Kadou

Je n’oublierai jamais…

JAMAIS…JE N’OUBLIERAI.. JAMAIS JE NE PARDONNERAI


Je n’oublierai jamais la police traquant les personnes dans les bois ou sur les plages désertes pendant les confinements.
Je n’oublierai jamais le « n’appelez pas votre médecin, restez chez vous, prenez du Doliprane », interdisant tout soin précoce, efficace et peu onéreux.
Je n’oublierai jamais les masques tantôt inutiles, tantôt obligatoires même en extérieur, sous peine d’amende, imposés jusque dans les écoles même aux heures de « récré ».
Je n’oublierai jamais l’effacement des visages
Je n’oublierai jamais les attestations sur l’honneur contrôlables par les forces de l’ordre, justifiant et définissant nos sorties limitées à quelques motifs.
Je n’oublierai jamais l’exagération des morts qualifiés « covid ».
Je n’oublierai jamais les 135€ d’amende pour défaut d’attestation ou promenade seul en forêt pour pouvoir respirer sans masque.
Je n’oublierai jamais les dénonciations des voisins à la police.
Je n’oublierai jamais nos anciens en EHPAD interdits d’hôpital et « terminés » au Rivotril.
Je n’oublierai jamais, une pub audio-visuelle pour inciter à mettre Papi et Mamie dans une autre pièce, pendant le repas de Noël.
Je n’oublierai jamais une vidéo du gouvernement où une grand-mère se retrouve en réanimation après avoir été approchée par sa petite fille.
Je n’oublierai jamais l’interdiction de traitements potentiels et peu couteux.
Je n’oublierai jamais l’interdiction de prescrire ces traitements.
Je n’oublierai jamais le Dr Michel Cymes, sur les antivaccins covid : « Qu’ils se regardent dans la glace et se disent, oui, je peux tuer des gens aujourd’hui. »
Je n’oublierai jamais : « On vous vaccinera de force. Moi je vous ferai emmener par deux policiers au centre de vaccination ». Emmanuel Lechypre, journaliste.
Je n’oublierai jamais : « Les devoirs valent avant les droits. » Emmanuel Macron
Je n’oublierai jamais : « Un irresponsable n’est plus un citoyen. » Emmanuel Macron
Je n’oublierai jamais le contrôle zélé de ce pass par nos semblables en mal d’autorité ou de supériorité.
Je n’oublierai jamais l’interdiction des hôpitaux aux malades en cours de traitement non détenteur d’un pass
Je n’oublierai jamais : « Greffer un non vacciné c’est gaspiller un organe. » Patrick Evrard, directeur du centre de transplantation de Mont-Godinne à Namur.
Je n’oublierai jamais Michel Onfray comparant les non-vaccinés à « des racailles, des contaminateurs conscients d’avoir le Sida ou des violeurs de jeunes filles. »
Je n’oublierai jamais : « Faisons payer l’entrée en réanimation aux non vaccinés. » Charles Consigny, chroniqueur
Je n’oublierai jamais l’obligation vaccinale, au 15 septembre 2021, des soignants, des pompiers et des militaires faisant des réfractaires à cette obligation des « suspendus ».
Je n’oublierai jamais les soignants applaudis puis suspendus, sans aucune ressource ni indemnité, puisque privés aussi de licenciement.
Je n’oublierai jamais la passivité, la léthargie et l’acceptation du peuple
Je n’oublierai jamais : « Eh bien là, les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder. Je ne vais pas les mettre en prison, je ne vais pas les vacciner de force. Et donc, il faut leur dire: à partir du 15 janvier 2022, vous ne pourrez plus aller au restau, vous ne pourrez plus prendre un canon, vous ne pourrez plus aller boire un café, vous ne pourrez plus aller au théâtre, vous ne pourrez plus aller au ciné… » Emmanuel Macron.
Je n’oublierai jamais la fabrique de sous-citoyens dans notre République.
Je n’oublierai jamais la maltraitance infantile par la multiplication des tests rhinopharyngés invasifs et douloureux imposés par le gouvernement
Je n’oublierai jamais la quantité et la variété d’effets secondaires afférents à cette vaccination, pas toujours reconnus voire tus par nos médias et nos pouvoirs publics.
Je n’oublierai jamais la détresse et la solitude des victimes de ces effets parfois irréversibles.
Je n’oublierai jamais les morts de ces effets secondaires qui se comptent par dizaines de milliers juste dans l’Union Européenne.
Je n’oublierai jamais qu’après 3 doses vaccinales « covid », le slogan gouvernemental « Tous vaccinés, tous protégés » n’ait pas été remis en question.
Non, je n’oublierai jamais le « Quoi qu’il en coûte », notre souffrance… et je pleure…


Extrait tracts Carlo Brusa le 26 juillet 2022

Royalisme et reconquête :

ROYALISME ET RECONQUETE : DISPONIBLE ICI

Qui, en tant que Royaliste, ne s’est jamais posé la question de savoir pourquoi en ce début du XXIè siècle le royalisme n’est pas une force politique puissante aux portes du pouvoir, ou tout simplement, pourquoi sommes-nous encore en république ?

Pour répondre à cette question, nous vous proposons une analyse empirique sur l’évolution du royalisme en France depuis la IIIè république jusqu’à aujourd’hui. L’objectif étant de comprendre pourquoi le royalisme en France a périclité aussi lamentablement, et quelles sont les solutions possibles pour une reconquête efficace du Royaume des Lys. 

L’objectif de cette analyse et de faire en sorte à ce qu’en l’an 2089, il n’y ait pas de tricentenaire de la révolution qui soit fêté en cette terre de France. Donnons-nous cet objectif de faire en sorte à ce que la république et son système idéologique soient évincés à jamais du pouvoir, avant cette date anniversaire ! En 1989, lors du bicentenaire, les écoles de la république recouvrirent cyniquement les têtes de nos enfants de bonnets phrygiens, à la gloire d’une idéologie qui n’a de cesse de nous détruire, un peu plus chaque jour. Ne faisons pas subir cet affront vis-à-vis des générations futures qui connaîtront l’année 2089. Faisons en sorte à ce que les enfants de cette génération arborent tous un Sacré-Cœur sur la poitrine, pour la plus grande gloire de Dieu, la France et le Roi !

Qu’en est-il de la responsabilité des Royalistes et des forces contre-révolutionnaires ? Qu’en est-il de l’effondrement de notre religion multiséculaire et du rôle de certains papes ? Qu’en est-il de la réelle volonté des princes prétendants à vouloir conquérir le pouvoir ? Qu’en est-il de l’état actuel du peuple français après deux siècles d’idéologies anthropocentriques et de reniement du passé ? Et qu’en est-il de notre avenir si nous ne changeons pas les choses ?

Il ne faut pas se voiler la face et savoir reconnaître nos erreurs. Car, c’est en corrigeant nos erreurs que nous deviendrons plus efficaces dans notre combat. Mais, encore faut-il les connaître ces erreurs. L’adversaire, nous le connaissons bien, mais nos propres démons, les connaissons-nous ? Et au-delà de la prise de conscience de nos erreurs, quelles sont les solutions possibles pour redonner toute sa force au combat royaliste, et le doter d’un arsenal efficace pour la reconquête du pouvoir ?

« Royalisme est reconquête » pose les bases d’une analyse et d’une réflexion visant à mieux comprendre et connaître les raisons de nos défaites, ainsi que les causes de notre impuissance politique et religieuse. Il se veut un outil pour tous les jeunes Royalistes (et moins jeunes) qui font leurs premiers pas dans ce noble combat, afin qu’ils puissent s’imprégner d’une part fondamentale de l’histoire du royalisme, et surtout, des erreurs à ne plus commettre et des solutions possibles pour se perfectionner.

Nous sommes appelés à accomplir une mission bien plus importante que la recherche de confort et de tranquillité. Aussi longtemps que le monde qui nous entoure nous offrira ce triste spectacle d’une décadence honteuse pour notre peuple, nous nous évertuerons à nous donner les moyens de lutter efficacement contre nos adversaires.

Nous sommes les enfants du Lys ayant pour Odyssée la reconquête de notre Royaume et du règne du Christ-Roi. Le chant des sirènes du mondialisme nous importe peu. Nous œuvrons pour la grandeur de notre civilisation avec comme étape essentielle : le couronnement de nos institutions, pour la gloire de Dieu, et par extension, celle de la France !

« Royalisme et reconquête » de Pierre-Philippe Blancher aux éditions Pro Fide Catholica

Gloire et défense de notre Patrimoine :

VIDEO DISPONIBLE SUR ODYSEE : CLIQUEZ ICI

Au soir du 15 avril 2019, la cathédrale Notre-Dame de Paris, trônant au cœur de la capital depuis le XIIè siècle, a été victime pour la toute première fois de son existence, d’un violent incendie. Incendie dont l’origine reste plus que douteuse, mais qui détruisit toute la toiture ainsi que la flèche de la cathédrale. Malgré le courage et la ténacité des pompiers qui firent du mieux qu’ils purent pour sauver ce qui pouvait l’être, l’incendie ne fut totalement maîtrisé que le lendemain.

C’est la première fois dans l’histoire de cette cathédrale gothique qu’un tel accident arrive. L’évènement fut surmédiatisé en France et partout dans le monde. Très rapidement, une cagnotte fut lancée afin de récolter les fonds nécessaires à sa reconstruction. Des grosses fortunes, des mécènes et des grands groupes répondirent généreusement à l’appel.

Si l’incendie de Notre-Dame fut surmédiatisé, pour des raisons évidentes, il n’en demeure pas moins que son incendie faisait suite à toute une série d’églises et cathédrales brûlées un peu partout en France, lors des mois précédents. Entre autres, l’église Saint-Sulpice, à Paris, qui avait été touchée par un incendie le 17 mars 2019. Également le 5 février 2019, un départ de feu avait été constaté dans la cathédrale de Lavaur dans le Tarn. Dans la nuit du 16 au 17 janvier 2019, l’église Saint-Jacques de Grenoble fut totalement ravagée par un incendie. Le 30 décembre 2018, c’est un début d’incendie d’origine criminel qui s’est déclaré dans une petite chapelle de l’église Sainte Madeleine à Toulouse. Le mois précédent, le 24 novembre 2018, ce fut la cathédrale Saint-Maclou de Pontoise dans la Val-d’oise qui fut victime d’un incendie heureusement vite maîtrisé. Le 18 novembre 2018, ce fut la sacristie de la basilique Saint-Epvre à Nancy, qui à son tour fut la proie d’un incendie. Le 25 octobre 2018, en Vendée, ce fut la Chapelle du Sacré Cœur, aux Sables-d’Olonne qui fut victime d’une tentative d’incendie. Etc ! Nous pourrions en citer encore bien d’autres malheureusement. D’ailleurs, si la plupart de ces incendies ont une origine criminelle avérée, l’excuse officielle pour les autres, étant l’origine accidentelle, problème électrique ou simples mégots de cigarettes…

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Discours de Vladimir Poutine au Forum économique de Saint-Pétersbourg :

Je souhaite la bienvenue aux participants et aux invités du 25e Forum économique international de Saint-Pétersbourg.

Il a lieu à un moment difficile pour la communauté mondiale, où l’économie, les marchés et les principes mêmes du système économique mondial sont attaqués. Un grand nombre de liens commerciaux, de production et de logistique précédemment perturbés par la pandémie sont à nouveau mis à l’épreuve. En outre, des concepts clés pour les affaires tels que la réputation des entreprises, le respect de la propriété et la confiance dans les devises mondiales ont été complètement sapés – sapés, malheureusement, par nos partenaires occidentaux, et cela a été fait délibérément, par ambition, au nom du maintien d’illusions géopolitiques dépassées.

Aujourd’hui, je vais donner notre – quand je dis « notre », je veux dire les dirigeants russes – vision de la situation dans laquelle se trouve l’économie mondiale. J’expliquerai comment la Russie agit dans cet environnement et comment elle planifie son développement dans un environnement qui évolue de manière dynamique.

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Adieu Guytos !

Article issu du site de l’Action française : ICI

Pour les plus « jeunes » parmi les anciens, ceux qui se sont illustrés lors de la génération Maurras des années 80, 90 Guy Courbatère de Gaudric, dit Guytos, était un militant actif doté d’une forte personnalité. Il faisait partie de ceux qui, venant de la section de Dijon, avec Nicolas Portier et Sylvain Roussillon, allaient écrire magnifiquement une nouvelle page de l’Action française, tant sur le plan intellectuel, que dans la rue. L’irruption du mouvement royaliste au quartier latin, devant les facs et les lycées à Paris comme en province valut quelques inimitiés hystériques et mesquines venant le plus souvent de la gauche la plus violente, laquelle en bon instrument du pouvoir mondialiste a toujours pour mission de mater la libre expression anticonformiste des opposants les plus déterminés au régime. C’est à dire, les royalistes.

Il fallut constituer un service d’ordre central, pour protéger nos manifestations.

Guytos, camelot du roi, avec son style un peu provocateur de voyou des années James Dean, était un pur guerrier qui maitrisait parfaitement le combat de rue. Flanqué de son adjoint qu’on appelait « Sergent Jean », un ancien para, il prit la tête de ce SOC, qui était le fer de lance de la force de frappe d’AF. Beaucoup se souviennent encore des véritables batailles de rue très organisées, qui dispersèrent nos adversaires, à Paris comme en province.  Il fut à la tête de la charge héroïque, sans armes, sinon des casques et des gants, de la « Jeanne interdite » qui renversa rue de Rivoli les forces de (dés)ordre républicain. Il fut aussi à la manœuvre à la faculté de Jussieu pour interdire les cours d’un certain professeur Boudarel, ce Français renié, aurait dit Jeanne d’Arc, ancien kapo du sinistre camps 113 en Indochine, chargé d’interroger sous la torture, les soldats français fait prisonniers à Dien Bien Phu. Rapidement il devint un mythe, une légende, car non seulement il était un as de la bagarre, mais il était aussi un joyeux compagnon. 

Il nous a quitté dans sa 59 ème année après une longue maladie, terrassé par le cancer auquel il a résisté avec sa « fureur de vivre », en combattant redoutable qu’il est, remportant même des victoires qui laissaient ses médecins pantois.  La mort aurait pu le faucher bien avant car il fut poignardé dans une bagarre. Une autre fois il faillit perdre un œil dans un violent affrontement. Le tout Paris gauchiste voulait sa peau. Ils ne l’ont pas eue, mais c’est le « crabe » qui l’a rattrapé et ne l’a pas lâché pendant presque 10 ans. Il a livré sa dernière bataille, comme un homme lige du roi de France, car c’était un « authentique chevalier ». Et puis, quand l’épée devint trop lourde, qu’il n’eut plus assez de force, il fut obligé de mettre un genou en terre, et la camarde, lentement, fit son œuvre.

Ce bon vivant s’était rapproché de Jésus, roi de France. Notre cher abbé de Tanouarn l’a conduit spirituellement, en le prenant par la main, jusqu’à sa dernière demeure. Il lui a fermé les yeux, muni des derniers sacrements. L’image que notre cher camarade laissera, est celle d’un homme de panache, de courage et même de bravoure, mais aussi d’une certaine insolence goguenarde devant le danger. En outre il était fidèle en amitié, plusieurs d’entre nous ont pu l’éprouver.

Repose en paix mon camarade, et si tu croises des gauchistes là-haut, sur les boulevards célestes, pardonne-leur, car ils ne savaient pas ce qu’ils faisaient.

Guytos assurant avec d’autres camarades la sécurité des Princes à Amboise en 1987
Guytos en flight jacket et bandana, la signature de la Génération Maurras, assurant un SO
Guytos dirigeant le SO de la Jeanne d’Arc en 1986

Bilan du quinquennat Macron :

Au delà des références monarchiques, un peu douteuses, présentées dans cette vidéo, il n’en demeure pas moins qu’elle présente une bonne synthèse de ce que fut le quinquennat rothshildien de Macron ! Prêts pour cinq ans de plus ??

Texte issu de ce site : Cliquer ici.

Macron, vous qui parlez de “faute morale” pour les non-injectés… C’est sans doute le plus bel hommage que pouvait rendre le vice à la vertu.

VOUS qui depuis le début de votre quinquennat détruisez méthodiquement le pays en le dépeçant pour le livrer au rabais aux vautours et aux charognards de la haute finance, VOUS qui nous dépouillez de notre histoire, quand ce n’est pas pour lui faire injure… 
VOUS
 qui de félonie en trahisons nous avez privé de nos plus beaux fleurons industriels, de nos secteurs stratégiques nationaux comme Alstom (fabriquant des pièces détachées de nos sous-marins nucléaires)ou les chantiers navals de Saint-Nazaire pour les revendre à vil prix à l’étranger, mais aussi Alcatel aux Finlandais, Lafarge aux Suisses, Essilor et PSA aux Italiens, moyennant quelques misérables écus indûment perçus en rétrocommissions sur votre cassette personnelle, tout en gonflant nos dettes de manière aussi exponentielle que démentielle. Sans oublier les privatisations tous azimuts de la Française des jeux, des aéroports de Paris ou de Gaz de France.

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Le corporatisme. Notre avenir pour nos métiers :

Corporatisme ! S’il y a bien un mot qui est totalement galvaudé à ce jour, c’est bien celui-là. Dans l’esprit de beaucoup de personnes, il est synonyme de communautarisme sectaire ou caste oeuvrant essentiellement pour ses intérêts privés au détriment du bien commun. Pourtant, au-delà de cette définition erronée, que désigne véritablement ce mot ?
Le sociologue René de la Tour du Pin a formulé lui-même une réponse simple et claire sur ce que désigne avant tout le corporatisme. Il définit le corporatisme comme étant la troisième école d’économie politique. Selon lui, il y a :
« Celle où l’on considère l’homme comme une chose », c’est le libéralisme.
« Celle où on le considère comme une bête », c’est le socialisme.
« Celle ou on le considère comme un frère », il s’agit alors du corporatisme.

C’est de cette troisième école d’économie politique dont il est question dans ce livre. Nous allons vous faire découvrir une approche différente de la gestion du monde du travail, au-delà des doctrines libérales ou marxisantes qui ont, depuis trop longtemps déjà, façonné notre vie économique et professionnelle. Le régime corporatif que nous proposons est celui qui a largement fait ses preuves dans l’histoire des peuples européens. Il est celui des bâtisseurs de cathédrales, eux-mêmes héritiers des bâtisseurs de la Grèce et la Rome antique. Il est celui qui sut donner une réelle noblesse professionnelle aux artisans de jadis, qui façonnèrent de par leur savoir-faire, notre beau pays qu’est la France. Il est le régime qui fit largement ses preuves durant les siècles de notre histoire, avant d’être supprimé arbitrairement par les révolutionnaires de 1791, au profit d’un libéralisme économique qui institua le règne de l’argent, avec pour conséquence, la prolétarisation du monde ouvrier.

Adapté aux réalités de notre époque, le corporatisme pourrait redéployer toute sa puissance pour forger une génération de professionnels qui retrouveraient leurs responsabilités dans la gestion de leurs métiers et de l’économie qui en découle. Plus que jamais, le corporatisme se présente comme une solution d’avenir possible pour un monde du travail libéré du joug de la haute finance et du parasitisme.

Découvrez et faites découvrir cette étonnante école qu’est le corporatisme, et puissiez-vous avoir à votre tour, la conviction d’un avenir possible avec cette solution, à la fois traditionnelle dans ses principes, et originale et moderne dans sa pratique.

Gloire et défense de la langue française :

VIDEO DISPONIBLE SUR ODYSEE : CLIQUEZ ICI

« Jamais dans toute son histoire, la langue française n’avait connu une intrusion aussi massive de mots hétérophones. […] L’adoption de mots anglais sans transformation signifie : « Nous préférons la langue du maître ». » (Alain Borer – De quel amour blessée : Réflexions sur la langue française)

Dans la préface de son « Histoire de la langue française, des origines à 1900 », le linguiste et philologue français Ferdinand Brunot écrivait :

« C’est du XIIe au XIIIe siècle que l’ancien français atteint son apogée et qu’il arrive à une beauté linguistique dont il n’a fait depuis que déchoir. Il est déjà à cette époque, malgré le monopole du latin, dans une certaine mesure au moins, une langue internationale. […]

Alors le monde s’éprend d’elle, l’Allemagne, l’Italie, la Russie, l’Angleterre, l’Espagne, les pays Scandinaves apprennent à parler français. Ce serait une grande et haute tâche que de démêler, froidement, sans faux enthousiasme, comment notre langue, tant par l’ascendant de son génie propre que par l’autorité des œuvres et de la civilisation dont elle était l’expression, en était arrivée à partager avec le latin la monarchie universelle, et pour quelles causes elle l’a peu à peu perdue ? » (Ferdinand Brunot – Histoire de la langue française des origines à 1900. Tome I – pXII et XVI.)

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Les Femmes face à l’obscurantisme des Lumières :

Vidéo disponible sur ODYSEE : CLIQUEZ ICI

Qui n’a jamais entendu dire que les femmes, pendant des siècles sous l’Ancien régime, étaient persécutées, traitées comme des moins que rien, juste bonnes à faire des enfants et les tâches ménagères ? Et ce n’est qu’avec l’arrivée de la révolution et des républiques, que l’émancipation de la femme a pu se faire ! Bref ! Que nous enseigne l’histoire sur ce sujet ?

Cette image dévalorisante de la femme n’est pas pleinement fausse. Mais contrairement à une idée reçue, elle n’émane pas de la société chrétienne médiévale, mais plutôt de l’Antiquité romaine.

Dans la Rome antique, dont le droit fut admiré dès la période de la Renaissance, l’historienne Régine Pernoud nous enseigne que :

« l’essentiel de ce droit a été lumineusement exposé par le juriste Robert Villers : « A Rome, la femme, sans exagération, ni paradoxe, n’était pas sujet de droit… Sa condition personnelle, les rapports de la femme avec ses parents ou avec son mari sont de la compétence de la domus dont le père, le beau-père ou le mari sont les chefs tout-puissants… La femme est uniquement un objet… »

Elle précise également :

(suite…)