Dans un de ses premiers livres – Retour au réel, je crois – Gustave Thibon raconte qu’un jour il avait prêté les travaux et les jours du poète grec Hésiode à un vieux paysan de ses voisins et, qu’en lui rendant l’ouvrage ce dernier avait dit : « C’est curieux mais ces paysans qui vivaient →
Je ne fêterai pas votre révolution.On ne célèbre pas le vol, le viol, le crime.Mais je prendrai le deuil de vos pauvres victimes.Elles seules ont droit à ma vénération. Je ne fêterai pas l’espérance trahieDu peuple demandant l’arbitrage royalJusqu’alors rendu juste, équitable et loyalMais au nom d’une foi par votre orgueil haïe. →