Être royaliste

La libération passera par la prise de conscience et l’action

À l’intention de ceux qui ont suivi nos discours lors des banquets du GAR comme nos mises en garde des périls qui menaçaient notre France comme notre civilisation, vous verrez la justesse de nos mises en garde.  À écouter et diffuser, Philippe de Villiers voit juste !

La libération passera par la prise de conscience et l’action en retrouvant l’appel de nos racines en cette Douce France et Notre Jour Viendra !

GAR

Faisons le point sur la survie de notre France.

Nous voici au cinquième acte d’une tragédie républicaine qui, souvent au théâtre, est le dernier. Foutriquet au pouvoir semble être la réincarnation de Néron sur la triste peau de chagrin nommée France. Nous sommes face à une classe politique baignant dans les scandales et affaires diverses pour qui le peuple de France n’accorde plus aucun crédit. Chaque jour en France, l’insécurité gangrène toute vie citoyenne dans une impunité montrant combien ce semblant d’État n’assure plus sa première et essentielle fonction qui est la protection des citoyens. La porosité de nos frontières ouvre la porte à la misère du monde, offrant, grâce à notre système corrompu, les mêmes droits qu’à nos nationaux qui ont acquis de dures luttes et sacrifices le peu dont ils bénéficient. Jusqu’à quand ?

Nos anciens ont-ils payé de leur sueur et de leur sang une liberté pour la voir ainsi bafouée chaque instant ?

La bassesse et la lâcheté ont toujours fait d’un nom, même très haut placé, le synonyme de polichinelle. La situation de l’Éducation nationale, de la Santé, de la Justice, de la Police, des Pompiers et de l’économie est catastrophique.

Il n’y a plus d’emplois, car il n’y a plus d’usines ni d’industries, et le système persécute le monde agricole avec des normes tout en ouvrant le marché intérieur à la scandaleuse internationalisation alimentaire. Ces « élus » trahissent au nom de l’Europe et vendent la France à la découpe. Les scandales s’accumulent, de la fermeture de Fessenheim aux horribles éoliennes, sans parler des affaires qui touchent directement l’État avec les cabinets de conseil comme McKinsey (1 milliard d’euros l’an dernier », le Canard enchaîné, 30 mars 2022), affaire Benalla…

« Sur le nucléaire concrètement, 14 réacteurs de 900 MW seront fermés d’ici 2035. Ce mouvement commencera à l’été 2020 avec l’arrêt définitif des 2 réacteurs de Fessenheim. Il se prolongera avec la fermeture de 4 à 6 réacteurs avant 2030 », E. Macron, Twitter 27/11/2018

Depuis 2012, avec Hollande et surtout Macron, nombreuses sont les grandes entreprises françaises abandonnées ou vendues à des groupes étrangers. Pour ne prendre que quelques exemples, en 2014 : 474 entreprises françaises sont passées aux mains d’investisseurs étrangers, plus de 32 % par rapport à 2013 :

  • Alstom Énergie (numéro 1 mondial des turbines pour les réacteurs nucléaires) vendue à l’Américain General Electric.
  • Arcelor (leader mondial de l’acier) vendue à l’Indien Mittal Steel.
  • Pechiney (leader mondial de l’aluminium) vendue au Canadien Alean.
  • Sanofi Opella, vendue à un fonds d’investissement américain.
  • Alcatel-Lucent, vendu aux Finlandais Nokia (après suppression de 600 emplois !).
  • Les Chantiers navals de l’Atlantique, vendus aux Norvégiens Aker Yards puis aux Coréens STX Shipbuilding puis à l’Italien Fincantieri.
  • Lafarge, numéro 2 mondial du ciment, vendu au Suisse Holcim.
  • Le Club Med vendu à la Chine.
  • Rossignol, numéro 1 du ski, vendu à l’Américain Quiksilver.
  • Yoplait vendu à l’Américain General Mills.
  • Teisseire, spécialiste des boissons non alcoolisées, vendu au britannique Britvic.
  • Amora Maille, spécialiste de la moutarde vendue au géant néerlandais Unilever.
  • Parfums Marionnaud vendus aux Chinois (après suppression de 800 emplois !).
  • L’aéroport international de Toulouse vendu aux Chinois, puis revenu dans le giron après l’avoir racheté aux Chinois.
  • Le Groupe Latecoere, spécialiste historique de l’aéronautique, vendu au fonds d’investissement américain Sear Chlight Capital Partner qui détient aujourd’hui 66 % du capital. Une partie des activités de Latecoere a été délocalisée au Mexique et en République tchèque (après plusieurs centaines de suppressions d’emplois en France).
  • Omnic, encore un fleuron français, spécialiste des semi-conducteurs pour l’industrie spatiale et les télécoms, vendu aux Américains.
  • Heico, spécialiste des équipements pour l’industrie spatiale, les télécoms, le médical, etc., vendu aux Américains pour 453 millions d’euros.
  • Exxelia (spécialiste des composants pour l’aérospatiale et le médical) vendue aux Américains.
  • Technip, fleuron de l’ingénierie pétrolière, vendue à l’Américain FMC.
  • Adit, (intelligence économique) vendue au Canadien Sagard.
  • Proxinvest (spécialiste du conseil de vote) vendu à l’Américain Glass Lewis.
  • Plüm (fournisseur d’énergie) vendu aux Britanniques Octopus Energy.
  • Reden Solar (spécialisé en photovoltaïque) vendu à un consortium d’investisseurs australiens, allemands et canadiens.
  • Segault (spécialisé dans les robinets industriels) vendu à l’Américain FlowServe.
  • Ascoval (aciérie) vendue au groupe britannique British Steel Limited, puis à Liberty Steel, puis rachetée par l’Allemand Saarstahl AG.
  • Vencorex vendu au Chinois Wanhua, entreprise chimique chinoise spécialisée dans les produits plastiques, avec comme à chaque fois les brevets et procédés industriels de ce fleuron de l’industrie chimique française (2000 postes de salariés en aval et 6000 en amont sont menacés en France).

Ciril, une entreprise du groupe lyonnais spécialisée en hébergement de données pour l’optimisation des entreprises, des collectivités publiques et des hôpitaux, a été achetée par Carlyle Group, un fonds de pensions américain géré par d’anciens membres de la CIA. Etc., etc…

Au total, c’est à peu près plus de 1600 entreprises françaises qui ont été vendues à l’étranger, beaucoup à des fonds de pensions américains. 138 en 2024. Une trentaine pendant les 6 premiers mois de 2025…

Cette liste est non exhaustive et montre que le mot souveraineté a depuis bien longtemps perdu toute signification dans notre pays, même si des élus osent encore en parler pour un public qui depuis bien longtemps n’y croit plus. La souffrance du petit commerce, de l’artisanat, de la pêche, de l’agriculture (on détruit les cheptels entiers pour quelquefois un seul cas de dermatose, alors qu’un vaccin existe ?). Nous devons réagir avant qu’il ne soit trop tard. Le pays est surendetté par un État boulimique qui étouffe le pays. Il n’Il n’est pas difficile de comprendre que la dictature fiscale, qui dépasse les 45 % des ressources des ménages français, handicape la consommation.« PME » disparaissent, et beaucoup d’entre elles travaillaient pour les fleurons de l’industrie française. L’arithmétique est facile à faire : moins d’emplois, et donc pour nos finances publiques moins d’entrées de TVA, puisque moins de consommation, et moins de cotisations sociales et patronales. Aujourd’hui ces « choux gras » du gouvernement : élus, réélus, anciens ministres, présidents… touchent jusqu’à la retraite des sommes scandaleuses. Pendant ce temps, des retraités en France, des femmes d’agriculteurs ou de simples salariés, maçons ou autres n’ont quelquefois que cinq cents euros pour vivre, en ayant travaillé des semaines de 48 heures dans les années 70, quand ce n’est pas plus.

Le gouvernement a l’outrecuidance de réclamer aux Français de payer la note de leurs gabegies, alors que faire ?

S’il fallait égrener une « ordonnance » urgente pour soigner la France, nous dirions de sortir de Schengen et de rétablir urgemment nos frontières. Pour l’insécurité, réformer la justice et rétablir la priorité à la victime, rétablir les peines plancher, guerre aux narcotrafiquants… Nul besoin de construire des prisons, mais renvoyer tous les délinquants, prisonniers et OQTF étrangers, qui n’ont rien à faire sur notre territoire (52 000 chambres d’hôtel à 1,2 milliard alors que des Français dorment dans leur voiture ou dans la rue). Inutile de trouver des arguments car lorsque l’on veut, on se donne les moyens de pression nécessaires. C’est la force d’un État digne de ce nom.

Continuons les solutions, supprimer :

  • Pacte asile immigration
  • marché énergétique,
  • Le marché des éoliennes et panneaux solaires scandaleux,
  • le « Pacte vert »,
  • le Mercosur.

sortir de l’Europe de l’impératrice Vanderlayen non élue, usurpant le pouvoir sur les peuples. En fait, reprendre sa souveraineté en rétablissant la priorité du droit national sur le droit européen.

  • Supprimer l’AME (environ 1,3 milliard) et réserver pour les Français les prestations sociales auxquelles ils ont seuls le droit en ayant cotisé :
  • Supprimer les aides au développement (130 pays pour environ 24 milliards d’euros), il est ahurissant de donner de l’argent pour les vignes d’Afrique du Sud (alors que l’Europe a payé, pour en arracher en France !) : dix millions d’euros pour les agriculteurs du Bénin, alors que les nôtres se suicident et l’Elysée donne 23 millions pour l’hôpital du Mozambique alors que nous avons des Français qui meurent en attendant aux urgences ?
  • Encourager, comme le dit si bien Philippe de Villiers, le « Roman national » et, en priorité, dans les écoles, comme il faut remettre les professeurs sur « l’estrade ».
  • Privatiser les chaînes publiques (4 milliards), arrêter les subventions aux journaux et aux ONG comme associations pro-migrants (environ 11 milliards). Les Français doivent être libres de donner leur argent où ils le désirent…
  • Soutenir l’artisanat, l’agriculture et la pêche française.

Nous savons que seule la stabilité et la légitimité du pouvoir peuvent garantir la paix, tandis que la tradition et l’empirisme historique désignent la monarchie comme la solution à long terme pour toute renaissance souhaitable de la France et de la francophonie. En attendant, la réalité impose des choix urgents car la France est menacée dans son existence même, comme la nature même de l’homme et de la femme avec le wokisme. Comment imaginer que l’euthanasie puisse un jour être autorisée ?

Comment accepter des « batteurs d’estrades », des journaleux où des élus n’ayant jamais travaillé réclament l’allongement de la retraite pour les Français ? Il faut revenir à 62 ans maximum, comme c’était précédemment, n’en déplaise aux libéraux (l’argent se trouve largement, ne serait-ce que sur le coût de l’immigration !). Il est inadmissible de ne pas donner à ceux qui ont travaillé toute leur vie la juste compensation d’un repos bien mérité. L’argent doit être pris là où il se trouve : dans les dépenses inacceptables d’un État devenu lui-même la première cause de la faillite du pays. Sarah Knafo a largement dressé la liste des économies possibles…

Actuellement seul Philippe de Villiers propose l’essentiel de ce que nous souhaitons entreprendre pour redresser le pays.

Notre lutte n’est plus contre une république agonisante mais contre un système qui, comme le dénonçait Bernanos, désire transformer les êtres humains en numéros. C’est pour cela que notre message d’espérance touche à la fois les royalistes, et les traditionnalistes, ainsi que tous les patriotes et enfin tous les Français désireux de continuer cette exceptionnelle histoire millénaire de notre peuple.

Notre jour viendra !

GAR

Lire Projet de société :

Le Livre noir des Républiques en France (I et II).

Justice sociale à travers l’histoire :

Ne les oublions pas !

Nous saluons ce jour nos cousins francophones de l’Ontario qui célèbrent le 50e anniversaire de leur drapeau Fleurdelysé. Vive l’Ontario francophone comme nous profitons pour saluer tous nos cousins d’Amérique, Notre jour viendra !

Au passage voici comment là-bas, au-delà de la « Grande-Rivière » comme disaient les Amérindiens, la tradition Française est maintenue, bravo à Xavier St-Aubin et son entourage…

GAR

https://www.tiktok.com/@el_pere_tobin/video/7553795880223116551

TRADITION ET MODERNISME

« Tout l’avilissement du monde moderne, […] vient de ce que le monde moderne a considéré comme négociables des valeurs que le monde antique et le monde chrétien considéraient comme non négociables. »
Charles Péguy

Faisons dans un premier temps une comparaison entre trois générations de Français. Un de 1814, un autre de 1914 et un dernier de 2014. Observons ce qu’était le Français en 1914. C’est loin d’être une erreur que de constater que le Français issu de la société du début du XXè siècle aurait parfaitement pu se reconnaître dans celle de 1814. La société française durant le siècle qui sépare ces deux années avait très peu changé. On a affaire à une France rurale et traditionnelle dans la majorité. Un Français de 1914 propulsé en 1814 aurait pu aisément avoir des conversations avec les Français de cette époque. Les us et coutumes, les traditions et la pratique religieuse sont, dans l’ensemble, restés intacts malgré les divers changements de régimes et les guerres jalonnant ce siècle. Il n’aurait pas été pleinement dépaysé et aurait pu aisément faire sa place dans cette France de 1814, sans aucun problème. Maintenant, faisons un comparatif mais cette fois-ci entre un Français de 2014 avec celui de 1914. Imaginons donc un Français de 1914 propulsé dans le futur et évoluant dans la France de 2014. Que verrait-il en comparaison de son époque ? Il verrait une France devenue essentiellement urbaine et où la paysannerie est réduite à son strict minimum. Il verrait des églises vides, des centres commerciaux pleins et de la publicité partout. Il verrait les Français enfermés chez eux devant la télé ou Internet et ne communiquant le plus souvent qu’avec des téléphones portables. Il verrait un peuple devenu excessivement individualiste et surtout très consommateur et matérialiste. Il constaterait l’américanisation de la société, s’abreuvant de films, séries et musiques américaines, mangeant au mac do, buvant du coca, et parlant un jargon mi français mi anglais. Il constaterait l’hégémonie de l’automobile devenue envahissante, ainsi qu’une pollution devenue excessive en comparaison de 1914. Il verrait un peuple déraciné ou les us et coutumes ancestrales ont quasiment toutes disparu, faisant place aux « gay pride » ou « techno-parades » et autres stupidités de ce monde moderne. Il verrait les problèmes des cités et l’absence d’autorité du gouvernement face aux divers problèmes que rencontre la société de 2014. Il verrait des familles instables avec un taux de divorce particulièrement élevé. Sans oublier les mariages entre homosexuels… et la liste est encore malheureusement bien longue !

(suite…)

Pas de reconquête sans le Sacré Coeur :

« Le mal est religieux, la révolution est religieuse, le remède est religieux, nous ne guérirons que religieusement. » Ainsi s’exprimait le sociologue Antoine Blanc de Saint-Bonnet.

Si vous retirez à la France ses édifices religieux tels que les églises, les chapelles, les cathédrales, les croix et les calvaires dans les campagnes, ainsi que ses villages baptisés du nom d’un Saint ou d’une Sainte, ses expressions linguistiques empruntées à la Bible, ses universités, ses prêtres, son patrimoine artistique,… etc. Que reste-t-il ? Tout sauf la France !

Les différentes républiques qui se sont succédé ont systématiquement cherché à détruire ou à restreindre le pouvoir de l’Église catholique en France. En procédant de la sorte, la république a rendu les Français étrangers dans leur propre pays ! Par conséquent, si l’idéologie révolutionnaire identifie la religion catholique comme un obstacle à son oeuvre de destruction, ne devrions-nous pas considérer celle-ci comme une solution possible face aux défis contemporains auxquels nous sommes confrontés ?

Faire de la politique, s’engager dans le militantisme est certes une chose indispensable, cependant, si l’on reconnaît la religion comme étant le pilier essentiel de toute civilisation, ne devrions-nous pas également inclure le combat pour le règne et la gloire du Christ-Roi ?

La France ne se réduit pas à un territoire, une population et un passé historique, elle possède également une identité spirituelle caractéristique. Ne serait-ce pas le fait d’avoir négligé cette dimension religieuse qui explique nos échecs ou notre manque d’efficacité dans le combat contre-révolutionnaire ?
Politique d’abord ? Oui ! Mais, « en Nom Dieu ! »

Un très belle fête de la Nativité du Christ-Roi à toutes et à tous !

Luc 2,1-14

De Du Guesclin à Sainte Jehanne d’Arc :

Voici sorti le tout dernier livre de Frédéric Poretti sur Du Guesclin et Jeanne d’Arc ! :

Bertrand du Guesclin a traversé notre histoire comme une comète, restant un exemple, un nom inoubliable comme une mémoire à honorer. Lorsque vous doutez, pensez à Bertrand du Guesclin et aucun fléchissement ne viendra devant les épreuves de la vie. L’histoire de France est un roman fait de signes intemporels, divins, constituants les riches heures de notre peuple. De du Guesclin à Jehanne, la continuité est présente, ils chevauchent dans le ciel pour veiller à ce que jamais nous ne doutions du destin de la France. Ils parlent dans notre subconscient, nous rappelant à chaque instant que la France est le pays du panache. Jehanne disait « Plutôt aujourd’hui que demain. Plutôt demain qu’après », notre terre est constituée du sang divin de nos aïeux. Les actes et paroles de Du Guesclin comme ceux de Jehanne, restent d’une étonnante actualité. Tout est symbolique et inexplicable à la fois, on ne peut comprendre que si on accepte le mystère. L’épée de justice de la chevalerie éternelle, est à la dentelle des remparts protégeant notre civilisation millénaire. Cet ouvrage retrace une partie de notre histoire bien oubliée, parce que celle-ci dérange. Aux questions contemporaines, l’empirisme historique répond Notre Dame Guesclin puis Jehanne rajoute que la victoire ne vient que si les hommes bataillent, qu’ils se lèvent, alors et alors seulement : Notre jour viendra !

Bernanos, pèlerin de l’absolu :

Découvrez le dernier livre de Frédéric Poretti (Winkler) sur Bernanos :

Georges Bernanos, toujours et peut être aujourd’hui plus qu’hier, reste d’une redoutable actualité pour qui comprend, voit et analyse notre quotidien qu’une pente semble diriger vers le néant d’un nouvel ordre mondial, celui des numéros et des robots. Bernanos est un « chevalier », de ceux qui ne renoncent jamais et qui égrènent de leur présence, notre histoire, à la fois révolté mais fidèle aux promesses du baptême de notre France. Avec ceux qui arrivent à décrypter les pensées d’Orwell, d’Huxley jusqu’à Tolkien, nous voyons avec Bernanos, une ligne d’avertissements dans la défense de cette dentelle du rempart civilisationnelle qui, comme une peau de chagrin, est menacée par un « prêt à penser » totalitaire. Il nous reste le panache pour reprendre le flambeau de la résistance, comme nos grands Anciens pour l’éternité intemporelle de nos libertés.

Notre jour viendra !