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La libération passera par la prise de conscience et l’action

À l’intention de ceux qui ont suivi nos discours lors des banquets du GAR comme nos mises en garde des périls qui menaçaient notre France comme notre civilisation, vous verrez la justesse de nos mises en garde.  À écouter et diffuser, Philippe de Villiers voit juste !

La libération passera par la prise de conscience et l’action en retrouvant l’appel de nos racines en cette Douce France et Notre Jour Viendra !

GAR

Faisons le point sur la survie de notre France.

Nous voici au cinquième acte d’une tragédie républicaine qui, souvent au théâtre, est le dernier. Foutriquet au pouvoir semble être la réincarnation de Néron sur la triste peau de chagrin nommée France. Nous sommes face à une classe politique baignant dans les scandales et affaires diverses pour qui le peuple de France n’accorde plus aucun crédit. Chaque jour en France, l’insécurité gangrène toute vie citoyenne dans une impunité montrant combien ce semblant d’État n’assure plus sa première et essentielle fonction qui est la protection des citoyens. La porosité de nos frontières ouvre la porte à la misère du monde, offrant, grâce à notre système corrompu, les mêmes droits qu’à nos nationaux qui ont acquis de dures luttes et sacrifices le peu dont ils bénéficient. Jusqu’à quand ?

Nos anciens ont-ils payé de leur sueur et de leur sang une liberté pour la voir ainsi bafouée chaque instant ?

La bassesse et la lâcheté ont toujours fait d’un nom, même très haut placé, le synonyme de polichinelle. La situation de l’Éducation nationale, de la Santé, de la Justice, de la Police, des Pompiers et de l’économie est catastrophique.

Il n’y a plus d’emplois, car il n’y a plus d’usines ni d’industries, et le système persécute le monde agricole avec des normes tout en ouvrant le marché intérieur à la scandaleuse internationalisation alimentaire. Ces « élus » trahissent au nom de l’Europe et vendent la France à la découpe. Les scandales s’accumulent, de la fermeture de Fessenheim aux horribles éoliennes, sans parler des affaires qui touchent directement l’État avec les cabinets de conseil comme McKinsey (1 milliard d’euros l’an dernier », le Canard enchaîné, 30 mars 2022), affaire Benalla…

« Sur le nucléaire concrètement, 14 réacteurs de 900 MW seront fermés d’ici 2035. Ce mouvement commencera à l’été 2020 avec l’arrêt définitif des 2 réacteurs de Fessenheim. Il se prolongera avec la fermeture de 4 à 6 réacteurs avant 2030 », E. Macron, Twitter 27/11/2018

Depuis 2012, avec Hollande et surtout Macron, nombreuses sont les grandes entreprises françaises abandonnées ou vendues à des groupes étrangers. Pour ne prendre que quelques exemples, en 2014 : 474 entreprises françaises sont passées aux mains d’investisseurs étrangers, plus de 32 % par rapport à 2013 :

  • Alstom Énergie (numéro 1 mondial des turbines pour les réacteurs nucléaires) vendue à l’Américain General Electric.
  • Arcelor (leader mondial de l’acier) vendue à l’Indien Mittal Steel.
  • Pechiney (leader mondial de l’aluminium) vendue au Canadien Alean.
  • Sanofi Opella, vendue à un fonds d’investissement américain.
  • Alcatel-Lucent, vendu aux Finlandais Nokia (après suppression de 600 emplois !).
  • Les Chantiers navals de l’Atlantique, vendus aux Norvégiens Aker Yards puis aux Coréens STX Shipbuilding puis à l’Italien Fincantieri.
  • Lafarge, numéro 2 mondial du ciment, vendu au Suisse Holcim.
  • Le Club Med vendu à la Chine.
  • Rossignol, numéro 1 du ski, vendu à l’Américain Quiksilver.
  • Yoplait vendu à l’Américain General Mills.
  • Teisseire, spécialiste des boissons non alcoolisées, vendu au britannique Britvic.
  • Amora Maille, spécialiste de la moutarde vendue au géant néerlandais Unilever.
  • Parfums Marionnaud vendus aux Chinois (après suppression de 800 emplois !).
  • L’aéroport international de Toulouse vendu aux Chinois, puis revenu dans le giron après l’avoir racheté aux Chinois.
  • Le Groupe Latecoere, spécialiste historique de l’aéronautique, vendu au fonds d’investissement américain Sear Chlight Capital Partner qui détient aujourd’hui 66 % du capital. Une partie des activités de Latecoere a été délocalisée au Mexique et en République tchèque (après plusieurs centaines de suppressions d’emplois en France).
  • Omnic, encore un fleuron français, spécialiste des semi-conducteurs pour l’industrie spatiale et les télécoms, vendu aux Américains.
  • Heico, spécialiste des équipements pour l’industrie spatiale, les télécoms, le médical, etc., vendu aux Américains pour 453 millions d’euros.
  • Exxelia (spécialiste des composants pour l’aérospatiale et le médical) vendue aux Américains.
  • Technip, fleuron de l’ingénierie pétrolière, vendue à l’Américain FMC.
  • Adit, (intelligence économique) vendue au Canadien Sagard.
  • Proxinvest (spécialiste du conseil de vote) vendu à l’Américain Glass Lewis.
  • Plüm (fournisseur d’énergie) vendu aux Britanniques Octopus Energy.
  • Reden Solar (spécialisé en photovoltaïque) vendu à un consortium d’investisseurs australiens, allemands et canadiens.
  • Segault (spécialisé dans les robinets industriels) vendu à l’Américain FlowServe.
  • Ascoval (aciérie) vendue au groupe britannique British Steel Limited, puis à Liberty Steel, puis rachetée par l’Allemand Saarstahl AG.
  • Vencorex vendu au Chinois Wanhua, entreprise chimique chinoise spécialisée dans les produits plastiques, avec comme à chaque fois les brevets et procédés industriels de ce fleuron de l’industrie chimique française (2000 postes de salariés en aval et 6000 en amont sont menacés en France).

Ciril, une entreprise du groupe lyonnais spécialisée en hébergement de données pour l’optimisation des entreprises, des collectivités publiques et des hôpitaux, a été achetée par Carlyle Group, un fonds de pensions américain géré par d’anciens membres de la CIA. Etc., etc…

Au total, c’est à peu près plus de 1600 entreprises françaises qui ont été vendues à l’étranger, beaucoup à des fonds de pensions américains. 138 en 2024. Une trentaine pendant les 6 premiers mois de 2025…

Cette liste est non exhaustive et montre que le mot souveraineté a depuis bien longtemps perdu toute signification dans notre pays, même si des élus osent encore en parler pour un public qui depuis bien longtemps n’y croit plus. La souffrance du petit commerce, de l’artisanat, de la pêche, de l’agriculture (on détruit les cheptels entiers pour quelquefois un seul cas de dermatose, alors qu’un vaccin existe ?). Nous devons réagir avant qu’il ne soit trop tard. Le pays est surendetté par un État boulimique qui étouffe le pays. Il n’Il n’est pas difficile de comprendre que la dictature fiscale, qui dépasse les 45 % des ressources des ménages français, handicape la consommation.« PME » disparaissent, et beaucoup d’entre elles travaillaient pour les fleurons de l’industrie française. L’arithmétique est facile à faire : moins d’emplois, et donc pour nos finances publiques moins d’entrées de TVA, puisque moins de consommation, et moins de cotisations sociales et patronales. Aujourd’hui ces « choux gras » du gouvernement : élus, réélus, anciens ministres, présidents… touchent jusqu’à la retraite des sommes scandaleuses. Pendant ce temps, des retraités en France, des femmes d’agriculteurs ou de simples salariés, maçons ou autres n’ont quelquefois que cinq cents euros pour vivre, en ayant travaillé des semaines de 48 heures dans les années 70, quand ce n’est pas plus.

Le gouvernement a l’outrecuidance de réclamer aux Français de payer la note de leurs gabegies, alors que faire ?

S’il fallait égrener une « ordonnance » urgente pour soigner la France, nous dirions de sortir de Schengen et de rétablir urgemment nos frontières. Pour l’insécurité, réformer la justice et rétablir la priorité à la victime, rétablir les peines plancher, guerre aux narcotrafiquants… Nul besoin de construire des prisons, mais renvoyer tous les délinquants, prisonniers et OQTF étrangers, qui n’ont rien à faire sur notre territoire (52 000 chambres d’hôtel à 1,2 milliard alors que des Français dorment dans leur voiture ou dans la rue). Inutile de trouver des arguments car lorsque l’on veut, on se donne les moyens de pression nécessaires. C’est la force d’un État digne de ce nom.

Continuons les solutions, supprimer :

  • Pacte asile immigration
  • marché énergétique,
  • Le marché des éoliennes et panneaux solaires scandaleux,
  • le « Pacte vert »,
  • le Mercosur.

sortir de l’Europe de l’impératrice Vanderlayen non élue, usurpant le pouvoir sur les peuples. En fait, reprendre sa souveraineté en rétablissant la priorité du droit national sur le droit européen.

  • Supprimer l’AME (environ 1,3 milliard) et réserver pour les Français les prestations sociales auxquelles ils ont seuls le droit en ayant cotisé :
  • Supprimer les aides au développement (130 pays pour environ 24 milliards d’euros), il est ahurissant de donner de l’argent pour les vignes d’Afrique du Sud (alors que l’Europe a payé, pour en arracher en France !) : dix millions d’euros pour les agriculteurs du Bénin, alors que les nôtres se suicident et l’Elysée donne 23 millions pour l’hôpital du Mozambique alors que nous avons des Français qui meurent en attendant aux urgences ?
  • Encourager, comme le dit si bien Philippe de Villiers, le « Roman national » et, en priorité, dans les écoles, comme il faut remettre les professeurs sur « l’estrade ».
  • Privatiser les chaînes publiques (4 milliards), arrêter les subventions aux journaux et aux ONG comme associations pro-migrants (environ 11 milliards). Les Français doivent être libres de donner leur argent où ils le désirent…
  • Soutenir l’artisanat, l’agriculture et la pêche française.

Nous savons que seule la stabilité et la légitimité du pouvoir peuvent garantir la paix, tandis que la tradition et l’empirisme historique désignent la monarchie comme la solution à long terme pour toute renaissance souhaitable de la France et de la francophonie. En attendant, la réalité impose des choix urgents car la France est menacée dans son existence même, comme la nature même de l’homme et de la femme avec le wokisme. Comment imaginer que l’euthanasie puisse un jour être autorisée ?

Comment accepter des « batteurs d’estrades », des journaleux où des élus n’ayant jamais travaillé réclament l’allongement de la retraite pour les Français ? Il faut revenir à 62 ans maximum, comme c’était précédemment, n’en déplaise aux libéraux (l’argent se trouve largement, ne serait-ce que sur le coût de l’immigration !). Il est inadmissible de ne pas donner à ceux qui ont travaillé toute leur vie la juste compensation d’un repos bien mérité. L’argent doit être pris là où il se trouve : dans les dépenses inacceptables d’un État devenu lui-même la première cause de la faillite du pays. Sarah Knafo a largement dressé la liste des économies possibles…

Actuellement seul Philippe de Villiers propose l’essentiel de ce que nous souhaitons entreprendre pour redresser le pays.

Notre lutte n’est plus contre une république agonisante mais contre un système qui, comme le dénonçait Bernanos, désire transformer les êtres humains en numéros. C’est pour cela que notre message d’espérance touche à la fois les royalistes, et les traditionnalistes, ainsi que tous les patriotes et enfin tous les Français désireux de continuer cette exceptionnelle histoire millénaire de notre peuple.

Notre jour viendra !

GAR

Lire Projet de société :

Le Livre noir des Républiques en France (I et II).

Justice sociale à travers l’histoire :

Ne les oublions pas !

Nous saluons ce jour nos cousins francophones de l’Ontario qui célèbrent le 50e anniversaire de leur drapeau Fleurdelysé. Vive l’Ontario francophone comme nous profitons pour saluer tous nos cousins d’Amérique, Notre jour viendra !

Au passage voici comment là-bas, au-delà de la « Grande-Rivière » comme disaient les Amérindiens, la tradition Française est maintenue, bravo à Xavier St-Aubin et son entourage…

GAR

https://www.tiktok.com/@el_pere_tobin/video/7553795880223116551

Un monde en déclin…

Ces derniers jours mettent en lumière la situation d’un monde en déclin. L’assassinat à caractère raciste d’Irina Zaroutska le 22 août dans le métro de Charlotte (Caroline du Nord) par un individu Afro-Américain, ayant un historique judiciaire comprenant 14 arrestations et déclarant à plusieurs reprises « j’ai eu cette fille blanche », soulève des questions sur les tragédies déjà présentes dans notre société. De la petite Lola (octobre 2022) à Thomas (novembre 2023), Anthony (aout 2023), Philippine (septembre 2024), Philippe (avril 2024) en passant par Samuel Paty, Bernard (octobre 2023), Gervaise (mai 2022) et tant d’autres, la liste n’est pas exhaustive, ne faisant que s’allonger, victimes d’une justice laxiste pour la plupart. Les agressions se multiplient, sans parler des viols qui s’accumulent, comme celui atroce de Cherbourg (aout 2023), dans une société trahie par un État qui doit avant toute chose défendre son peuple en priorité. L’assassinat d’Ashur Sarnaya, réfugié chrétien-irakien à Lyon avec sa soeur et persécuté par les islamistes, montre l’incapacité de l’État ripouxblicain à assurer la sécurité élémentaire de ceux qui fuient la barbarie d’un autre temps. Cet homme en chaise roulante faisait partie de la communauté assyro-chaldéenne et ayons une pensée pour nos frères chrétiens d’Orient dans la souffrance. Jusqu’à quand devrons-nous supporter l’entrée de populations qui mettent en danger notre civilisation ?

Pour finir, mes dernières paroles iront vers Charlie Kirk, influenceur républicain états-unien, assassiné le 10 septembre, laissant sa femme et deux enfants en bas âge. Comme le dit Philippe de Villiers, il est le « 1er martyr du wokisme ». Cet homme allait mener la contradiction dans les universités, affrontant les critiques de certains esprits chimériques en perdition. Il savait convaincre l’assistance vers les valeurs de la tradition, éternelles et permanentes, avec les particularités états-uniennes qui ne sont pas toujours celles de notre pays. Selon la formule classique, nous pouvons dire : « Dieu vous a accueilli dans sa lumière » et sachez de là-haut que notre jour viendra !

   GAR

Face à la République désespérante.

La République est désespérante… Alors que la situation géopolitique et les diverses crises qui affectent notre société (en particulier la crise de la dette et celle de la confiance des Français à l’égard des institutions et du monde de l’économie) devraient forcer les principales forces politiques à penser un peu plus (et un peu mieux, surtout) au bien commun et au destin du pays, celles-ci ne s’intéressent qu’à leur « bout de gras » et aux places qu’elles pourraient espérer dans un prochain gouvernement ou après une prochaine dissolution, dans la longue suite des désordres parlementaires comme de la rue : triste, et révélateur de cette idéologie du « toujours plus » mâtinée de cette insatisfaction permanente qui, en définitive, constitue le fonds de commerce des partis du pays légal. Quant au gouvernement, en attendant celui constitué officiellement par M. Lecornu, il n’a guère brillé par son efficacité ces dernières années, et cela malgré quelques personnalités parfois très impliquées (les plus communicantes n’étant pas les plus travailleuses, d’ailleurs). L’instabilité gouvernementale, au gré des souhaits présidentiels ou des aléas électoraux et parlementaires, ramène la France aux temps contrariés de la Quatrième République, ceux-là mêmes que le général de Gaulle avait tenté, avec un certain succès tout de même, de faire définitivement oublier !



Le triste spectacle des ambitions des féodaux du pays légal, pour qui l’élection présidentielle est « la reine des élections », nous impose de réfléchir au-delà de ce modèle républicain, au-delà de 2027 : le temps républicain est aujourd’hui l’ennemi de la politique utile parce qu’il limite l’horizon à de simples échéances électorales et aux jeux d’appareil pour confisquer le pouvoir, au moins pour quelques années. Alors qu’il faudrait à la fois l’unité et les libertés pour relever les défis contemporains et pour assurer « l’avenir long », la République empêche l’une et limite les autres, dans un tango qui étourdit les citoyens sans les satisfaire dans leurs demandes légitimes (1), au risque de bloquer la situation ou de fâcher ceux qui, alors, se considèrent comme les « oubliés de la République ». Le soulèvement des Gilets jaunes, dernier grand mouvement populaire français, portait cette double revendication (parfois de manière maladroite, colérique ou outrancière (2), malheureusement) qui, à ce jour, n’a pas été satisfaite.



Il est facile de contester après avoir constaté, mais cette attitude n’est vraiment utile que si elle s’accompagne de propositions réfléchies et non de « y’a qu’à » ou de « faut qu’on » qui, trop souvent, font tomber dans la démagogie ou l’irréalisme même les meilleures intentions ou causes. Quelques pistes alors peuvent être avancées pour répondre aux crises actuelles : une refonte territoriale qui puisse concilier subsidiarité et unité supérieure française, par une nouvelle cartographie moins administrative et plus enracinée (voire historique) des régions-provinces ; la création, dans les cadres territoriaux locaux (quartiers, communes, pays, régions), de nouvelles agoras qui puissent concilier discussion, représentation et décision (les unes n’étant pas forcément toujours les autres, selon les cas considérés : là encore, la nuance, la mesure et les sentiments doivent être considérés pour servir au mieux l’intérêt public, le bien commun et l’efficacité locale) ; une logique associative et corporative pour mieux intégrer les travailleurs dans leurs cadres et missions de travail, et cela en leur donnant la propriété du métier tout comme en valorisant la qualité du travail et la dignité du travailleur, parfois toutes deux foulées aux pieds selon des considérations purement économiques ; une meilleure inclusion de la formation dans la profession, pour pouvoir s’approprier rapidement les nouvelles conditions techniques là où celles-ci évoluent très (voire trop) vite, tout en facilitant l’enracinement (professionnel et territorial) des classes travailleuses (du patron à l’apprenti) ; etc. Ces quelques pistes pourront donner, dans les mois qui suivent, des développements plus importants et argumentés, en n’oubliant pas la possibilité et la faisabilité des choses : rien ne serait pire que de bâtir sur du sable, et il importe de partir de ce qui est (quelles que soient les qualités et les défauts de la chose considérée) pour faire évoluer dans le bon sens ou changer profondément les réalités insatisfaisantes. Cela n’empêche pas l’imagination de venir au soutien des réalisations nécessaires, et celle-ci peut aussi se nourrir de l’étude et de la réflexion, comme de l’expérience : n’est-ce pas, après tout, le sens même de ce que les maurrassiens et post-maurrassiens nomment « empirisme organisateur », en rappelant toujours que « toute vraie tradition est critique », ce qui est le gage de son efficacité et de sa vitalité ?




(à suivre : les conditions politiques et institutionnelles d’une rénovation française)



Notes : (1) : Toutes les demandes populaires, si elles peuvent être entendues, n’ont pas le même degré de légitimité : certaines sont parfois oublieuses de l’intérêt général ou de la possibilité, et il est juste de les discuter, voire de les repousser. En revanche, certaines autres demandes méritent non seulement l’attention mais aussi la promotion, en particulier celles qui touchent à la valorisation du travail, et à la préservation et à la qualité des cadres de vie et de société des populations.



(2) : Cela n’enlève rien à la légitimité de la révolte, mais brouille le message et indispose quelques alliés potentiels, alors réticents à rejoindre le mouvement : du coup, la jonction entre deux parts du pays réel, que l’on pourrait grossièrement séparer entre une part périphérique et rurale, composée d’artisans, de travailleurs de proximité et d’agriculteurs mais aussi d’exilés urbains, et une part plus proche des grandes métropoles (voire en leur sein) mais appartenant aux classes populaires enracinées et aux classes moyennes craignant le déclassement social induit par la mondialisation métropolitaine et numérique, ces deux parts se retrouvant à partager à peu près les mêmes soucis et, parfois, les mêmes territoires, mais surtout les mêmes colères.




Au-delà du 10 septembre : le combat du pays réel.

M. François Bayrou a échoué et, à travers lui (après tant d’autres), c’est l’échec d’une République qui n’a pas su saisir les enjeux du temps et les aborder de façon volontaire et positive : le règne de la facilité, doublée d’une part de démagogie et saupoudrée de discours lénifiants, est une forme de tyrannie contemporaine qui peut s’appuyer sur l’aliénation des masses à la société de consommation et de loisirs, ce que Philippe Muray appelait « la société distractionnaire ». Or, toute société juste et équilibrée repose sur une part d’efforts et de partage de ceux-ci selon les catégories (d’âge, de métier et de revenus, ces trois-là pouvant évidemment se combiner), quand l’individualisme remet en cause cette exigence sociale au nom de l’individu et de sa liberté principielle. Comment « faire société » aujourd’hui quand chaque individu revendique d’être « premier servi », sans égards pour le contexte et le bien commun ? Brisées en mille morceaux et discréditées par le pays légal qui y voient des restes de corporatisme ou de provincialisme, les solidarités concrètes et anciennes ont laissé la place, au moins officiellement, à celles des partis et des groupes d’intérêt purement économiques et sociaux, dans un retour du féodalisme peu respectueux de l’Etat, de son autorité et de sa légitimité : depuis une bonne trentaine d’années au moins, nous sommes revenus à l’ère carolingienne (mais celle d’après Charlemagne…), en somme, et les diverses formes d’insécurité dont souffrent nos concitoyens (insécurité physique ou insécurité sociale, entre autres) peuvent expliquer cette sourde révolte contre des élites « qui ont trahi » et le besoin de retrouver de « nouveaux » maîtres qui, parfois, peut se traduire par une demande de pouvoir fort et indisputé, voire indiscuté… Un chiffre pour démontrer ce dernier élément : selon une récente enquête du Cevipof (1), 41 % des Français « se disent désormais favorables à un dirigeant qui gouvernerait sans Parlement ni élections » (2). Cela peut expliquer que, en définitive, de nouvelles élections législatives ne résoudraient pas, à elles seules, la crise de confiance des Français à l’égard de l’Etat et des institutions politiques.



La crise du régime est désormais avérée mais cela signifie-t-il pour autant que celui-ci tombe par terre comme un fruit trop mûr, voire gâté ? Rien n’est moins sûr : « la République gouverne mal, mais elle se défend bien », ironisait Anatole France, et il faut noter que les contestataires du 10 septembre, s’ils en appellent à en finir avec M. Bayrou (il semble qu’attendre le 10 n’aura pas été nécessaire…) et, pour nombre d’eux, avec la caste politicienne elle-même (et sur les grandes largeurs, d’abord le bloc central, mais aussi les périphéries de droite comme de gauche…), paraissent beaucoup moins unanimes sur « l’après-10 septembre », en particulier sur ses formes politiques.


Le mouvement de blocage du mercredi 10 septembre n’est d’ailleurs pas exempt de contradictions, malgré des motivations compréhensibles et des intentions souvent louables à défaut d’être réalisables. Dénoncer la suppression de deux jours fériés, mais aussi le poids trop lourd de la fiscalité sur le travail (et, par là-même, sur les travailleurs) ; en appeler à une plus grande justice fiscale, l’une des conditions majeures de la justice sociale ; rappeler à l’Etat ses devoirs de service public et de protection sociale, particulièrement envers les plus fragiles dans notre société ; demander une meilleure prise en compte des intérêts du monde du Travail face aux pressions du monde de la Finance… Tout cela est sain, et éminemment légitime, même si les moyens de parvenir à répondre favorablement à ces demandes peuvent être, eux, fort divers et, parfois, antagonistes. Mais, si la contestation s’en prend à ceux qui nous gouvernent aujourd’hui, elle ne doit pas s’arrêter à cette immédiateté : il paraît nécessaire, logique, d’aller plus loin. S’en prendre aux conséquences sans s’interroger sur les causes de la crise sociale contemporaine reviendrait à un coup d’épée dans l’eau, certes jouissif mais bien peu utile et constructif. Omettre l’aspect institutionnel serait invalider toute la dénonciation des désordres sociaux, de ce que l’on nomme, aussi, injustices…

Dans la première mouture du mouvement « Bloquons tout » (formule qui, bien que sémantiquement efficace, me semble maladroite et inachevée…), les fortes responsabilités de l’Union européenne dans la crise actuelle n’étaient pas oubliées, et les derniers renoncements de Mme Von der Leyen face à M. Trump ainsi que les velléités de celle-ci à conclure des accords de libre-échange entre l’UE et le Mercosur (entre autres) auraient dû renforcer ce mouvement de défiance, voire de rupture avec la politique et, surtout, l’idéologie de l’Union européenne et de sa Commission. Or, la récupération éhontée du mouvement par la Gauche jacobine et robespierriste de M. Mélenchon a largement effacé cet aspect de la contestation initiale : il est permis de le regretter…


Quoiqu’il en soit, cette rentrée politique et sociale précoce aura le mérite de poser quelques bonnes questions et d’ouvrir quelques perspectives politiques qui pourraient bien ne pas plaire au vieux républicain Mélenchon ni aux caciques du pays légal. Ces chouanneries qui se font jour dans nos villes et nos campagnes bien au-delà de l’annonce chaotique du 10 septembre, et qui ne se satisfont guère des rodomontades politiciennes des oppositions électorales, méritent de ne pas être négligées, malgré tout, et cela sans céder à la démagogie, mauvaise conseillère et pire des politiques. Un royaliste conséquent pourra y trouver quelques motifs de satisfaction sans céder à l’euphorie : encore lui faudra-t-il « saisir la verte fortune » pour rendre « possible ce qui est nécessaire ». Un beau et grand défi politique à relever, en somme…


Jean-Philippe Chauvin



Notes : (1) : Le Cevipof est le Centre d’études et de recherches politiques de Sciences Po.

(2) : Pascale Tournier, Carole Sauvage, dans La Vie, 4 septembre 2025. Nous reviendrons prochainement sur cette observation et ses éventuels débouchés politiques : au-delà de la démocratie contemporaine (parfois surnommée « dénicratie »…), il importe de penser ce qui pourrait changer dans les institutions pour redonner la parole et des pouvoirs aux citoyens du pays réel, et surtout la confiance sans laquelle, en définitive, aucun régime ne peut vraiment survivre dignement, respectueusement et respectablement…



Le plan Bayrou, ou la république sans véritable projet.

Alors que la France entrait tout doucement dans cette semi-léthargie politique et sociale qu’annonce ordinairement la célébration du 14 juillet, le premier ministre François Bayrou a choisi de présenter ses pistes de travail pour le budget de la France pour 2026, espérant peut-être que le temps des vacances apaiserait les contestations politiques, sociales et syndicales qui ne pouvaient que se faire jour au moment même où il prononçait son discours. Une espérance vite déçue, et l’intitulé de son pupitre, « le moment de vérité », a paru fort dérisoire au regard des enjeux comme des résistances à ses projets budgétaires. Pourtant, l’urgence est bien là, mais cela fait un long temps déjà qu’elle est invoquée sans que ne changent vraiment les choses, si ce n’est une aggravation régulière et apparemment interminable des déficits et des carences de l’État, au détriment de la force française et de sa crédibilité à l’échelle de l’Europe et du monde, mais également au regard de ses populations de citoyens-contribuables et de son tissu économique, industriel, agricole comme tertiaire. La menace régulièrement avancée d’une intervention du FMI en France, en violation de sa souveraineté, n’est pas si anodine que cela, malgré son caractère pour l’heure purement hypothétique (1) et, d’une certaine manière, idéologique (2) : elle est, en fait, plus révélatrice que réaliste, mais elle fait partie de ses signaux qui indiquent que notre puissance est menacée, et elle nous rappelle que la dette est un boulet, non par sa seule existence, mais par son importance, sa démesure même, et ses conséquences sur les finances de l’État, comme le poids des intérêts à payer chaque année à nos créanciers, poids de plus en plus lourd le temps passant et dépassant désormais l’actuel budget de la Défense nationale, ce qui n’est pas de bon aloi ni de bon augure…

Les mesures annoncées par M. Bayrou sont d’abord conjoncturelles, et non structurelles : c’est sans doute cette absence de politique de long terme et d’enracinement institutionnel qui est problématique (et condamnable), et qui laisse craindre que, non seulement ces mesures soient inefficaces, mais qu’elles soulèvent plus de contestations (là encore, toutes ne sont pas égales ni forcément justifiables de la même manière) que d’adhésion au moment même où l’unité sociale devrait être la plus forte pour sortir de la situation d’ensablement de l’économie française. Bien sûr, il y a quelques mesures d’urgence à prendre, mais le mieux ne serait-il pas de les inscrire, comme une préface, dans un vaste plan de restructuration (certains diraient restauration…) économique et sociale ? Or, les annonces de M. Bayrou sont plutôt décevantes et ne préfigurent pas vraiment une remise en état de ce qui doit l’être pour assurer à notre pays et à nos concitoyens un avenir serein… La suppression de deux jours fériés, par exemple, est-elle vraiment déterminante pour redresser les comptes publics ? N’est-elle pas, en revanche, un élément de blocage « sentimental » pour une possible acceptation pour les salariés de la nécessité avancée de « travailler plus » ? N’aurait-il pas été plus intéressant d’évoquer la possibilité de travailler un certain nombre d’heures en plus dans le cadre du calendrier actuel sans le remettre en cause ? Sans compter que le secteur du tourisme et celui de la restauration voient d’un mauvais œil cette disparition programmée de deux jours fériés qui, généralement, profitent à leurs activités, surtout au printemps, et qui peuvent rapporter de quoi, aussi, emplir un peu plus les caisses de l’État.

D’autres propositions avancées par M. Bayrou semblent condamnées à n’être que des expédients sans lendemain, même s’ils peuvent donner temporairement un peu d’air aux Finances : le principe de « l’année blanche » peut être intéressant s’il est suivi d’une véritable politique d’investissement des sommes ainsi économisées, et non d’un simple colmatage de quelques brèches dans le navire de l’État. Quelques remarques néanmoins : d’abord, cela ne peut être véritablement et utilement pratiqué que pour une année ; d’autre part, le même principe doit être appliqué à tous et cela interdit a priori toute exonération ou toute exception, qui ruinerait le principe de cette année blanche et en amoindrirait les résultats (3) ; sans oublier qu’elle n’est vraiment possible et socialement acceptable que si l’inflation est basse, ce qui est actuellement le cas mais n’est pas forcément assuré pour les mois prochains si de nouvelles tensions sur les matières premières ou les sources d’énergie, par exemple, apparaissent.

Toutes les mesures annoncées par un premier ministre qui, pour avoir écrit un livre sur le roi Henri IV, n’en est pas Sully pour autant, s’inscrivent dans le temps d’une République qui, en fait, risque de tout remettre en cause dès la prochaine échéance électorale, qu’elle soit présidentielle (en 2027, a priori) ou législative (quand ? Rien n’est sûr, désormais…) : ce « temps court » d’une République, redevenue Quatrième par le jeu incessant des partis et les maladresses répétées de l’actuel locataire de Mme de Pompadour (4), est le principal obstacle (mais pas le seul, loin de là) à une politique économique de long terme qui puisse être économiquement efficace et convaincante tout autant que socialement juste, ce dernier élément ne devant jamais être négligé si l’on suit les préceptes du royalisme social (5).


(à suivre)


Jean-Philippe Chauvin


Notes : (1) : C’est Pierre Moscovici, premier président de la Cour des comptes, qui estime, dans un entretien au quotidien Le Parisien (samedi 19 juillet 2025), que « la France n’est pas la Grèce de 2009-2010 », et qu’il n’est pas « nécessaire de faire peur avec la menace du FMI », ce en quoi il a parfaitement raison (pour une fois, pourrait-on dire…), du moins pour le moment et le futur proche.

(2) : Ce sont les libéraux les plus acharnés à dénoncer l’endettement de l’État et la présence de l’État dans l’économie (pour de bonnes ou de mauvaises raisons, d’ailleurs, et il peut y avoir débat sur ce sujet), qui agitent frénétiquement l’épouvantail du FMI, semblant l’espérer comme le Messie, dans une posture qui, à bien y regarder, n’est guère civique ni juste. Que la menace existe (plus proche qu’hier, sans doute, mais encore – Dieu merci – lointaine et imprécise), c’est indéniable ; qu’elle soit inéluctable, en revanche, n’est pas encore écrit… En fait, c’est plus par idéologie que par réalisme que les libéraux en appellent au FMI pour mener des réformes de déconstruction de l’État social qui, pour nous, ne sont ni nécessaires ni justes au regard des équilibres et de l’unité de notre nation.

(3) : Si cette pratique égalitaire de la mesure paraît justifiée, est-elle toujours juste pour autant ? Car les catégories aisées de la population en ressentiront moins les effets, souvent indolores pour elles, que les catégories les plus fragiles, surtout en période d’incertitude économique et d’insécurité sociale. Le risque est d’aggraver, par là-même, la « crise des ciseaux » entre les plus aisés et les plus précaires (voire prolétaires). Cette perspective inquiétante ne peut être négligée, surtout si la justice sociale est la boussole de l’État (mais est-ce vraiment le cas aujourd’hui ?).

(4) : Le palais de l’Elysée, aujourd’hui occupé par M. Macron, est l’ancienne résidence de la marquise de Pompadour, un temps favorite du roi Louis XV, résidence acquise en 1753 et qu’elle conservera jusqu’à sa mort, survenue en 1764.

(5) : La justice sociale est la colonne vertébrale de la pensée royaliste sociale, depuis le préfet Villeneuve-Bargemont et le théoricien René de La Tour du Pin, l’un pouvant être considéré comme un véritable promoteur de l’État social au XIXe siècle et l’autre comme le valorisateur de la justice sociale en un temps où ce sont le progrès et la croissance industrielle qui semblent primer sur toute autre considération dans les classes économiques dirigeantes…


TRADITION ET MODERNISME

« Tout l’avilissement du monde moderne, […] vient de ce que le monde moderne a considéré comme négociables des valeurs que le monde antique et le monde chrétien considéraient comme non négociables. »
Charles Péguy

Faisons dans un premier temps une comparaison entre trois générations de Français. Un de 1814, un autre de 1914 et un dernier de 2014. Observons ce qu’était le Français en 1914. C’est loin d’être une erreur que de constater que le Français issu de la société du début du XXè siècle aurait parfaitement pu se reconnaître dans celle de 1814. La société française durant le siècle qui sépare ces deux années avait très peu changé. On a affaire à une France rurale et traditionnelle dans la majorité. Un Français de 1914 propulsé en 1814 aurait pu aisément avoir des conversations avec les Français de cette époque. Les us et coutumes, les traditions et la pratique religieuse sont, dans l’ensemble, restés intacts malgré les divers changements de régimes et les guerres jalonnant ce siècle. Il n’aurait pas été pleinement dépaysé et aurait pu aisément faire sa place dans cette France de 1814, sans aucun problème. Maintenant, faisons un comparatif mais cette fois-ci entre un Français de 2014 avec celui de 1914. Imaginons donc un Français de 1914 propulsé dans le futur et évoluant dans la France de 2014. Que verrait-il en comparaison de son époque ? Il verrait une France devenue essentiellement urbaine et où la paysannerie est réduite à son strict minimum. Il verrait des églises vides, des centres commerciaux pleins et de la publicité partout. Il verrait les Français enfermés chez eux devant la télé ou Internet et ne communiquant le plus souvent qu’avec des téléphones portables. Il verrait un peuple devenu excessivement individualiste et surtout très consommateur et matérialiste. Il constaterait l’américanisation de la société, s’abreuvant de films, séries et musiques américaines, mangeant au mac do, buvant du coca, et parlant un jargon mi français mi anglais. Il constaterait l’hégémonie de l’automobile devenue envahissante, ainsi qu’une pollution devenue excessive en comparaison de 1914. Il verrait un peuple déraciné ou les us et coutumes ancestrales ont quasiment toutes disparu, faisant place aux « gay pride » ou « techno-parades » et autres stupidités de ce monde moderne. Il verrait les problèmes des cités et l’absence d’autorité du gouvernement face aux divers problèmes que rencontre la société de 2014. Il verrait des familles instables avec un taux de divorce particulièrement élevé. Sans oublier les mariages entre homosexuels… et la liste est encore malheureusement bien longue !

(suite…)

Préservons les emplois d’ArcelorMittal en France !

Dans quelques semaines, la multinationale de l’Acier ArcelorMittal va licencier environ 630 salariés, des administrations aux usines, de Fos à Dunkerque.

Au moment même où la situation géopolitique internationale nécessite le réarmement rapide et durable de la France ;

Au moment où l’on parle d’une non moins nécessaire réindustrialisation du pays ;

Au moment où la décarbonation de la production de l’acier est un enjeu majeur pour la protection de l’environnement…

La multinationale préfère, pour dégager plus de bénéfices pour ses actionnaires, délocaliser les emplois de France vers l’Inde…

Et que fait la République pendant ce temps-là ? Rien, ou presque…

Que faudrait-il faire ?

Soutenir la décarbonation de la production de l’acier en France par un financement approprié et suivi pour éviter que ce financement soit détourné pour les actionnaires, et rappeler à l’Union européenne ses promesses de soutien à cette filière industrielle (promesses qui tardent à être tenues…) ;


Favoriser la création et la valorisation de nouvelles filières industrielles en France en soutenant la recherche et l’innovation, et en diminuant certaines charges fiscales sur les entreprises qui embauchent et maintiennent leurs emplois dans notre pays ;


Imposer à la multinationale ArcelorMittal de maintenir les emplois en France, ou de reconvertir certains postes menacés dans des fonctions liées à la société, voire de mettre en place une convention de détachement pour les salariés concernés pour leur permettre de travailler dans des entreprises industriellement et spatialement proches sans perte de salaire.


Avec les Royalistes sociaux, refusons le fatalisme et préservons les emplois en France, encore et toujours !