Kadou

Bilan du quinquennat Macron :

Au delà des références monarchiques, un peu douteuses, présentées dans cette vidéo, il n’en demeure pas moins qu’elle présente une bonne synthèse de ce que fut le quinquennat rothshildien de Macron ! Prêts pour cinq ans de plus ??

Texte issu de ce site : Cliquer ici.

Macron, vous qui parlez de “faute morale” pour les non-injectés… C’est sans doute le plus bel hommage que pouvait rendre le vice à la vertu.

VOUS qui depuis le début de votre quinquennat détruisez méthodiquement le pays en le dépeçant pour le livrer au rabais aux vautours et aux charognards de la haute finance, VOUS qui nous dépouillez de notre histoire, quand ce n’est pas pour lui faire injure… 
VOUS
 qui de félonie en trahisons nous avez privé de nos plus beaux fleurons industriels, de nos secteurs stratégiques nationaux comme Alstom (fabriquant des pièces détachées de nos sous-marins nucléaires)ou les chantiers navals de Saint-Nazaire pour les revendre à vil prix à l’étranger, mais aussi Alcatel aux Finlandais, Lafarge aux Suisses, Essilor et PSA aux Italiens, moyennant quelques misérables écus indûment perçus en rétrocommissions sur votre cassette personnelle, tout en gonflant nos dettes de manière aussi exponentielle que démentielle. Sans oublier les privatisations tous azimuts de la Française des jeux, des aéroports de Paris ou de Gaz de France.

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Le corporatisme. Notre avenir pour nos métiers :

Corporatisme ! S’il y a bien un mot qui est totalement galvaudé à ce jour, c’est bien celui-là. Dans l’esprit de beaucoup de personnes, il est synonyme de communautarisme sectaire ou caste oeuvrant essentiellement pour ses intérêts privés au détriment du bien commun. Pourtant, au-delà de cette définition erronée, que désigne véritablement ce mot ?
Le sociologue René de la Tour du Pin a formulé lui-même une réponse simple et claire sur ce que désigne avant tout le corporatisme. Il définit le corporatisme comme étant la troisième école d’économie politique. Selon lui, il y a :
« Celle où l’on considère l’homme comme une chose », c’est le libéralisme.
« Celle où on le considère comme une bête », c’est le socialisme.
« Celle ou on le considère comme un frère », il s’agit alors du corporatisme.

C’est de cette troisième école d’économie politique dont il est question dans ce livre. Nous allons vous faire découvrir une approche différente de la gestion du monde du travail, au-delà des doctrines libérales ou marxisantes qui ont, depuis trop longtemps déjà, façonné notre vie économique et professionnelle. Le régime corporatif que nous proposons est celui qui a largement fait ses preuves dans l’histoire des peuples européens. Il est celui des bâtisseurs de cathédrales, eux-mêmes héritiers des bâtisseurs de la Grèce et la Rome antique. Il est celui qui sut donner une réelle noblesse professionnelle aux artisans de jadis, qui façonnèrent de par leur savoir-faire, notre beau pays qu’est la France. Il est le régime qui fit largement ses preuves durant les siècles de notre histoire, avant d’être supprimé arbitrairement par les révolutionnaires de 1791, au profit d’un libéralisme économique qui institua le règne de l’argent, avec pour conséquence, la prolétarisation du monde ouvrier.

Adapté aux réalités de notre époque, le corporatisme pourrait redéployer toute sa puissance pour forger une génération de professionnels qui retrouveraient leurs responsabilités dans la gestion de leurs métiers et de l’économie qui en découle. Plus que jamais, le corporatisme se présente comme une solution d’avenir possible pour un monde du travail libéré du joug de la haute finance et du parasitisme.

Découvrez et faites découvrir cette étonnante école qu’est le corporatisme, et puissiez-vous avoir à votre tour, la conviction d’un avenir possible avec cette solution, à la fois traditionnelle dans ses principes, et originale et moderne dans sa pratique.

Gloire et défense de la langue française :

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« Jamais dans toute son histoire, la langue française n’avait connu une intrusion aussi massive de mots hétérophones. […] L’adoption de mots anglais sans transformation signifie : « Nous préférons la langue du maître ». » (Alain Borer – De quel amour blessée : Réflexions sur la langue française)

Dans la préface de son « Histoire de la langue française, des origines à 1900 », le linguiste et philologue français Ferdinand Brunot écrivait :

« C’est du XIIe au XIIIe siècle que l’ancien français atteint son apogée et qu’il arrive à une beauté linguistique dont il n’a fait depuis que déchoir. Il est déjà à cette époque, malgré le monopole du latin, dans une certaine mesure au moins, une langue internationale. […]

Alors le monde s’éprend d’elle, l’Allemagne, l’Italie, la Russie, l’Angleterre, l’Espagne, les pays Scandinaves apprennent à parler français. Ce serait une grande et haute tâche que de démêler, froidement, sans faux enthousiasme, comment notre langue, tant par l’ascendant de son génie propre que par l’autorité des œuvres et de la civilisation dont elle était l’expression, en était arrivée à partager avec le latin la monarchie universelle, et pour quelles causes elle l’a peu à peu perdue ? » (Ferdinand Brunot – Histoire de la langue française des origines à 1900. Tome I – pXII et XVI.)

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Les Femmes face à l’obscurantisme des Lumières :

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Qui n’a jamais entendu dire que les femmes, pendant des siècles sous l’Ancien régime, étaient persécutées, traitées comme des moins que rien, juste bonnes à faire des enfants et les tâches ménagères ? Et ce n’est qu’avec l’arrivée de la révolution et des républiques, que l’émancipation de la femme a pu se faire ! Bref ! Que nous enseigne l’histoire sur ce sujet ?

Cette image dévalorisante de la femme n’est pas pleinement fausse. Mais contrairement à une idée reçue, elle n’émane pas de la société chrétienne médiévale, mais plutôt de l’Antiquité romaine.

Dans la Rome antique, dont le droit fut admiré dès la période de la Renaissance, l’historienne Régine Pernoud nous enseigne que :

« l’essentiel de ce droit a été lumineusement exposé par le juriste Robert Villers : « A Rome, la femme, sans exagération, ni paradoxe, n’était pas sujet de droit… Sa condition personnelle, les rapports de la femme avec ses parents ou avec son mari sont de la compétence de la domus dont le père, le beau-père ou le mari sont les chefs tout-puissants… La femme est uniquement un objet… »

Elle précise également :

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Louis XVIII face à la question sociale : quelles leçons en tirer ?

La toile est un champ de bataille et il n’est pas certain qu’il soit le meilleur vecteur du débat d’idées car, trop souvent, elle n’est que le lieu du lynchage, de l’invective et de la calomnie : cela en est souvent désespérant pour qui conçoit la « disputatio » politique comme un moyen de faire progresser ce qui paraît nécessaire pour le pays et ses populations, ou comme celui d’élever les hommes vers des causes honorables, par l’intelligence et la réflexion… Mais elle peut parfois permettre, entre gens de bonne volonté, d’évoquer quelques vérités et de les valoriser quand elles sont ignorées de l’éducation nationale comme des médias. Ainsi, sur la Révolution française et la question sociale, par exemple. Voici ci-dessous les extraits d’une réponse qu’il m’est arrivé de faire il y a quelques semaines sur un réseau social bien connu… (Le débat portait sur la condition ouvrière en France.)

« Si vous étudiez l’histoire sociale française, vous constaterez aisément que la Révolution française fut le pire moment « libéral » de l’histoire de France, en particulier à travers les lois d’Allarde et Le Chapelier de 1791 qui détruisent les corporations et tout le modèle social corporatif quand les lois de 1790 contre l’Église avaient déjà entraîné une hausse immédiate de la pauvreté, en particulier dans les campagnes… Ces deux lois révolutionnaires interdisaient la grève et l’association ouvrière, et permettaient la « libéralisation » (sic) du temps de travail. Le dimanche, d’ailleurs, perd alors son statut de jour de repos pour les ouvriers et il faudra attendre le roi Louis XVIII pour qu’il le redevienne, en 1814, pour tous les travailleurs… Les royalistes sociaux ont été les premiers à lutter pour redonner des droits aux classes laborieuses qui en avaient été privés par la Révolution, la République et l’Empire, ce que Marx (pas vraiment royaliste…) a lui-même remarqué…

« Pourquoi le roi Louis XVIII n’a-t-il pas remis officiellement en cause les lois de 1791 ? Sans doute parce que la bourgeoisie, qui venait de « lâcher » l’empereur, ne s’est ralliée à la Monarchie que du bout des lèvres, craignant de tout perdre de ses nouveaux pouvoirs économiques et politiques acquis sous la Révolution et confortés par l’Empire, et que le roi, soucieux de refaire l’unité française plutôt que de raviver les blessures, a préféré contourner la bourgeoisie plutôt que de la braquer. En légalisant le repos dominical (1) par le biais d’une loi dite de « sanctification du dimanche », il semblait déplacer la question sur le terrain religieux sans s’en prendre directement à la bourgeoisie elle-même, et il permettait à cette dernière, peu conciliante sur ses « droits » issus de la « liberté du travail » de 1791, de ne pas perdre la face. En somme, une habileté royale en attendant que l’État monarchique restauré soit assez puissant pour imposer d’autres concessions à la bourgeoisie… Mais la Restauration, malgré certains de ses préfets qui alertent sur les terribles conditions de travail des ouvriers dans les régions minières et manufacturières (Villeneuve-Bargemont, en particulier), n’en aura ni l’occasion ni le temps, la révolution de 1830 renforçant la bourgeoisie tout en affaiblissant la Monarchie, désormais sous le risque permanent d’une nouvelle révolution libérale.

« Si la Monarchie n’a pas eu toute la latitude nécessaire pour agir sur la question sociale, elle en a au moins eu la conscience et ce n’est pas un hasard si les premières lois sociales visant à soulager les ouvriers, le plus souvent en « contournement » plutôt qu’en affrontement direct avec la bourgeoisie, sont votées et appliquées dès le roi Louis XVIII qui, en 1818, met aussi en place le livret d’épargne (aujourd’hui livret A) qui doit permettre à tous les Français de pouvoir « mettre de l’argent de côté » dans l’idée d’enraciner (au-delà des possédants et des bourgeois) les classes moyennes et les travailleurs (indépendants ou salariés) au cœur de la société : puisque les corporations protectrices n’existent plus, l’idée est de les remplacer (en attendant mieux…) par une épargne individualisée et garantie par l’État qui prend ainsi le relais des institutions professionnelles encore interdites. La stratégie royale est habile, n’est pas inutile, et nous en mesurons encore les effets aujourd’hui avec le recours massif à ce livret en période d’incertitudes, non pour « faire du profit » mais pour préserver « ce que l’on a » en attendant des jours meilleurs pour sortir cette épargne de son nid et permettre la reprise des activités économiques et commerciales dans les meilleures conditions qui soient, la prudence prévalant plutôt que l’avidité…

« Tout l’intérêt d’une Monarchie royale en France est de « prendre son temps » pour bien faire les choses. Mais, convenons-en, cela peut, dans les périodes de restauration, de nouvelle instauration ou de ré-instauration, être une faiblesse, parfois fatale : cela doit donc nous inciter à poser les bases théoriques avant que d’être pratiques d’une Monarchie royale qui doit mener, dès son avènement, une politique véritablement sociale et qui s’appuie sur les forces productives et pas seulement financières, ces dernières devant être sérieusement encadrées dès le premier jour si la Monarchie veut pouvoir s’enraciner vraiment. L’élément fort de la légitimation de la nouvelle Monarchie ne peut être, en ce domaine, que l’application « sanctoludovicienne » de la justice sociale. Le comte de Paris des années 1930 l’avait fort bien compris, lui dont l’un des premiers et plus importants écrits portera sur ce thème et s’intitulera « Le Prolétariat » qui aurait pu être sous-titré : « Comment mettre fin à l’indignité sociale par la Monarchie sociale… ».

(à suivre)

Notes : (1) : Napoléon 1er avait toujours refusé de remettre en place le repos dominical en prétextant que les ouvriers pouvaient travailler ce jour-là aussi puisqu’ils mangeaient bien tous les jours de la semaine… Argument désarmant de cynisme et de mauvaise foi, mais qui convenait à la part la plus libérale de la bourgeoisie !

Jean-Philippe Chauvin

Retarder l’âge de la retraite n’est pas socialement juste.

Il est de grandes questions que les programmes électoraux des candidats à la présidentielle abordent sans susciter de grandes réactions, comme si une forme de consensus les entourait et que les réponses apportées par les uns ou les autres se rejoignaient peu ou prou, ce qui n’est, à bien y regarder, pas exactement le cas. Ainsi en va-t-il de la question des retraites : la plupart des candidats en lice évoquent un allongement de la vie au travail et un recul de l’âge minimal du départ en retraite, comme la seule solution globale aux perspectives démographiques et sociales futures. La Droite évoque, en général, 65 ans quand M. Macron, « pas encore candidat » (sic !), parle de 64 ans et que son ancien commis Édouard Philippe avance… 67 ans, ce qui est, en fait, la préconisation de la Commission européenne depuis 2011 pour les pays de la zone euro. Les médias ne présentent guère ce débat, car il peut y avoir discussion (ce qui me semble légitime), et se contentent d’agiter les candidats comme des épouvantails, participant plus sûrement à l’hystérisation de l’affrontement présidentiel qu’à une mise en perspective d’un combat sur les idées et les programmes. Du coup, les « retraites » sont trop souvent purement et simplement oubliées des commentaires politiques. Seuls les partisans du retour de l’âge légal de départ à la retraite à 60 ans, comme M. Mélenchon et Mme Le Pen, tentent de faire entendre un point de vue moins « libéral » sur ce sujet…

C’est pourtant une question d’importance et qui, inévitablement et une fois les élections (présidentielle et législatives) passées, reviendra, sans doute dès l’été ou l’automne 2022, et les élus du printemps insisteront sur le fait qu’ils ont été désignés par le suffrage, aussi, sur cette promesse d’un report de l’âge légal du départ à la retraite, et cela même si je doute que l’électeur qui glissera un bulletin dans l’urne dans moins de trois mois pensera alors prioritairement à cet aspect des candidatures en concurrence…

De par mon royalisme impénitent et cela même si je ne m’engage pas derrière une bannière présidentielle, non par désintérêt mais par logique politique qui me conduit à proposer, directement, la Monarchie royale plutôt qu’à brandir le nom de l’un ou de l’autre ; de par ma préoccupation de justice sociale qui n’est pas une simple formule (d’ailleurs initiée par le roi Louis XVI en 1784), mais une volonté politique et pratique ; de par mon attention prêtée à ceux qui, courtisés le temps d’une saison électorale, sont ensuite renvoyés à leur « impuissance sociale » : de par tout cela, je ne peux que m’élever contre la tentation du « toujours plus long au travail, toujours plus tard au repos » quand, dans le même temps, l’hebdomadaire Marianne de cette semaine m’apprend que, « selon l’Insee, un quart des plus pauvres sont morts avant d’arriver à l’âge officiel de départ à la retraite, actuellement fixé à 62 ans ». Le chiffre fait froid dans le dos, surtout quand on sait que ce sont les mêmes qui ont connu les conditions de travail les moins faciles, en usine ou sur les chantiers entre autres. Ainsi, les catégories les moins favorisées sont victimes d’une double injustice, et le reconnaître n’est pas céder à la démagogie mais faire acte de mesure et de compassion avant que de se poser la question même d’une pratique raisonnable et nécessaire de la justice sociale. De plus, la question des retraites ne peut pas être traitée de façon égalitaire, mais bien plutôt de façon équitable et socio-professionnelle, voire « corporative » : vouloir les mêmes conditions et limites d’âge pour accéder à la retraite, c’est forcément méconnaître tout ce qui fait, hors conditions individuelles propres (état général de santé, entre autres), les facilités ou les difficultés de tel ou tel métier et de telle ou telle responsabilité en son sein. Ainsi, un professeur (et même s’il faudrait distinguer entre les établissements pour être bien complet) n’aura pas les mêmes contraintes physiques que les travailleurs du « dehors » et son espérance de vie moyenne est naturellement plus élevée (entre sept et treize ans selon les cas et les études sur ce sujet) que celle de l’ouvrier d’usine soumis chaque jour à des travaux physiques répétitifs ou à celui des chantiers qui, par tous les temps, travaille à construire ou à réparer… Il est d’ailleurs une donnée, trop peu évoquée, qu’il faudrait prendre en compte dans la réflexion générale sur l’âge minimal du départ à la retraite : l’espérance de vie sans incapacité (c’est-à-dire en bonne santé) qui, là aussi, varie très fortement d’une profession à l’autre.

J’ai connu des ouvriers des usines automobiles de la Janais, à Rennes, qui souffraient dès l’âge de quarante ans de maladies et de déformations squeletto-musculaires liées à leur travail quand des maçons, eux, étaient courbés dès cinquante-cinq ans comme des vieillards de quatre-vingt. Pour eux, une retraite à 65 ans a-t-elle encore du sens, sinon de n’être que quelques années de repos sans le bien-être physique ? Ceux qui parlent de reculer l’âge de départ à la retraite connaissent-ils vraiment ces travailleurs discrets qui, le plus souvent, ne manifestent que lorsque leur usine est menacée de fermeture parce que l’entreprise a délocalisé la production dans un pays à la main-d’œuvre « moins coûteuse » (sic…) ? Il est facile, derrière un bureau d’études ou d’un ministère, de jouer avec le curseur annuel : est-ce cela, pour autant, la justice sociale ? J’en doute !

Dans notre société, se creusent des inégalités qui, en devenant démesurées, peuvent être de véritables injustices. La crise sanitaire actuelle a aggravé celles-ci dans une sorte de « crise des ciseaux » qui éloignent un peu plus les plus aisés des moins favorisés : déjà, au regard des réalités socio-démographiques, elles paraissent alors de plus en plus marquées, comme le signale encore Marianne : « Pour les plus riches, la barrière fatale est plutôt à 80 ans, ce qui leur assure dix-huit ans de rab, en attendant la réforme promise par Macron, qui leur permettrait de creuser encore l’écart. » Pourquoi cette perspective ? Simplement, parce que, comme le fait remarquer le journaliste en évoquant la situation et la mortalité des plus pauvres qui ouvraient l’article, « pour certains, travailler plus longtemps, c’est mourir plus tôt ». S’il ne s’agit pas de jalouser les plus riches, il paraît nécessaire de permettre aux moins aisés d’atteindre, autant que faire se peut, un âge avancé dans la meilleure santé possible : c’est aussi cela, la justice sociale !

J-P Chauvin

Tolkien, le seigneur de l’imaginaire :

« Les mythes que nous tissons, même s’ils renferment des erreurs, reflètent inévitablement un fragment de la vraie lumière, cette vérité éternelle qui est avec Dieu. » (J.R.R Tolkien)

Vidéo disponible sur Odysee :

https://odysee.com/@actionroyaliste:c/Tolkien%2C-le-seigneur-de-l%27imaginaire:5

Les Songes nous guident :


« … Comme tous ceux qui vivent pour voir de tels temps. Mais la décision ne leur appartient pas. Tout ce que nous avons à décider, c’est ce que nous devons faire du temps qui nous est donné » (Tolkien).

Comment ne pas remonter au fond des âges dits « obscurs », qui ne sont en fait que la possibilité du tout, de l’humain comme des éléments de la création. De ces instants d’une nature non policée aux confins des mondes où règnent encore les divinités et dieux multiples, aux premières pénétrations du christianisme. On découvre alors l’extrême adaptation des sociétés naissantes, aux périls et risques nombreux, comme aux aventures merveilleuses. C’est là que parmi les forêts vivent encore Elfes et Trolls, Gobelins et Orques divers. Ces mondes de l’imagination, des contes et légendes, nous habitent, enfin, pour ceux dont l’esprit s’évade et s’envole. Ceux pour qui la vie demeure dans le regard et l’écoute des merveilles de la nature, l’essence de la vie. Pour ceux dont la dimension du monde n’est pas que matérialiste, dont l’invisible est multiple, étendu et souverain. Ce monde que Tolkien nous a décrit et qui vit à travers ses ouvrages mais pas que…

(suite…)