
Fidèles à nos grands-anciens du combat social, le Groupe d’Action Royaliste n’a pas attendu ce jour pour alerter sur le scandale des retraites, nous avions tracté dès février 2011 contre le recul de la retraite à 67 ans…
La France doit retrouver sa « souveraineté intégrale » et seule décider de son destin, retrouver sa croissance économique par le développement de la richesse nationale et alors Notre Jour Viendra !
GAR
La libération passera par la prise de conscience et l’action
À l’intention de ceux qui ont suivi nos discours lors des banquets du GAR comme nos mises en garde des périls qui menaçaient notre France comme notre civilisation, vous verrez la justesse de nos mises en garde. À écouter et diffuser, Philippe de Villiers voit juste !
La libération passera par la prise de conscience et l’action en retrouvant l’appel de nos racines en cette Douce France et Notre Jour Viendra !
GAR
Faisons le point sur la survie de notre France.
Nous voici au cinquième acte d’une tragédie républicaine qui, souvent au théâtre, est le dernier. Foutriquet au pouvoir semble être la réincarnation de Néron sur la triste peau de chagrin nommée France. Nous sommes face à une classe politique baignant dans les scandales et affaires diverses pour qui le peuple de France n’accorde plus aucun crédit. Chaque jour en France, l’insécurité gangrène toute vie citoyenne dans une impunité montrant combien ce semblant d’État n’assure plus sa première et essentielle fonction qui est la protection des citoyens. La porosité de nos frontières ouvre la porte à la misère du monde, offrant, grâce à notre système corrompu, les mêmes droits qu’à nos nationaux qui ont acquis de dures luttes et sacrifices le peu dont ils bénéficient. Jusqu’à quand ?
Nos anciens ont-ils payé de leur sueur et de leur sang une liberté pour la voir ainsi bafouée chaque instant ?
La bassesse et la lâcheté ont toujours fait d’un nom, même très haut placé, le synonyme de polichinelle. La situation de l’Éducation nationale, de la Santé, de la Justice, de la Police, des Pompiers et de l’économie est catastrophique.
Il n’y a plus d’emplois, car il n’y a plus d’usines ni d’industries, et le système persécute le monde agricole avec des normes tout en ouvrant le marché intérieur à la scandaleuse internationalisation alimentaire. Ces « élus » trahissent au nom de l’Europe et vendent la France à la découpe. Les scandales s’accumulent, de la fermeture de Fessenheim aux horribles éoliennes, sans parler des affaires qui touchent directement l’État avec les cabinets de conseil comme McKinsey (1 milliard d’euros l’an dernier », le Canard enchaîné, 30 mars 2022), affaire Benalla…
« Sur le nucléaire concrètement, 14 réacteurs de 900 MW seront fermés d’ici 2035. Ce mouvement commencera à l’été 2020 avec l’arrêt définitif des 2 réacteurs de Fessenheim. Il se prolongera avec la fermeture de 4 à 6 réacteurs avant 2030 », E. Macron, Twitter 27/11/2018
Depuis 2012, avec Hollande et surtout Macron, nombreuses sont les grandes entreprises françaises abandonnées ou vendues à des groupes étrangers. Pour ne prendre que quelques exemples, en 2014 : 474 entreprises françaises sont passées aux mains d’investisseurs étrangers, plus de 32 % par rapport à 2013 :
- Alstom Énergie (numéro 1 mondial des turbines pour les réacteurs nucléaires) vendue à l’Américain General Electric.
- Arcelor (leader mondial de l’acier) vendue à l’Indien Mittal Steel.
- Pechiney (leader mondial de l’aluminium) vendue au Canadien Alean.
- Sanofi Opella, vendue à un fonds d’investissement américain.
- Alcatel-Lucent, vendu aux Finlandais Nokia (après suppression de 600 emplois !).
- Les Chantiers navals de l’Atlantique, vendus aux Norvégiens Aker Yards puis aux Coréens STX Shipbuilding puis à l’Italien Fincantieri.
- Lafarge, numéro 2 mondial du ciment, vendu au Suisse Holcim.
- Le Club Med vendu à la Chine.
- Rossignol, numéro 1 du ski, vendu à l’Américain Quiksilver.
- Yoplait vendu à l’Américain General Mills.
- Teisseire, spécialiste des boissons non alcoolisées, vendu au britannique Britvic.
- Amora Maille, spécialiste de la moutarde vendue au géant néerlandais Unilever.
- Parfums Marionnaud vendus aux Chinois (après suppression de 800 emplois !).
- L’aéroport international de Toulouse vendu aux Chinois, puis revenu dans le giron après l’avoir racheté aux Chinois.
- Le Groupe Latecoere, spécialiste historique de l’aéronautique, vendu au fonds d’investissement américain Sear Chlight Capital Partner qui détient aujourd’hui 66 % du capital. Une partie des activités de Latecoere a été délocalisée au Mexique et en République tchèque (après plusieurs centaines de suppressions d’emplois en France).
- Omnic, encore un fleuron français, spécialiste des semi-conducteurs pour l’industrie spatiale et les télécoms, vendu aux Américains.
- Heico, spécialiste des équipements pour l’industrie spatiale, les télécoms, le médical, etc., vendu aux Américains pour 453 millions d’euros.
- Exxelia (spécialiste des composants pour l’aérospatiale et le médical) vendue aux Américains.
- Technip, fleuron de l’ingénierie pétrolière, vendue à l’Américain FMC.
- Adit, (intelligence économique) vendue au Canadien Sagard.
- Proxinvest (spécialiste du conseil de vote) vendu à l’Américain Glass Lewis.
- Plüm (fournisseur d’énergie) vendu aux Britanniques Octopus Energy.
- Reden Solar (spécialisé en photovoltaïque) vendu à un consortium d’investisseurs australiens, allemands et canadiens.
- Segault (spécialisé dans les robinets industriels) vendu à l’Américain FlowServe.
- Ascoval (aciérie) vendue au groupe britannique British Steel Limited, puis à Liberty Steel, puis rachetée par l’Allemand Saarstahl AG.
- Vencorex vendu au Chinois Wanhua, entreprise chimique chinoise spécialisée dans les produits plastiques, avec comme à chaque fois les brevets et procédés industriels de ce fleuron de l’industrie chimique française (2000 postes de salariés en aval et 6000 en amont sont menacés en France).
Ciril, une entreprise du groupe lyonnais spécialisée en hébergement de données pour l’optimisation des entreprises, des collectivités publiques et des hôpitaux, a été achetée par Carlyle Group, un fonds de pensions américain géré par d’anciens membres de la CIA. Etc., etc…
Au total, c’est à peu près plus de 1600 entreprises françaises qui ont été vendues à l’étranger, beaucoup à des fonds de pensions américains. 138 en 2024. Une trentaine pendant les 6 premiers mois de 2025…
Cette liste est non exhaustive et montre que le mot souveraineté a depuis bien longtemps perdu toute signification dans notre pays, même si des élus osent encore en parler pour un public qui depuis bien longtemps n’y croit plus. La souffrance du petit commerce, de l’artisanat, de la pêche, de l’agriculture (on détruit les cheptels entiers pour quelquefois un seul cas de dermatose, alors qu’un vaccin existe ?). Nous devons réagir avant qu’il ne soit trop tard. Le pays est surendetté par un État boulimique qui étouffe le pays. Il n’Il n’est pas difficile de comprendre que la dictature fiscale, qui dépasse les 45 % des ressources des ménages français, handicape la consommation.« PME » disparaissent, et beaucoup d’entre elles travaillaient pour les fleurons de l’industrie française. L’arithmétique est facile à faire : moins d’emplois, et donc pour nos finances publiques moins d’entrées de TVA, puisque moins de consommation, et moins de cotisations sociales et patronales. Aujourd’hui ces « choux gras » du gouvernement : élus, réélus, anciens ministres, présidents… touchent jusqu’à la retraite des sommes scandaleuses. Pendant ce temps, des retraités en France, des femmes d’agriculteurs ou de simples salariés, maçons ou autres n’ont quelquefois que cinq cents euros pour vivre, en ayant travaillé des semaines de 48 heures dans les années 70, quand ce n’est pas plus.
Le gouvernement a l’outrecuidance de réclamer aux Français de payer la note de leurs gabegies, alors que faire ?
S’il fallait égrener une « ordonnance » urgente pour soigner la France, nous dirions de sortir de Schengen et de rétablir urgemment nos frontières. Pour l’insécurité, réformer la justice et rétablir la priorité à la victime, rétablir les peines plancher, guerre aux narcotrafiquants… Nul besoin de construire des prisons, mais renvoyer tous les délinquants, prisonniers et OQTF étrangers, qui n’ont rien à faire sur notre territoire (52 000 chambres d’hôtel à 1,2 milliard alors que des Français dorment dans leur voiture ou dans la rue). Inutile de trouver des arguments car lorsque l’on veut, on se donne les moyens de pression nécessaires. C’est la force d’un État digne de ce nom.
Continuons les solutions, supprimer :
- Pacte asile immigration
- marché énergétique,
- Le marché des éoliennes et panneaux solaires scandaleux,
- le « Pacte vert »,
- le Mercosur.
sortir de l’Europe de l’impératrice Vanderlayen non élue, usurpant le pouvoir sur les peuples. En fait, reprendre sa souveraineté en rétablissant la priorité du droit national sur le droit européen.
- Supprimer l’AME (environ 1,3 milliard) et réserver pour les Français les prestations sociales auxquelles ils ont seuls le droit en ayant cotisé :
- Supprimer les aides au développement (130 pays pour environ 24 milliards d’euros), il est ahurissant de donner de l’argent pour les vignes d’Afrique du Sud (alors que l’Europe a payé, pour en arracher en France !) : dix millions d’euros pour les agriculteurs du Bénin, alors que les nôtres se suicident et l’Elysée donne 23 millions pour l’hôpital du Mozambique alors que nous avons des Français qui meurent en attendant aux urgences ?
- Encourager, comme le dit si bien Philippe de Villiers, le « Roman national » et, en priorité, dans les écoles, comme il faut remettre les professeurs sur « l’estrade ».
- Privatiser les chaînes publiques (4 milliards), arrêter les subventions aux journaux et aux ONG comme associations pro-migrants (environ 11 milliards). Les Français doivent être libres de donner leur argent où ils le désirent…
- Soutenir l’artisanat, l’agriculture et la pêche française.
…

Nous savons que seule la stabilité et la légitimité du pouvoir peuvent garantir la paix, tandis que la tradition et l’empirisme historique désignent la monarchie comme la solution à long terme pour toute renaissance souhaitable de la France et de la francophonie. En attendant, la réalité impose des choix urgents car la France est menacée dans son existence même, comme la nature même de l’homme et de la femme avec le wokisme. Comment imaginer que l’euthanasie puisse un jour être autorisée ?
Comment accepter des « batteurs d’estrades », des journaleux où des élus n’ayant jamais travaillé réclament l’allongement de la retraite pour les Français ? Il faut revenir à 62 ans maximum, comme c’était précédemment, n’en déplaise aux libéraux (l’argent se trouve largement, ne serait-ce que sur le coût de l’immigration !). Il est inadmissible de ne pas donner à ceux qui ont travaillé toute leur vie la juste compensation d’un repos bien mérité. L’argent doit être pris là où il se trouve : dans les dépenses inacceptables d’un État devenu lui-même la première cause de la faillite du pays. Sarah Knafo a largement dressé la liste des économies possibles…
Actuellement seul Philippe de Villiers propose l’essentiel de ce que nous souhaitons entreprendre pour redresser le pays.
Notre lutte n’est plus contre une république agonisante mais contre un système qui, comme le dénonçait Bernanos, désire transformer les êtres humains en numéros. C’est pour cela que notre message d’espérance touche à la fois les royalistes, et les traditionnalistes, ainsi que tous les patriotes et enfin tous les Français désireux de continuer cette exceptionnelle histoire millénaire de notre peuple.
Notre jour viendra !
GAR

• Lire Projet de société :

• Le Livre noir des Républiques en France (I et II).

• Justice sociale à travers l’histoire :

Ne les oublions pas !
Nous saluons ce jour nos cousins francophones de l’Ontario qui célèbrent le 50e anniversaire de leur drapeau Fleurdelysé. Vive l’Ontario francophone comme nous profitons pour saluer tous nos cousins d’Amérique, Notre jour viendra !
Au passage voici comment là-bas, au-delà de la « Grande-Rivière » comme disaient les Amérindiens, la tradition Française est maintenue, bravo à Xavier St-Aubin et son entourage…
GAR
Un monde en déclin…
Ces derniers jours mettent en lumière la situation d’un monde en déclin. L’assassinat à caractère raciste d’Irina Zaroutska le 22 août dans le métro de Charlotte (Caroline du Nord) par un individu Afro-Américain, ayant un historique judiciaire comprenant 14 arrestations et déclarant à plusieurs reprises « j’ai eu cette fille blanche », soulève des questions sur les tragédies déjà présentes dans notre société. De la petite Lola (octobre 2022) à Thomas (novembre 2023), Anthony (aout 2023), Philippine (septembre 2024), Philippe (avril 2024) en passant par Samuel Paty, Bernard (octobre 2023), Gervaise (mai 2022) et tant d’autres, la liste n’est pas exhaustive, ne faisant que s’allonger, victimes d’une justice laxiste pour la plupart. Les agressions se multiplient, sans parler des viols qui s’accumulent, comme celui atroce de Cherbourg (aout 2023), dans une société trahie par un État qui doit avant toute chose défendre son peuple en priorité. L’assassinat d’Ashur Sarnaya, réfugié chrétien-irakien à Lyon avec sa soeur et persécuté par les islamistes, montre l’incapacité de l’État ripouxblicain à assurer la sécurité élémentaire de ceux qui fuient la barbarie d’un autre temps. Cet homme en chaise roulante faisait partie de la communauté assyro-chaldéenne et ayons une pensée pour nos frères chrétiens d’Orient dans la souffrance. Jusqu’à quand devrons-nous supporter l’entrée de populations qui mettent en danger notre civilisation ?
Pour finir, mes dernières paroles iront vers Charlie Kirk, influenceur républicain états-unien, assassiné le 10 septembre, laissant sa femme et deux enfants en bas âge. Comme le dit Philippe de Villiers, il est le « 1er martyr du wokisme ». Cet homme allait mener la contradiction dans les universités, affrontant les critiques de certains esprits chimériques en perdition. Il savait convaincre l’assistance vers les valeurs de la tradition, éternelles et permanentes, avec les particularités états-uniennes qui ne sont pas toujours celles de notre pays. Selon la formule classique, nous pouvons dire : « Dieu vous a accueilli dans sa lumière » et sachez de là-haut que notre jour viendra !
GAR
Être des militants de tous les jours :
Discours de Frédéric Winkler-Poretti prononcé lors du Banquet Camelots du 1er décembre 2019, expliquant que notre combat est une activité de tous les jours…
Le vrai sens du pouvoir au peuple :
Discours d’Olivier Tournafond prononcé lors du Banquet Camelots du 17 mars 2013, sur le vrai sens du pouvoir au peuple ! :
TRADITION ET MODERNISME
« Tout l’avilissement du monde moderne, […] vient de ce que le monde moderne a considéré comme négociables des valeurs que le monde antique et le monde chrétien considéraient comme non négociables. »
Charles Péguy
Faisons dans un premier temps une comparaison entre trois générations de Français. Un de 1814, un autre de 1914 et un dernier de 2014. Observons ce qu’était le Français en 1914. C’est loin d’être une erreur que de constater que le Français issu de la société du début du XXè siècle aurait parfaitement pu se reconnaître dans celle de 1814. La société française durant le siècle qui sépare ces deux années avait très peu changé. On a affaire à une France rurale et traditionnelle dans la majorité. Un Français de 1914 propulsé en 1814 aurait pu aisément avoir des conversations avec les Français de cette époque. Les us et coutumes, les traditions et la pratique religieuse sont, dans l’ensemble, restés intacts malgré les divers changements de régimes et les guerres jalonnant ce siècle. Il n’aurait pas été pleinement dépaysé et aurait pu aisément faire sa place dans cette France de 1814, sans aucun problème. Maintenant, faisons un comparatif mais cette fois-ci entre un Français de 2014 avec celui de 1914. Imaginons donc un Français de 1914 propulsé dans le futur et évoluant dans la France de 2014. Que verrait-il en comparaison de son époque ? Il verrait une France devenue essentiellement urbaine et où la paysannerie est réduite à son strict minimum. Il verrait des églises vides, des centres commerciaux pleins et de la publicité partout. Il verrait les Français enfermés chez eux devant la télé ou Internet et ne communiquant le plus souvent qu’avec des téléphones portables. Il verrait un peuple devenu excessivement individualiste et surtout très consommateur et matérialiste. Il constaterait l’américanisation de la société, s’abreuvant de films, séries et musiques américaines, mangeant au mac do, buvant du coca, et parlant un jargon mi français mi anglais. Il constaterait l’hégémonie de l’automobile devenue envahissante, ainsi qu’une pollution devenue excessive en comparaison de 1914. Il verrait un peuple déraciné ou les us et coutumes ancestrales ont quasiment toutes disparu, faisant place aux « gay pride » ou « techno-parades » et autres stupidités de ce monde moderne. Il verrait les problèmes des cités et l’absence d’autorité du gouvernement face aux divers problèmes que rencontre la société de 2014. Il verrait des familles instables avec un taux de divorce particulièrement élevé. Sans oublier les mariages entre homosexuels… et la liste est encore malheureusement bien longue !
(suite…)






