De quelle violence parlons-nous, Monsieur le Président ? :

La violence d’un régime qui s’est imposé par un génocide, celui des vendéens ?
La violence de ceux qui mirent en place les inventaires et la spoliation des biens de l’Eglise à la suite de la loi de 1905, envers et contre le peuple ?
La violence d’un matraquage intensif des esprits par l’éducation nationale pour désapprendre tout, y compris notre Histoire au profit de la théorie du genre et des « droits sexuels » ?
La violence des législateurs qui osent décréter la liste des sujets tabous ?
La violence du mépris de 54.8 % des français contre le traité de Lisbonne lors du référendum du 29 mai 2005 ?
La violence qui crée le déséquilibre partout et culpabilise ceux qui osent dire que l’immigration est un malheur pour tout le monde ?
La violence qui consiste à imposer ce qui serait bon pour les familles, à imposer le choix de l’école, les vaccins, le médecin et la médecine… ?
La violence qui consiste à rendre la vie des petites villes et villages impossible (loi NOTRe) ?
La violence qui consiste à ignorer, mépriser des millions de français qui manifestent pour le retour du bon sens et contre la loi Taubira ?
La violence qui consiste à défendre des hystériques aux seins nus (Femen), anges noirs de George Soros, contre des militaires français ou les gardiens de la cathédrale Notre Dame de Paris, fidèles à leur vocation de protecteur ?
La violence impliquée par la « marchandisation » de la vie à travers la PMA, la GPA, la manipulation génétique sans vergogne ?
La violence qui consiste à faire passer un chevalier pour un voyou et un voyou pour un chevalier ?
La violence qui transforme les femmes, « sentinelles de l’Invisible », en porteuses de matraques ?
La violence qui est hypocritement voilée sous le terme « plan de restructuration » des entreprises et qui masque le chômage et le déclin de l’investissement pour satisfaire les pulsions malsaines de quelques-uns ?
La violence qui installe la loi du plus gros (Uberisation) contre les petites entreprises ?
La violence qui détruit le service public ?
La violence qui est complice de la médecine qui rapporte ?
La violence qui pousse au suicide nos paysans ou à les faire tuer de deux balles dans le dos parce qu’ils s’opposent à l’industrialisation de l’agriculture, comme Jérôme Laronze le 20 mai 2017 à Sailly ?
La violence qui taxe à mort le travail pour financer l’idéologie dominante ?
La violence du soutien aux terroristes d’Al Nosra en Syrie ?
La violence qui consiste à tout faire plier devant l’argent ?
La violence qui a eu pour but de contrôler ce qui était vital (politique, économie, énergie, agriculture, santé, éducation, instruction, …) et qui maintenant a pour ambition ultime de contrôler la Vie elle-même ?
La violence qui finalement vous pousse à votre propre destruction ?

Si oui, Monsieur le Président, alors nous sommes d’accord, la violence est à combattre de toutes nos forces.

Stéphanie Bignon
Terre et Famille
Janvier 2019