L’extermination une valeur sûre de la république :

« Que la foudre éclate par humanité ! ayons le courage de marcher sur des cadavres, pour arriver à la liberté »

Fouché de Nantes

Mars 1793, c’est le début des Guerres de Vendée. A peine quatre ans après la révolution dite « française », les paysans de l’ouest, échaudés par l’exécution du roi Louis XVI et les mesures antireligieuses des révolutionnaires parisiens, assaillent les autorités municipales. Armés de faux et de fourches, résolus et enthousiastes, parce qu’ils défendaient leurs familles et leurs terres, les insurgés, dans un premier temps, chassent les « Bleus » (les soldats de la République étaient ainsi nommés en raison de leur uniforme) et rétablissent le culte catholique dans leurs villages. Culte renié car comme la monarchie, il empêchait le monde de la finance de détruire les protections ouvrières (corporations) et d’établir l’usure…

Prenant de l’assurance, ils constituent une « Armée Catholique et Royale » avec environ 40 000 hommes indisciplinés et sans expérience militaire à l’exception d’une dizaine de milliers d’anciens soldats et quelques officiers à leur tête, plus souvent obligés de venir qu’enthousiastes, sachant l’inégalité des combats qui arriveraient !

Mais l’armée vendéenne, après avoir accumulée au début beaucoup de victoires, fut anéantie à Savenay le 24 décembre 1793. La république n’était donc plus en danger. Pourtant un plan d’extermination massive et systématique, fut mis en place par cette même république qui revendiquait pourtant sa légitimité au sein du peuple.

Des décrets sont votés le 1er août et le 1er octobre 1793 ordonnant explicitement l’extermination des vendéens. C’est le général Turreau, nommé à la tête de l’armée de l’ouest le 27 novembre 1793, qui à la tête de ses colonnes infernales, dont il eut l’idée, s’occupera de la besogne.

Ce dernier proposa de scinder l’armée Républicaine en 12 colonnes qui sillonneront la Vendée détruisant et exterminant tout ce qui vit sur leurs passages.

Les 735 communes de la Vendée militaire sont répertoriées afin que chacune d’entre elles reçoivent la « visite » d’une des colonnes.

Les troupes républicaines se retrouvent face à des vieillards, des femmes, des enfants et des hommes désarmés.

Durant 5 mois, ce ne fut que meurtres, viols, tortures, pillages et destruction sur toute la Vendée. Les troupes républicaines massacrèrent également les « patriotes » qui étaient cependant de leur côté, n’ayant d’autre tort que d’être Vendéens !

Les combats vont durer avec plus ou moins d’intensité durant trois ans, jusqu’au mois de mars 1796. Si un bilan précis est impossible à établir certaines estimations vont de 120 000 à environ 300.000 morts, et parfois plus. Sur une population totale d’environ 800 000 habitants.

Dans « Causes secrètes de la révolution du 9 au 10 thermidor », l’ex-juré du tribunal de sang de Robespierre, Joachim Vilate, écrivait :

« Quel tableau de régénération nationale ! Des villes renversées, d’autres désertes, des contrées fertiles ravagées par les guerres civiles et les incendies, les isles enlevées, les monumens détruits, l’adultère flétrissant les familles, les mers couvertes d’exilés, le commerce et les arts au désespoir, fuyant chez l’étranger ; les rivages des fleuves est de l’océan couverts de cadavres de tout sexe, de tout âge, jusqu’aux enfans a la mamelle ; les rochers teints de sang, la multitude sans subsistances couverte de haillons, les biens, les talens, les honneurs devenus des crimes, les délateurs en possessions des récompenses, la vertu une cause infaillible de mort…  L’humanité en deuil, se couvre d’un voile lugubre. » p53-54

Mais une question demeure : pourquoi les révolutionnaires ont-ils voulu exterminer les vendéens ?

Il est vrai que la république avait déjà à cette époque donné le ton avec ce slogan : la liberté ou la mort !

Est-ce donc seulement parce que ces paysans de l’ouest avaient refusé cette pseudo-liberté et l’autorité de la convention qu’ils furent massacrés ? Pas si sûr…

Un révolutionnaire du nom de Gracchus Babeuf montre dans son ouvrage « Du système de dépopulation ou la vie et les crimes de Carrier » une origine bien différente de cette volonté d’extermination de la part des révolutionnaires.

Il écrivait : « Maximilien et son conseil avait calculé qu’une vraie régénération de la France ne pouvait s’opérer qu’au moyen d’une distribution nouvelle du territoire et des hommes qu’il l’occupent. Ils parurent convaincus que les régulateurs d’un Peuple n’ont rien fait de stable et de solide pour sa régénération, s’ils n’ont réalisé la grande conclusion de J. Jacques, « que pour que le gouvernement soit perfectionné, il faut que tous les citoyens aient assez et qu’aucun d’eux n’ait trop » p25 et 26

 Voilà un aveu sur l’origine Rousseauiste de la réduction de population !

Il précisait plus loin : « il fallait, dans le plan de ces grands législateurs, ne point permettre que jamais la population excédât la proportion du total productif annuaire du territoire, de manière à ce que la portion domaniale et alimentaire de chacun des citoyens, pût toujours être complète. »

D’autres témoignages, émanant de diverses documentations, sont également disponibles :

Comme dans la réimpression du « Tableau des crimes du Comité révolutionnaire de Moulins, et des citoyens de l’Allier » datée de 1874, ou on y lit à la page 24 : « Voilà les agens de ce monstrueux projet enfanté par Robespierre, de réduire la population pour procurer une abondance faussement calculée. Ce nouveau Cromwel sacrifiait les hommes aisés et instruits pour mieux asservir la classe indigente et sans énergie.
Voilà les fanatiques en liberté qui faisaient naître l’âge de fer pour vous réduire à l’esclavage. »

Dans le tome 1 des « Papiers inédits trouvés chez Robespierre, Saint-Just, Payan, etc » de 1828, on y lit page 83 : « les calculs affreux de Carrier sur le nivellement de la population française ; son mot sur celle de Lyon réduite à 25 000 habitans ; l’affiche de Ronsin qui la réduisait à 1500 ; le projet de réduction mis à exécution, pour les départements de l’ouest, au moyen du feu vendéen, plus soigneusement entretenu par les décemvirs qu’autrefois le feu des vestales, projet déguisé par eux, sous le nom de chancre politique ; les manufactures de soie brûlées à Bédoin, les ruines de Lyon, les noyades de Nantes, les massacres d’Orange et d’Arras : que de témoignages qui déposeront de ces affreux desseins dans le livre de l’histoire ! »

Ce sinistre Carrier qui aurait dit lors de son interrogatoire que : « la France républicaine ne pouvait nourrir tous ses habitants » !

Dans le 1er volume de « Trente ans de ma vie (de 1795 à 1826) ; ou Mémoires politiques et littéraires » du poète Jean-Pierre-Jacques-Auguste de Labouïsse-Rochefort, on lit à la page 220 au sujet d’un certain Guffroy : « il donne ce conseil : « Abattons tous ces nobles : tant pis pour les bons, s’il y en a. Que la guillotine soit en permanence dans toute la France : la France aura assez de cinq millions d’habitans ; » – Ainsi l’anthropophage Guffroy voulait réduire une population de vingt-cinq millions à cinq… à condition sans doute qu’il aurait fait partie des cinq millions restant ; les autres vingt millions devant être assassinés pour les menus plaisirs de Guffroy et de ses pareils !… »

Jean-Bon-Saint-André, l’un des initiateurs du Tribunal Révolutionnaire de sinistre mémoire proclama ouvertement à la convention que « … pour établir solidement la République, il faut réduire de plus de moitié la population française ».

Etc…

On serait en droit de se demander quelle mouche avait piqué les révolutionnaires pour qu’ils aient soudainement cette envie macabre d’épurer au maximum la France de ses habitants !

Dans la revue américaine et politique Executive Intelligence Review daté du 15 avril 1994, le journaliste Jeffrey Steinberg écrivit tout un article s’intitulant : « The Bestial British Intelligence Of Shelburne and Bentham » (L’Intelligence Bestiale Britannique de Shelburne et Bentham). Dans cet article, il fit cette précision :

 « La crise économique à travers la France fut une des conditions du chaos politique et de l’insurrection. Shelburne prépara le projet de déstabilisation en créant un « atelier d’écrivain radicaux », à Bowood, composé de Bentham, du genevois Etienne Dumont et de l’anglais Samuel Romilly. Les discours furent préparés, traduits et transportés par valise diplomatique vers Paris où les leaders de la terreur jacobine, Jean-Paul Marat, Georges Jacques Danton et Maximilien Robespierre donnaient d’ardents discours. Les archives de la compagnie des Indes montrant les paiements versés à ces leaders jacobins sont toujours en archive au British Museum. » p-26

N’ayant pu vérifier ces fameux dossiers au British Museum, cette information est donc à prendre au conditionnel. Néanmoins ce qui est sûr, c’est que Jeremy Bentham était fort lié avec le français conventionnel Jacques Pierre Brissot. Il fut d’ailleurs proclamé citoyen français par la république le 26 août 1792. Une reconnaissance qui en dit long sur les relations qu’il y avait entre Bentham et les jacobins parisiens. Il est donc loin d’exclure l’influence possible que les Britanniques ont pu exercer sur les jacobins en France pour ce qui est de la politique de dépopulation.

Il est vrai que les anglais s’y connaissaient en matière de dépeuplement à cette époque. La première expérience de dépeuplement de la BEIC (Compagnie britannique des Indes orientales) eue lieu 20 ans plus tôt, avec la famine du Bengale de 1770. Y-avait-il la moindre raison pour que cette famine ait lieu ? Aucune, si les Britanniques ne l’avaient pas voulu. Le Bengale, à l’époque, comme aujourd’hui, permettait trois récoltes par an. Il s’agit du delta de la plaine du Gange où l’eau est plus qu’en abondance. Même s’il y a des sécheresses, elles ne ravagent pas l’ensemble des trois récoltes. De plus, comme cela prévalait à l’époque moghole, et aux époques précédentes, les surplus de céréales étaient stockés pour secourir les populations s’il devait y avoir une ou deux mauvaises récoltes.

Mais le pillage des denrées alimentaires réalisé par de sinistres agents britanniques, vida le Bengale de ses céréales et causa 10 millions de morts lors de la grande famine, éliminant un tiers de la population du Bengale. Bien qu’on ne connaisse toujours pas avec exactitude le chiffre total, le décompte de l’administration coloniale indique qu’il y aurait eu au moins 60 millions de morts durant toute la période de la colonisation britannique ! Et la réalité pourrait être nettement pire.

 

L’histoire ne manque pas d’exemples montrant comment, en particulier l’Empire britannique, a organisé des génocides, en exterminant des dizaines de millions de personnes non pas pour ce qu’ils avaient fait mais pour ce qu’ils étaient. Comme en Irlande par exemple, où, entre 1845 et 1852, « la grande famine de la pomme de terre » et l’émigration qu’elle provoqua, a réduit la population d’un quart. Cette famine fut la conséquence de l’apparition du mildiou, champignon parasite détruisant la pomme de terre, mais les britanniques ont profité de cette Grande Famine, pour expulser les plus pauvres et gagner des terres supplémentaires. Les pertes humaines furent estimées entre 500 000 et 1 million de morts.

Les réfugiés ont été évalués à 2 millions, et les émigrés à 2 millions également. Ce bilan tragique marqua à jamais l’Irlande : il fut la conséquence d’une catastrophe naturelle, combinée à des siècles d’exactions politiques britanniques sur le sol irlandais.

C’est également ce que connaîtront les amérindiens à une époque où l’immigration européenne n’a pas été apparemment interprété par eux comme étant une chance pour la terre de leurs ancêtres…

D’ailleurs c’est lors de la guerre de 7 ans, opposant les royaumes de France et d’Angleterre, qu’eu lieu la première attaque biologique officielle. L’officier britannique Jeffery Amherst, suggéra à son subalterne, le colonel Henri Bouquet, l’usage de couverture infectées par la variole, pour tenter de contaminer les indiens des Delaware, alliés des français.

Des couvertures contaminées par la petite vérole furent ainsi distribuées, causant près de 20 000 morts chez les amérindiens, pour lesquels cette maladie tout à fait nouvelle fut particulièrement virulente. Toujours cette logique macabre de vouloir exterminer son prochain, par tous les moyens possibles et pour des raisons idéologiques douteuses…

Bref, la république en France est la digne héritière des procédés anglo-saxons en matière de dépopulation !

On peut, en conséquence, se poser des questions sur le déroulement et la gestion de la 1ère guerre mondiale par la troisième république en France.

A commencer par cette cynique « mobilisation général » imposée par la république et obligeant les hommes en âge de se battre d’aller au carnage sans leur demander leur avis. Chose inconcevable à l’époque de l’Ancien régime.

Citons par exemple cette journée tragique du 22 août 1914 qui verra 27 000 de nos soldats perdre la vie dans le cadre de la bataille des frontières. C’est autant de soldats français tués en un jour que durant toute la guerre d’Algérie de 1954 à 1962. Le 22 août 1914 fut la journée la plus sanglante de l’histoire de France.

Et ce qu’il faut savoir, c’est qu’à cette époque la grande majorité de ces hommes qui ont été envoyés volontairement au carnage, étaient pour la grande majorité catholiques et beaucoup étaient paysans.
Cette guerre de 14-18 fut une véritable épuration républicaine ! C’est la troisième république qui porte l’entière responsabilité de la disparition de toute cette génération sacrifiée sur l’autel des Droits de l’Homme et de la Liberté ! Au final c’est près d’1,5 millions de soldats français qui seront tués lors de ce conflit. On peut en effet se demander si cette 1ère guerre mondiale n’a pas été l’occasion de la mise en œuvre d’un plan d’extermination de masse maquillé en guerre… En 1899, le franc-maçon et homme politique Ferdinand Buisson fit cet aveu : « Deux conditions sont nécessaires pour mettre sur pied une République. L’une facile : lui donner une Constitution républicaine ; l’autre difficile : lui donner un peuple de républicains. » Et si ce peuple refuse obstinément d’être républicain, alors on s’en débarrasse ! C’est plus ou moins ce qu’exprimait en gros le poète allemand Bertolt Brecht dans son poème « La solution » ou il faisait comprendre : « Puisque le peuple vote contre le gouvernement, il faut le dissoudre pour en élire un autre. »

C’est parfaitement dans la logique des valeurs de la république actuelle, et de son « Grand remplacement » du peuple français d’origine.

Et que penser à ce jour du développement de la robotique anthropomorphique ? La robotisation et la science mécanique ont déjà considérablement supplantés l’homme dans les usines et l’industrie. Qu’adviendra-t-il le jour où se seront des machines aux capacités humaines qui remplaceront les humains dans les travaux de tous les jours ? Quelle sera la place de l’homme dans ce monde futur ou la science et la robotique seront rois ? Car pour être consommateur, encore faut-il travailler et gagner de l’argent ! Mais si ce sont les machines qui remplacent l’homme, alors on devine très logiquement que l’homme fait de chair et de sang et donc soumis à des besoins naturels, n’aura plus sa place dans ce monde. Car il coûtera bien plus qu’il n’apportera.

Jacques Attali, ancien ministre socialiste de Mitterrand, préconisait pour cela d’euthanasier les retraités dès 60 ans ! Il disait dans une interview publié par Michel Salomon dans son livre « L’Avenir de la Vie » en 1981 (Segher éd.).(pp. 274-275). : « Dès qu’il dépasse 60-65 ans l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte cher à la société. La vieillesse est actuellement un marché, mais il n’est pas solvable. Je suis pour ma part en tant que socialiste contre l’allongement de la vie. L’euthanasie sera un des instruments essentiels de nos sociétés futures. » Jacques Attali – « L’avenir de la vie » – 1981

D’ailleurs aux Etats-Unis, un curieux monument appelé Georgia Guidestones, où le « Stonehenge américain », préconise, si on en juge ses inscriptions, une limitation drastique de la population mondiale. Ce monument en granite fut érigé le 22 mars 1980 en Géorgie, près d’Elberton. Construit par la firme Elberton Granite Finishing Company sur commande d’un anonyme s’étant présenté sous le nom de R. C. Christian (pseudonyme allégorique pour Christian Rose-Croix).

10 commandements y sont gravés en plusieurs langues. Voici les deux premiers commandements :

  • Maintenez l’humanité en dessous de 500 000 000 d’individus en perpétuel équilibre avec la nature.
  • Guidez la reproduction sagement en améliorant l’aptitude et la diversité.

Un projet qui fait froid dans le dos. Entre une volonté d’extermination globale de l’humanité et une pratique calculée de l’eugénisme. Mais qui se cache derrière tout ça ? Et pour préparer quel avenir en ce bas monde ? Celui du règne des machines et de l’argent ? Le film Terminator était-t-il une mise en garde sur un avenir possible entre l’homme et la machine ? Seront-ce les machines qui se chargeront de limiter l’humanité à 500 millions d’habitants sur Terre ? Ou des virus, ou des maladies créées en laboratoire…etc ? En sommes, le meilleur des mondes !

De plus, en 1995 à San Francisco, se tenait le premier forum sur « l’état du monde », à l’Hôtel Fairmont.
Les puissants de ce monde, des hommes politiques comme Mikhaïl Gorbatchev, George Bush, Margaret Thatcher, Vaclav Havel ou des hommes d’affaires comme Bill Gates, Ted Turner ou Washington Sycip, etc. se sont rencontrés pour analyser l’état du monde, pour fixer des objectifs souhaitables et les moyens de les atteindre, et définir une politique globale utile à leur mise en œuvre.
Ce beau monde est parvenu à la conclusion que la mise en place d’une « société 20/80 » était inéluctable – à savoir une société dans laquelle le travail de 20 % de la population mondiale sera suffisant pour soutenir la totalité de l’appareil économique de la planète. La population restante (80 %, donc) s’avèrera superflue, et, ne disposant pas de travail ni d’aucune forme d’occupation, nourrira une frustration croissante.

L’essayiste américain Jeremy Rifkin, auteur du livre « La Fin du travail » écrivait au sujet de cette société : « Il est sûr que les 80 % restants vont avoir des problèmes considérables.» ce sera « avoir à manger ou être dévoré » comme le disait si bien Scott McNealy l’ancien PDG de Sun Microsystems.

Dans « la guerre secrète contre les Peuples », Claire Séverac nous met en garde : « Si nous ne nous y opposons pas, demain, ces nouvelles technologies au service des puissants feront de nous au mieux des pions, au pire des esclaves. Plus ou moins tenus secrets, ces projets revêtent tous un alibi humanitaire : la faim dans le monde, le réchauffement climatique, la santé, l’écologie, la sécurité… En réalité, ils obéissent tous au plan d’une oligarchie qui n’a plus besoin de toutes « ces bouches inutiles », comme ses membres nous appellent en privé, et qui se donne ouvertement comme objectif de réduire l’humanité à 500 millions d’individus. Le plus grand génocide de l’histoire est en marche dans la désinformation la plus totale. »

Sans vouloir faire dans le complotisme, force est de constater que la mort fait bel et bien parti des valeurs de la république et du Nouvel Ordre Mondial. En république, on peut largement douter de la pratique constante de la liberté, de l’égalité et de la fraternité, mais certainement pas de la mort. L’extermination et la destruction ont toujours fait partie de la logique du système républicain contre la France dans ce qu’elle a d’historique, de culturel et de religieux.

Cette régénération du peuple français voulu par Robespierre et ses acolytes, se poursuit encore à ce jour. Par la suppression des naissances (avortement), avec ses 200 000 victimes par an, mais aussi par une politique migratoire de populations des pays du Tiers Monde, handicapés par cette fuite, créant l’instabilité dans nos populations européennes, pour le profit du mondialisme nivelant ainsi le monde du travail tout en faisant disparaitre nos spécificités historiques… En d’autres termes, la mise en place d’un homme nouveau correspondant aux critères de la haute finance et ne dépassant pas un nombre limité !

Avec la république et le mondialisme c’est tout ou rien ! Soit les peuples les tuent, ou soit c’est eux qui nous tueront !

Pour nous le choix est fait : La république et le Nouvel Ordre Mondial mourront pour la plus grande gloire de la vie des peuples sur terre ! Après les charniers de la révolution, après la purge sanguinaire de Napoléon, qui après avoir « rincé » la nation de ces hommes prit les adolescents appelés les « Marie- Louise », selon son expression devant les morts d’Austerlitz prétendait qu’une nuit de paris les remplacerait…

On était très loin de la phrase de Louis XV à Fontenoy disant à son fils qu’il ne fallait pas oublier que le sang versé restait celui des hommes et qu’un chef se devait de l’épargner.

Bref après la génération sacrifiée de 1914, que reste-il ? Il reste des régimes qui sèment la mort sur leur pas, comme les désastres et l’esclavage et d’autres, dont l’histoire démontre l’humanisme, les créations comme les réalisations. Il reste les régimes qui construisent, qui avancent, protègent et libèrent et c’est vers ce type de régime, par empirisme historique, que nos espérances se dirigent. Il ne reste que celui dont la France est sortie. Celui dont le plus beau symbole est illustré par une fleur, le lys qui demain, si Dieu le veut, sera plus représentatif et sauvera notre destinée en protégeant nos communautés,

Notre Jour Viendra !