« La France est en train de liquider son agriculture. Le symbole est fort, il est même épouvantable. On s’apprête à sacrifier la viande française, dont chacun connaît les exigences de qualité et de précaution, pour faire entrer de la viande argentine via le Mercosur, une viande trafiquée aux activateurs de croissance et aux hormones. Paysans, tenez bon ! Vous êtes les derniers Français ! Annie Genevard devrait démissionner. » Philippe de Villiers
« …le 22 mai 2023, la Cour des comptes a publié un rapport sur « les soutiens publics aux éleveurs de bovins » en émettant plusieurs préconisations dont celle de réduire le cheptel bovin… »
Depuis hier, les éleveurs et les agriculteurs résistent contre la décision d’abattre quelque 207 vaches « Blondes d’Aquitaine » pour un cas de dermatose identifié. Même vaccinées, elles sont et seront abattues ! Ce massacre infernal se pratique alors que l’on nous prépare à accepter l’importation de viandes venant d’Amérique du Sud aux normes sanitaires plus que douteuses… Les lycées agricoles ont rejoint le mouvement de contestation contre ce carnage consistant à détruire nos cheptels bovins. Entre les normes dictatoriales européennes et la « Cour des comptes » préconisant la diminution de 25 % du cheptel français, on comprend la colère paysanne, sur fond de signature du Mercosur par ailleurs.
On notera le silence des « bobos », soi-disant défenseurs de la souffrance animale, alors que quelque 3000 vaches ont déjà été tuées, fragilisant plus d’une centaine d’exploitations et parfois dans des conditions inadmissibles (voir article précédent : Résistance). Peu importe la souffrance des éleveurs, le système envoie ses forces serviles agir contre les Français, c’est tellement plus facile que de réprimer les racailles comme d’arrêter les narcotrafiquants. On est dans le deux poids deux mesures, ce « gouvernement » est devenu, avec Foutriquet en tête, la honte dans cette destruction infernale du tissu social de notre pays. Les agriculteurs sont piétinés comme les salariés de Brandt qui passeront de tristes fêtes de Noël…
Devant la honte et l’insupportable abatage des cheptels de nos éleveurs, il est de notre devoir de soutenir le monde agricole dans la souffrance. Lorsqu’on voit l’arrivée des « cerbères » du gouvernement, pour tuer arbitrairement les animaux, nos poings se serrent.
Ce système n’a plus rien d’humain et nous dirige vers les pires catastrophes comme le prophétisait Bernanos. Il est vrai qu’il est beaucoup plus facile de terrasser une famille d’éleveurs que des racailles des cités !
Les larmes des enfants voyant tuer les veaux et les vaches qu’ils connaissent n’émeut pas nos fonctionnaires aux ordres et cela même sur les animaux qui sont vaccinés contre la dermatose !
Ce « gouvernement » avec foutriquet qui impose le Mercosur est le fossoyeur de la France, soumit à une Europe ayant décidé de supprimer nos élevages comme notre agriculture. Aidons nos agriculteurs et éleveurs à résister comme à vivre…
N’oubliez pas tout ce qui de près ou de loin nous est cher, est chaque jour détruit par ce système mais Notre jour viendra !
Le sujet de la retraite déchire les partis désirant le pouvoir ou s’y maintenir. La Macronie a imposé le recul à 64 ans au lieu de 62 précédemment, contre l’opinion de la majorité des Français (la réforme de 2010 avait relevé l’âge d’ouverture des droits de 60 à 62 ans). Avant de parler des retraites et afin d’être cohérent, il faut prioritairement aborder en amont le sujet de la natalité où Hollande et Macron ont supprimé les aides. La démographie est le sujet primordial concernant ce sujet. Une saine politique (voir l’ouvrage : Projet de société)…
De nombreuses solutions sont envisagées, allant des retraites à points ou par répartition jusqu’à des solutions plus profondes, telles que les solutions corporatives. Cette fameuse troisième voie n’est jamais envisagée par un système qui ne voit de réponse qu’entre le socialisme et le libéralisme, qui partagent les mêmes ancêtres idéologiques. Il est d’ailleurs étonnant d’entendre sur les écrans des prétendus chrétiens défendre les thèses libérales en ayant jeté dans les poubelles de l’histoire la doctrine sociale de l’Église que l’école des catholiques sociaux mit en évidence depuis la Révolution et durant tout le XIXᵉ siècle jusqu’à nos jours. Il suffit de relire « Justice sociale, à travers l’histoire » pour en avoir un aperçu.
Le problème des retraites doit d’abord être résolu, comme précisé, par une politique nataliste qui nécessite, en amont, la fermeture de nos frontières ainsi que l’arrêt de toute subvention et des avantages sociaux distribués de manière excessive à l’échelle mondiale. Ce n’est pas l’argent des Français qui doit entretenir la misère du monde.
Il faut relocaliser le travail en France et favoriser les créateurs de richesse entraînant le développement d’entreprises et par conséquent des emplois. Il faut :
réformer la fiscalité,
baisser les charges des investisseurs,
supprimer les normes abusives autant dans les constructions industrielles que dans l’agriculture,
arrêter l’hémorragie des faillites comme la spoliation, la délocalisation des fleurons de nos entreprises vers l’étranger (Roumanie, Pologne…), que nous finançons en plus dans l’Europe !
la concurrence déloyale de l’étranger est sponsorisée par l’Europe de Bruxelles dont il faut se libérer.
Établir une solide barrière douanière pour protéger notre économie (industrielle et agricole).
Aider les PME (petites et moyennes entreprises),
supprimer le vol fiscal sur les héritages,
augmenter les salaires.
Petit rappel historique :
Ce que les libéraux et la gauche cachent, c’est la réalité historique des avancées sociales (Justice sociale à travers l’histoire). Le docteur et sociologue monarchiste Louis René Villermé (1782-1863) proposait déjà, dans un discours retentissant, après la Révolution, des caisses de maladie et de retraite comme des réductions horaires et une attention sur la condition des femmes et des enfants, à l’Académie des sciences morales et politiques en 1837. Armand de Melun avec Benoist d’Azy reprendront ses idées (18 juin 1850) et en mars 1883 Monseigneur Freppel accompagné des députés royalistes déposent la proposition de loi pour les retraites ouvrières. Inutile de préciser que la loi est refusée par la droite libérale et la gauche ! Avec Armand de Melun le 29 mars 1886, nouvelle proposition de loi sur les retraites ouvrières et toujours refusée par l’opposition unie de la droite libérale et de la gauche socialiste. En décembre 1891, proposition de loi sur les retraites ouvrières, maladie et vieillesse par Albert de Mun, Fernand de Ramel et Charles Lecour Grandmaison, toujours refusée. Les propositions de loi continuent avec la ténacité des catholiques sociaux royalistes : 1900 « Retraite des ouvriers mineurs » (F. de Ramel) et « Assurance vieillesse », 1902 « Retraite ouvrières » (Dansette), 1905 « Assurances vieillesse par des caisses professionnelles et régionales » (de Gailhard-Bancel), 1910 « Retraites ouvrières » (A. de Mun). Voilà quelques exemples sur ce seul sujet et ce ne sont pas les preuves qui manquent sur les autres lois réclamées. Cachant l’histoire, les « guignols » de plateaux médiatiques continuent de revendiquer la pérennité des acquis sociaux !
Le débat se situe dans la création des richesses et l’on s’aperçoit très vite que le coût des retraites devient alors dérisoire. Il faut soutenir et développer le travail en France, rehausser les salaires (exemple : réduire la différence entre le brut et le net), rendre attractifs les métiers difficiles, leur redonner une sorte de noblesse comme au temps des corporations. En relisant les textes anciens (Justice sociale à travers l’histoire), on s’aperçoit que le passé peut apporter les solutions pour demain, c’est cela l’empirisme.
Il faut arrêter de pointer du doigt la retraite et les retraités, alors que ceux-ci ont droit au respect et c’est un devoir moral. Ils ont travaillé et cotisé durant toute leur vie, on travaillait plus de 45 heures en 1966 avant de passer aux 39 heures en 1980…
Les retraités font aussi marcher l’économie, ne l’oublions pas. Même si l’âge du départ peut être à 62 ans, le taux plein est à 67 ans et pour un travailleur au smic (salaire minimum) c’est extrêmement difficile, mais les privilégiés de la ripouxblique s’en moquent !
Entendre les libéraux antisociaux traiter les retraités de nantis, cela demeure insupportable et indécent. Qui ne voit dans nos rues des personnes âgées faire les poubelles, ramasser quelques légumes au départ des marchés tandis que certains dorment dans leur voiture. Ils sont abandonnés, tant par le simple regard que par la compassion d’une collectivité en perte de repères, qui semble mûre pour l’esclavage d’un laboratoire national multiculturel annonçant le monde des robots décrit par Bernanos…
Comment ose-t-on parler du coût des retraites, dont la suspension est évaluée à 400 millions pour 2026 et 1,8 milliard pour 2027 :
lorsque sans consultation du peuple, on distribue honteusement 40 milliards à l’Ukraine !
lorsque l’on accepte de donner 5,5 milliards de plus à Bruxelles pour 2026 (contribution nette, différence entre ce que l’on donne et reçoit)…
Comme nous l’avons écrit précédemment dans l’article « Point sur notre France et sa survie » : « Il faut revenir à 62 ans maximum, comme c’était précédemment, n’en déplaise aux libéraux (l’argent se trouve largement, ne serait-ce que sur le coût de l’immigration !). Il est inadmissible de ne pas donner à ceux qui ont travaillé toute leur vie la juste compensation d’un repos bien mérité. L’argent doit être pris là où il se trouve : dans les dépenses inacceptables d’un État devenu lui-même la première cause de la faillite du pays. »
Mais, rien n’est fait et nous sommes et resterons ceux qui luttent et proposent. Il faut considérer les travaux pénibles comme les mères qui ont eu des enfants et montrer que les solutions existent. Dans une société naturelle corporative où les groupements de métiers se font par profession, ce sont ceux-ci qui s’organisent et décident des droits et devoirs comme ils gèrent tout le domaine social qui est lié. Ces négociations se font en interne dans un conseil économique et ainsi tout est décidé en harmonie : apprentissage, sécurité sociale, aides, pénibilité et retraites…
Fidèles à nos grands-anciens du combat social, le Groupe d’Action Royaliste n’a pas attendu ce jour pour alerter sur le scandale des retraites, nous avions tracté dès février 2011 contre le recul de la retraite à 67 ans…
La France doit retrouver sa « souveraineté intégrale » et seule décider de son destin, retrouver sa croissance économique par le développement de la richesse nationale et alors Notre Jour Viendra !
IV – Point sur notre France et sa survie (suite articles précédents)
« Jamais la menace totalitaire n’a été aussi présente, aussi probable, depuis la peste brune et la peste rouge qu’avec la macronie finissante. » Philippe de Villiers
Le gouvernement macroniste avec Néron en tête parle de réindustrialisation de notre pays alors que depuis son arrivée au pouvoir ce ne sont que délocalisations, rachats et faillites d’entreprises. Nous avons pour cette année moins de créations que de faillites d’entreprises, sachant qu’en 2023 57729 entreprises disparaissaient !
Mais continuons le bilan catastrophique de l’infatué : – Thomson pour l’électronique – STX pour les paquebots – les infrastructures d’autoroutes – les barrages pour l’énergie – Suez pour le gaz et Saint-Gobain pour les matériaux – Paribas et le CCF pour la finance – Essilor, leader des verres ophtalmiques – Matra pour la mécanique
Puis dans la foulée la macronie à accepter que SAFRAN transfère toute sa technologie afin de favoriser le groupe indien « Hindustan Aeronautics Limited » dans sa recherche de moteur d’avion de chasse. Je vous laisse imaginer ce que doit penser Dassault dans cette fourberie ! Il est vrai que Latécoère, leader en technologie de l’aéronautique est partie en 2019.
Nous avons perdu Doliprane pour nos médicaments, les Etats-Unis ont « engrangé » plus de 130 milliards de ce qui faisait nos fleurons, notre fierté économique, quelques 1570 entreprises françaises (Les Echos). Dormez Français car pendant ce temps, sans bruit un gisement important de thorium dans les Vosges a été cédé à une entreprise chinoise (Le Journal Economique). EDF vient de céder aussi Exaion (supercalculateurs blockchain) aux USA, « Mara Holdings » prenant 64% du capital pour 168 millions de $ avec la perspective de 75% à l’horizon de 2027. C’est pourtant là aussi une technique importante du crypto français qui part vers un fond américain. ArianeGroup, le 27 octobre 2025 « a officialisé un changement majeur dans la chaîne de production du lanceur Ariane 6, avec la signature d’un accord transférant l’assemblage du moteur supérieur Vinci de Vernon (France) vers Lampoldshausen (Allemagne). » C’est par conséquence quelques 600 emplois qui disparaissent en France. On peut rajouter d’autres exemples comme les aciéries de Bonpertuis qui, depuis 600 ans existaient dans notre beau pays où l’épée de François Ier avait été forgée. Sa fermeture est la conséquence comme nombre de petites entreprises et commerces du coût de l’électricité. Ce prix de l’énergie lui-même la conséquence de l’indexation de nos prix à ceux de l’Europe comme la politique destructrice de Macron et consort sur le nucléaire, avec la fermeture de Fessenheim…
La folle politique idéologique visant aux voitures électriques est aussi catastrophique où nos industries automobiles (300000 emplois) s’effondrent. Les entreprises d’équipement, les fournisseurs, les métallurgie, mécanique… vont en amont disparaître aussi car il faut bien comprendre les conséquences sociales et économiques sur les populations, les villes et les régions après. Les « Hauts de France » ont perdu 39,6% d’emplois, la Bourgogne-Franche-Comté : 40,9%, le « Grand-Est » : 43,9%, l’Ile de France : 40,3%, l’Auvergne-Rhône-Alpes : 22,5% (Le Figaro) … A Villefrance-sur-Saône, Blédina qui existe depuis 1881, va fermer ses portes. « Le dernier biscuit est sorti à 9h35 » titrait « France 3 Nord Pas-de-Calais », la chaîne de production « LU » ferme ses portes à Château-Thierry…
Il est terrible de dire que la liste s’allonge de jour en jour et nous pouvons ajouter pour Novasco (Acier, ex-Ascometal) autre fleuron Français, que les dernières informations annoncent que trois sites sur quatre de l’aciériste sont sur le chemin de la liquidation avec quelques 549 emplois (sur 693 salariés) devant disparaitre. Le plus grand site à Hagondange en Moselle ferme, seule l’usine de Leffrinckoucke (vers Dunkerque) resterait (AFP, 17 novembre). L’actualité catastrophique de ce système antisocial continue car ces jours-ci : le groupe Brandt (électroménager) voit son avenir fortement en danger par un redressement judiciaire. Ce sont quelques : « 700 salariés en France, dont 450 en Centre-Val de Loire, répartis sur les deux sites de Saint-Jean-de-la-Ruelle (Loiret) et de Saint-Ouen, près de Vendôme (Loir-et-Cher) », selon l’AFP, qui vivent l’angoisse de cette période avant Noël. Pour mieux comprendre l’impact, il faut imaginer les familles derrières ces salariés et toutes les infrastructures sociales autour : magasins, villes, écoles… Tout cela se passe dans un silence de mort pendant que discrètement la diplomatie tente de spolier le territoire national d’outre-mer des îlots Matthew et Hunter, à 300 kilomètres de la Nouvelle-Calédonie (Est), représentants quelques 350 000 kilomètres carrés de rayonnement maritime stratégiques, d’une valeur inestimable. Tout cela pour les beaux yeux du Vanuatu !
Un lointain historique rappel à nos mémoires l’abandon des iles Minquiers et Ecrehous par le pouvoir socialiste en la personne de Lionel Jospin, dont nos marins-pêcheurs ont largement payé la triste note (600 familles impactés entre Pimpol et Cherbourg, sans parler de la perte stratégique des kilomètres marins, lire le Projet de société).
Ce système détruit chaque jour un peu plus des siècles de construction, il est temps de se réveiller avant qu’il ne soit trop tard et Notre Jour Viendra ! (Tiocfaidh àr là !)
Pour résumer une semaine sur les événements politiques et comprendre les menaces et fantasmes d’un système de fin de règne, sombrant chaque jour dans ce qu’Orwell annonçait, écoutons Philippe de Villiers dont l’analyse est d’une grande lucidité…
Tout est dit et nous partageons entièrement toutes ses analyses. Il est largement temps que le peuple se lève pour la libération nationale et Notre jour viendra !
Le jeune roi Baudouin IV rongé par la lèpre fait face avec ses cinq cent chevaliers à une marée humaine de Sarrasins conduite par Saladin : « L’évêque de Bethléem éleva dans ses mains la Vraie Croix et la présenta à ceux qui allaient verser leur sang pour la liberté du royaume…Baudouin, que cette chevauchée à bride abattue avait épuisé, parut tellement affaibli que ses soldats succombèrent un instant au doute. « Mais le Dieu qui fait paraître sa force dans les faibles, écrit Michel le Syrien, inspira le roi infirme. Le reste de ses troupes se réunit autour de lui. Il descendit de sa monture, se prosterna la face contre terre devant la croix et pria avec des larmes. A cette vue le cœur de tous ses soldats fut ému. Ils étendirent tous la main sur la croix et jurèrent de ne jamais fuir et, en cas de défaite, de regarder comme traître et apostat quiconque fuirait au lieu de mourir. Ils remontèrent à cheval et s’avancèrent contre les Turcs qui se réjouissaient pensant avoir raison d’eux. En voyant les Turcs dont les forces étaient comme une mer, les Francs se donnèrent mutuellement la paix et se demandèrent les uns aux autres un mutuel pardon… » (P. Aubé, dans Baudouin IV de la chevalerie à la sainteté). Ce sera ce 25 novembre 1177 pour Saladin une défaite cuisante et la plus grande victoire des Croisades en Terre Sainte et en ce jour, reste en nos mémoires cette « geste des Francs » et une pensée pour nos frères d’Orient dans la souffrance, notre Jour viendra !
Les propos anxiogènes du chef d’Etat major des armées le général Mandon, dont la proximité avec le foutriquet de l’Elysée montre ce que l’on doit en penser, a déclaré aux maires de France, le 18 novembre : « qu’il fallait « accepter de perdre ses enfants » face à l’éventualité d’une guerre avec la Russie. » (Le Monde 22/11/2025)
Nous publions les propos de Philippe de Villiers en guise de réponse, représentant l’avis de la majorité des Français. Monsieur de Villiers parle comme devrait parler un chef de l’Etat responsable, ce que nous ne voyons plus depuis plusieurs années…
« Lundi on a à Villacoublay la signature de la lettre d’intention pour vendre, « vendre » à l’Ukraine : 100 Rafales. Emmanuel Macron et Zelenski, qu’est ce que cela veut dire ?
Cela veut dire que l’on adopte un statut de belligérance et c’est extrêmement grave, surtout qui va payer ?
On a déjà payé 21 milliards à l’Ukraine, les Français ne le savent pas et cela n’a pas été voté ! Vingt et un milliards !
Vous pouvez calculer, 100 rafales, sachant que l’on a 105 Rafales. Donc on va se dépouiller ? On va prélever ? Ou alors, on va fabriquer ? tout cela est obscur.
Le mardi on a la déclaration du général Mandon, c’est une honte, c’est une honte et je vais vous dire pourquoi. Il y a un double paradoxe. Aujourd’hui, il nous dit la force d’âme c’est de s’occuper de l’Ukraine, moi je dis que la force d’âme, c’est de s’occuper de la France. La force d’âme c’est de s’occuper de l’indépendance de l’Ukraine, de la frontière Ukrainienne, de la souveraineté Ukrainienne, de l’identité Ukrainienne, non, non !
Moi je veux m’occuper de la France, de l’indépendance de la France, de la frontière Française, de la souveraineté Française. Deuxième paradoxe, il veut envoyer nos enfants se faire tuer !
Mais nos enfants se font déjà tuer, dans les banlieues, Philippine, cela te dit quelque chose, non !
Elias, Thomas, Mathis… c’est-à-dire que chez nous, on a le terrorisme, on a déjà une guerre chez nous et vous voulez l’exporter ailleurs, la guerre ?
Ou en Ukraine, ça ne nous dit rien l’Ukraine, parce que vous ne voulez pas que l’on vous parle de la Seine Saint Denis, alors vous voulez nous emmener mourir au Donbass ? C’est une honte !
Ensuite le jour d’après, on a quoi ? On a le kit, vous voyez, le kit anxiogène, où on nous explique : si tu vas aux toilettes, il ne faut pas prendre du papier journal, faut prendre du papier de soie !
Vous avez vu le truc incroyable, on n’y avait pas pensé !
Ils se foutent de notre gueule et enfin ce que vous ne savez pas, j’aurais pu l’apporter, le 31 octobre dernier, il y a un décret qui a été signé par le 1er ministre et le ministre de la Défense, ce décret prévoie la légalisation de l’utilisation de sociétés militaires privées à l’image des sociétés militaires privées américaines qui sont intervenues en Irak. Tout cela pour intervenir en Ukraine. C’est quoi ? Ce sont des mercenaires, on paie des mercenaires, personne ne le sait, ce décret est passé inaperçu, sauf de moi et il pose deux problèmes et je terminerai par-là,
1er problème : on engage un conflit avec une puissance nucléaire par procédure administrative, vous voyez la gravité…
2e problème : C’est la privatisation rampante de la politique étrangère de la France, c’est-à-dire que c’est la diplomatie militaire par l’intermédiaire de sociétés privées de mercenaires qui gagne du fric sur le dos des contribuables, qui en a parlé de cela ?
Donc c’est une honte, ce général, il faut qu’il démissionne. Il est pire que le général Gamelin. Il veut nous emmener à la guerre, il veut nous faire tuer avec son chef, le chef suprême parce qu’ils sont tellement paniqués parce qu’ils ne savent plus comment rattraper les Français. Pour rattraper les Français, ils veulent nous emmener en guerre en Ukraine. Alors que moi je dis mais la Russie ne veut pas nous faire la guerre et il faudra bien qu’un jour on se réconcilie comme le font les Américains avec les Russes. Il faut qu’on parle avec les Russes, donc c’est absurde de couper l’Europe en deux et de jeter la Russie dans les bras de la Chine. Ayons un peu de sens géopolitique, prenons la bonne hauteur et il faut se débarrasser de ce président de la République qui a perdu la raison. » (Philippe de Villiers, Cnews 19h le 21 novembre 2025)
Quelle indécence d’entendre un général parler ainsi. Combien de familles, de mères, de pères, frères et sœurs et cousins sont endeuillés aujourd’hui par les meurtres et attentats du terrorisme islamique, menace qui est bien plus réelle sur notre sol. Oui nos enfants meurent et ce n’est pas à cause d’un pseudo menace Russe. Le rôle d’un chef de l’État est de tout faire pour protéger ses citoyens afin d’assurer à son peuple la sécurité comme la paix. Il faut bien constater que le système est en faillite totale sur tous les sujets. La première guerre mondiale fut une catastrophe pour notre pays et les conséquences amenèrent la seconde (lire Jacques Bainville).
Au lieu de fantasmer et de regarder à l’Est, les réalités menaçantes sont ici, Michel Fayad l’a bien exprimé sur les plateaux : « Aujourd’hui il y a daech et al qaïda qui ont quand même fait la conquête de quasiment deux fois la taille de la France en Afrique, Bamako est en passe de tomber, la capitale du Mali, on parle de plus d’un million de kilomètres carré en Afrique tombé entre les mains de daech et d’al qaïda. C’est beaucoup plus grand que ce que Daech avait en Irak et en Syrie. Imaginez-vous aujourd’hui le mal que cela pourrait faire à la France et à l’Europe. Demain ils pourront peut-être entrer en Algérie, rentrer au Niger, rentrer au Tchad, rentrer en Lybie. Ils sont déjà entrés en Lybie et en fait, être aux portes de l’Europe… » (Cnews)
Il ne suffit pas d’endosser une combinaison de militaire pour être un soldat et les réalités de la guerre sont bien assez terribles pour ne pas s’amuser devant les cartes d’état-major. Il est temps de se réveiller sur les réalités géopolitiques et surtout, de ne pas se tromper d’ennemis !
« Soutenir l’agriculture, c’est faire respecter l’exception agriculturelle. » Philippe de Villiers
La dermatose nodulaire bovine est une épizootie, c’est-à-dire une maladie affectant une espèce animale sans transmission à l’être humain, et l’abattage du troupeau entier pour une seule vache malade est une idiotie affreuse, rappelant les médecins « diafoirus » de Molière. En est-on si éloigné lorsque l’on examine sérieusement la politique sanitaire mise en place lors du covid ?
Tuer tout un troupeau pour une vache malade, n’est-ce pas un crime contre la nature ?
Les Français doivent savoir que les vaches saines ont été abattues sans aucune justification et des cheptels entiers ont disparu…
La raison peut être cherchée ailleurs dans ce plan macabre de l’Union européenne faite pour détruire les nations. Les officines sanitaires aux ordres obscurs ont tué les vaches, les mères devant les enfants, les unes après les autres, quelquefois sous les yeux des familles d’éleveurs, devant les enfants en pleurs…
L’Italie et la Grèce ne l’ont pas fait, connaissant l’inutilité de l’acte, et les Suisses vaccinent les vaches…
Oui, c’est un crime contre la nature avec des massacres pour rien !
Une vache représente en France le résultat d’une sélection sur plusieurs générations. Les jeunes éleveurs ne se relèveront pas d’un tel sacrifice et le suicide des paysans est suffisamment alarmant pour ne pas en rajouter. Les éleveurs ont reçu un simple appel téléphonique avec l’arrivée de forces de gendarmerie, plus promptes à persécuter le monde agricole que les trafiquants de drogue. Nos agriculteurs sont persécutés par des ordres incohérents, des normes, une concurrence déloyale et tout cela généré par un système antisocial.
La trahison du Mercosur :
Dans le Mercosur, il est souhaité depuis longtemps que notre agriculture et notre élevage disparaissent au profit d’autres pays importateurs, tels que l’Argentine, le Brésil, la Bolivie, le Paraguay et l’Uruguay, qui inondent déjà notre marché alimentaire. Tant pis pour les naïfs qui croyaient encore aux paroles de ceux qui piétinent ce qu’il reste de notre patrimoine agricole. Souvenez-vous de la « botte de foin » pour parler aux « bouseux » où s’adresser en bras de chemise au salon de l’agriculture, il n’y a que les naïfs pour y croire. Seuls les paysans mobilisés peuvent faire trembler le système et ça, le gouvernement le sait !
Le cynisme de la Macronie répand la misère tout en creusant une dette abyssale pour notre pays. La France doit retrouver son autonomie alimentaire et fermer ses portes à l’invasion de produits qui viennent d’Ukraine, d’Amérique du Sud ou autres par des barrières douanières protégeant notre économie.
_La société multinationale MHP produit les poulets d’Ukraine. Son directeur Yuriy Kosyuk est un milliardaire proche de Zelenski, basée à Chypre fiscalement et coté en bourse à Londres. Elle est financée par l’Europe à hauteur de 100 millions d’euros…
Il est inacceptable de constater que plus de la moitié des viandes consommées dans nos cantines en France proviennent de l’étranger. La frontière doit être rétablie pour protéger notre agriculture et notre industrie d’une politique libérale injuste et déloyale de libre-échange.
Signalons l’agitation des vignerons dans le Sud-Ouest, alors qu’il y a peu de temps, des primes européennes étaient versées pour l’arrachage de nos vignes, alors que l’on finance les vignerons d’Afrique du Sud ?
La trahison du foutriquet de l’Élysée n’est plus à démontrer, véritable Néron gesticulant devant notre pays en flammes !
Les agriculteurs représentent la sève de notre nation, ils sont les protecteurs de nos paysages et ce sont eux qui contribuent à la beauté de notre pays. En 2021, 18 % vivaient sous le seuil de pauvreté, alors que chez les éleveurs c’était 25 % (source : INSEE). En 1970 nous avions 2374000 agriculteurs pour ne retrouver que 701000 en 2020 (Source : AGRESTE, recensement agricole 2022). Nous allons perdre notre souveraineté alimentaire sachant que nous l’avons déjà perdu en politique. Le monde rural (agriculture, élevage…) ne demande que la justice, travailler en paix, comme de supprimer les normes inutiles et la masse de contraintes administratives étouffantes. Il est impératif de nous libérer de l’Europe afin que l’agriculture puisse vivre de son travail sans l’esclavage des subventions. Il en va de la dignité de cette honorable profession qu’il faut défendre, soutenir et protéger.
Il ne reste au peuple français qu’une seule solution pour survivre, c’est la libération en sortant de cette Europe qui nous tue !
#fyp#agriculture#mercosur#loveyou#vache Merci à @La Ferme des Cochons Laineux pour cette vidéo sur le mercaut sûr. Je ne sais pas pourquoi, mais ça m’a serré le cœur. Peut-être parce que j’ai quitté ma ferme, ma vie d’avant, pour tout recommencer dans la Loire avec mon compagnon. Et honnêtement… ça fait mal. Ça fait peur. On ne sait pas où on va. Il y a un mélange de tristesse, un peu de colère aussi, mais surtout un vrai merci. Merci pour ce que vous partagez, pour ce que vous transmettez. Ça compte plus que vous ne le pensez. La vidéo est disponible sur YouTube. Je vous invite à aller la voir pour comprendre ce qu’il se passe vraiment.
A l’époque ou l’enregistrement fut effectué, Marion Sigaut se revendiquait encore de la république, mais son étude de l’histoire lui fera ouvrir les yeux…