TOTAL SOUTIEN AUX ELEVEURS 

« La France est en train de liquider son agriculture. Le symbole est fort, il est même épouvantable. On s’apprête à sacrifier la viande française, dont chacun connaît les exigences de qualité et de précaution, pour faire entrer de la viande argentine via le Mercosur, une viande trafiquée aux activateurs de croissance et aux hormones. Paysans, tenez bon ! Vous êtes les derniers Français ! Annie Genevard devrait démissionner. » Philippe de Villiers

« …le 22 mai 2023, la Cour des comptes a publié un rapport sur « les soutiens publics aux éleveurs de bovins » en émettant plusieurs préconisations dont celle de réduire le cheptel bovin… »

Depuis hier, les éleveurs et les agriculteurs résistent contre la décision d’abattre quelque 207 vaches « Blondes d’Aquitaine » pour un cas de dermatose identifié. Même vaccinées, elles sont et seront abattues !
Ce massacre infernal se pratique alors que l’on nous prépare à accepter l’importation de viandes venant d’Amérique du Sud aux normes sanitaires plus que douteuses…
Les lycées agricoles ont rejoint le mouvement de contestation contre ce carnage consistant à détruire nos cheptels bovins. Entre les normes dictatoriales européennes et la « Cour des comptes » préconisant la diminution de 25 % du cheptel français, on comprend la colère paysanne, sur fond de signature du Mercosur par ailleurs.

On notera le silence des « bobos », soi-disant défenseurs de la souffrance animale, alors que quelque 3000 vaches ont déjà été tuées, fragilisant plus d’une centaine d’exploitations et parfois dans des conditions inadmissibles (voir article précédent : Résistance). Peu importe la souffrance des éleveurs, le système envoie ses forces serviles agir contre les Français, c’est tellement plus facile que de réprimer les racailles comme d’arrêter les narcotrafiquants. On est dans le deux poids deux mesures, ce « gouvernement » est devenu, avec Foutriquet en tête, la honte dans cette destruction infernale du tissu social de notre pays. Les agriculteurs sont piétinés comme les salariés de Brandt qui passeront de tristes fêtes de Noël…

Notre jour Viendra !