III – Point sur notre France et sa survie
« Soutenir l’agriculture, c’est faire respecter l’exception agriculturelle. » Philippe de Villiers
La dermatose nodulaire bovine est une épizootie, c’est-à-dire une maladie affectant une espèce animale sans transmission à l’être humain, et l’abattage du troupeau entier pour une seule vache malade est une idiotie affreuse, rappelant les médecins « diafoirus » de Molière. En est-on si éloigné lorsque l’on examine sérieusement la politique sanitaire mise en place lors du covid ?
Tuer tout un troupeau pour une vache malade, n’est-ce pas un crime contre la nature ?
Les Français doivent savoir que les vaches saines ont été abattues sans aucune justification et des cheptels entiers ont disparu…

La raison peut être cherchée ailleurs dans ce plan macabre de l’Union européenne faite pour détruire les nations. Les officines sanitaires aux ordres obscurs ont tué les vaches, les mères devant les enfants, les unes après les autres, quelquefois sous les yeux des familles d’éleveurs, devant les enfants en pleurs…
L’Italie et la Grèce ne l’ont pas fait, connaissant l’inutilité de l’acte, et les Suisses vaccinent les vaches…
Oui, c’est un crime contre la nature avec des massacres pour rien !
Une vache représente en France le résultat d’une sélection sur plusieurs générations. Les jeunes éleveurs ne se relèveront pas d’un tel sacrifice et le suicide des paysans est suffisamment alarmant pour ne pas en rajouter. Les éleveurs ont reçu un simple appel téléphonique avec l’arrivée de forces de gendarmerie, plus promptes à persécuter le monde agricole que les trafiquants de drogue. Nos agriculteurs sont persécutés par des ordres incohérents, des normes, une concurrence déloyale et tout cela généré par un système antisocial.
La trahison du Mercosur :

Dans le Mercosur, il est souhaité depuis longtemps que notre agriculture et notre élevage disparaissent au profit d’autres pays importateurs, tels que l’Argentine, le Brésil, la Bolivie, le Paraguay et l’Uruguay, qui inondent déjà notre marché alimentaire. Tant pis pour les naïfs qui croyaient encore aux paroles de ceux qui piétinent ce qu’il reste de notre patrimoine agricole. Souvenez-vous de la « botte de foin » pour parler aux « bouseux » où s’adresser en bras de chemise au salon de l’agriculture, il n’y a que les naïfs pour y croire. Seuls les paysans mobilisés peuvent faire trembler le système et ça, le gouvernement le sait !
Le cynisme de la Macronie répand la misère tout en creusant une dette abyssale pour notre pays. La France doit retrouver son autonomie alimentaire et fermer ses portes à l’invasion de produits qui viennent d’Ukraine, d’Amérique du Sud ou autres par des barrières douanières protégeant notre économie.
_La société multinationale MHP produit les poulets d’Ukraine. Son directeur Yuriy Kosyuk est un milliardaire proche de Zelenski, basée à Chypre fiscalement et coté en bourse à Londres. Elle est financée par l’Europe à hauteur de 100 millions d’euros…
Il est inacceptable de constater que plus de la moitié des viandes consommées dans nos cantines en France proviennent de l’étranger. La frontière doit être rétablie pour protéger notre agriculture et notre industrie d’une politique libérale injuste et déloyale de libre-échange.
Signalons l’agitation des vignerons dans le Sud-Ouest, alors qu’il y a peu de temps, des primes européennes étaient versées pour l’arrachage de nos vignes, alors que l’on finance les vignerons d’Afrique du Sud ?
La trahison du foutriquet de l’Élysée n’est plus à démontrer, véritable Néron gesticulant devant notre pays en flammes !
Les agriculteurs représentent la sève de notre nation, ils sont les protecteurs de nos paysages et ce sont eux qui contribuent à la beauté de notre pays. En 2021, 18 % vivaient sous le seuil de pauvreté, alors que chez les éleveurs c’était 25 % (source : INSEE). En 1970 nous avions 2374000 agriculteurs pour ne retrouver que 701000 en 2020 (Source : AGRESTE, recensement agricole 2022). Nous allons perdre notre souveraineté alimentaire sachant que nous l’avons déjà perdu en politique. Le monde rural (agriculture, élevage…) ne demande que la justice, travailler en paix, comme de supprimer les normes inutiles et la masse de contraintes administratives étouffantes. Il est impératif de nous libérer de l’Europe afin que l’agriculture puisse vivre de son travail sans l’esclavage des subventions. Il en va de la dignité de cette honorable profession qu’il faut défendre, soutenir et protéger.
Il ne reste au peuple français qu’une seule solution pour survivre, c’est la libération en sortant de cette Europe qui nous tue !
Notre jour viendra !
GAR